La Beauté Est Elle Subjective

peut dire qu’ils ont pour but de créer de la beauté et de toucher sentimentalement les Hommes. La beauté du sujet est subjective mais ce qui est jugé c’est le rendu final de l’œuvre et la clarté du message transcrit. Un artiste, grâce à des matériaux, une technique, du talent et de la sensibilité a le potentiel de faire une bonne œuvre d’art et d’y faire passer un message. Nous pouvons également voir que chaque époque propose une conception de la beauté différente : c’est pour cela qu’il y a des évolutions

impossible du dos. L'artiste afin de nous renvoyer l'image du beau a son œuvre déforme la réalité. En essayant d'imiter le beau de la nature sur l'art celle ci nous éloigne de la réalité. La copie du réel n'est jamais réels, car elle est juste la pensée subjective de l'artiste basée sur son art.

mot « toujours » est important car il faut ainsi comprendre le sujet sous le questionnement suivant : « les apparences sont-elles trompeuses dans tous les cas ? », sous-entendant que c’est sans exception possible. La notion de perception, qui est subjective (soit le fait de prendre connaissance de notre environnement via nos sens, l’unité de notre corps percevant qui confère au monde perçu son unité) est donc, au même titre que la notion de réel (ou l’être véritable des choses) et que celle de l’interprétation

le plus présent : Mme Dufour (élément dominant). Maîtresse-femme. Prénom : Pétronille (31 mai) : Sainte Patronne des rois de France (Þ mère nourricière). Focalisation externe ("on apercevait,...") ; point de vue des Dufour ; vision cruelle et subjective du narrateur. Description ambulatoire des environs de Paris (au début de l’œuvre, lieux traversés par la voiture qui emmène les personnages à la campagne : avenue de Champs-Elysées, Porte Maillot, Pont de Neuilly, Courbevoie, Argenteuil, Buttes

nommaient tous les peuples extérieurs à leur culture des « barbares » : pour eux, ce n'était que des êtres moins civilisés, des êtres inférieurs. En fait, on peut voir que tout homme a tendance à juger les autres cultures, et souvent de manière très subjective voire erronée. La diversité des points de vue ne permet pas de déterminer des valeurs universelles, et cela pose le problème du jugement objectif que l'on peut porter sur une culture. Peut-on affirmer qu'une culture est supérieure à une autre

modélisation Sujet : Le nombre d’or Problématique : Comment le nombre d’or intervient t-il dans le sentiment esthétique de la beauté ? Nous avons travaillé plusieurs mois sur le nombre d’or, notre couplage mathématiques/philosophie a permis a nos recherches de prendre une tournure plus artistique Nous nous sommes intéressés au nombre d’or dans le sentiment esthétique de la beauté, nous voulions comprendre comment ce nombre influençait notre vison du monde. Notre sujet nous a permis de découvrir que

sera difficile de trouver une réponse immédiate à une question posée de manière aussi simple et directe. Simple en apparence… Essayons d’analyser son sens. Elle évoque la notion de la beauté. Le mot « vers » nous renvoie instantanément vers le domaine de la poésie. Notre rôle serait donc de définir les critères de beauté de la poésie. Comment juger ce qui est beau et ce qui ne l’est pas ? Qui juge ce qui est beau ? Le poète ? Le lecteur ? Le contexte historique joue-t-il un rôle décisif dans ce jugement

d’une œuvre que l’admirateur s’enfonce dans son imagination ? La beauté suscitée par une œuvre peut-elle absorber celui qui la regarde ? Est ce que l’art dans sa représentation peut nous emmener loin de la réalité que l’on connaît ? Notre questionnement sera donc mené en trois temps. Nous commencerons par nous interroger sur la compréhension d’une œuvre, son interprétation ; puis nous verrons comment la présence ou l’absence de beauté peut nous transporter loin de la réalité. Enfin nous étudierons

l’amour se repose, Embaumant les jardins et les arbres d’odeur : Mais battue ou de pluie, ou d’excessive ardeur, Languissante elle meurt feuille à feuille déclose : Ainsi en ta première et jeune nouveauté, Quand la terre et le ciel honoraient ta beauté, La Parque t’a tuée, et cendre tu reposes. Pour obsèques reçois mes larmes et mes pleurs, Ce vase plein de lait, ce panier plein de fleurs, Afin que vif, et mort, ton corps ne soit que roses. Développement : Le second livre des Amours se termine

Désire-t-on ce que l'on juge désirable, ou juge-t-on au contraire désirable ce que l'on désire ? • Dans le premier cas, la valeur de ce qui est désiré est objective (elle ne dépend pas de celui qui désire). • Dans le second cas, la valeur est subjective. Le désir est alors la source de toute valeur, comme le pense avec justesse Spinoza : « Nous ne […] désirons aucune chose […] parce que nous la jugeons bonne ; mais, au contraire, nous jugeons qu'une chose est bonne parce que nous […] la […] désirons