La Belle Hélène

Le poème étudié « Quand vous serez bien vieille.. » est un extrait de Sonnet pour Hélène publié en 1578 et écrit par le poète Pierre de Ronsard destiné à Hélène de Surgères. Au moment où le poème est écrit, l’auteur est âgé de 54ans et est amoureux d’une jeune femme nommée Hélène de Surgères, la fille d’honneur de la reine Catherine de Médicis. Ronsard conçu un sonnet italien car Hélène de Surgères était italienne. Le poète est né en septembre 1524 au Château de la Possonnière, près du village

D’Hélène de Troie à La Belle Hélène... I. La Naissance d’Hélène | | |Zeus s'unit à Léda sous l'aspect d'un cygne et, la même nuit, s'unit aussi à elle son époux Tyndare. Léda eut Pollux et Hélène de Zeus ; et Castor et | |Clytemnestre de Tyndare. Certains, toutefois, prétendent qu'Hélène était la fille de Zeus et de Némésis

alternance rimes féminines et masculines ; alexandrins. Dans ce texte, Ronsard déclare son amour à Hélène et tente de la séduire. Comment Ronsard s’y prend-t-il pour déclarer son amour et tenter de séduire Hélène ? Nous étudierons dans un premier temps en quoi sa déclaration d’amour est originale puis dans un second temps nous nous intéresserons à la stratégie de persuasion utilisée pour séduire Hélène pour enfin monter un éloge non pas de la femme aimée mais du poète en lui-même et de la poésie

consacre entièrement à sa poésie. C'est alors que la Reine Catherine de Médicis lui commande des poèmes pour consoler sa protégée Hélène de Fonsèque, de la perte de son amant à la guerre. C'est ainsi que Ronsard courtisera par vers interposés Hélène et qu'il

 Quand vous serez bien vieille Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle, Assise auprès du feu, dévidant et filant, Direz, chantant mes vers, en vous émerveillant : Ronsard me célébrait du temps que j’étais belle. Lors, vous n’aurez servante oyant telle nouvelle, Déjà sous le labeur à demi sommeillant, Qui au bruit de mon nom ne s’aille réveillant, Bénissant votre nom de louange immortelle. Je serai sous la terre et fantôme sans os : Par les ombres myrteux je prendrai mon repos

est d'intimider Hélène en la vieillissant « Quand vous serez bien vielle » (v.1). Le nom d'Hélène n'est jamais cité dans le texte alors que Ronsard si. Il ne cherche pas à célèbre la beauté d'Hélène mais il la flatte. Il exprime la beauté d'Hélène à l'imparfait « Ronsard me célébrait du temps que j'étais belle » (v.4). Ronsard réprimande Hélène puisque celle-ci accepte pas l'amour que Ronsard lui porte. « Regrettant mon amour et votre fier dédain » (v.12) nous apprend que Hélène à une attitude

personnages à l’origine du conflit : Paris et Hélène I) Les personnages dans la mythologie a) Paris Paris était le fils cadet de Priam, roi de Troie, et de la reine Hécube. Il épousa la nymphe Oenone, fille du fleuve Cébren qui était capable de prévoir l'avenir et avait la renommée d'être une femme d'une grande sagesse et une guérisseuse réputée. Pâris lui promit un amour éternel. Mais elle lui prédit qu'un jour il s'enfuirait avec une très belle femme et qu'il participerait à une terrible

immortel sauf au talon. Il meurt car Pâris le toucha de sa flèche. Il venge Patrocle en tuant Hector. Patrocle est l'ami d'Achille. Il sera tué par Hector. Achille ne voulait pas qu'il se batte contre les Troyens. Hélène est l'épouse de Ménélas. Elle s'enfuie avec Pâris. Elle est très belle. Ménélas est le roi de Sparte et le frère d'Agamemnon. Il est l'époux d'Hélène. Il engagea la guerre aux Troyens. Agamemnon est le roi d'Argos, frère de Ménélas. - Les Troyens : Priam est le roi de Troie

POETIQUE http://users.telenet.be/gaston.d.haese/agnolo_bronzino.jpg (Hélène de Surgères) Chères amis lecteurs, nous allons étudier une anthologie poétique, composée de dix poèmes, sur les thématiques <<Hélène personnage réel et mythique>>, et <<Ronsard vieil amoureux au soir de sa vie>>. Cette anthologie est composé de poèmes qui sont extrait du recueil de poèmes Second livre des Sonnet à Hélène parut en 1578 dont l’auteur est Pierre de Ronsard. Pierre de Ronsard

"Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle, Assise auprès du feu, dévidant et filant, Direz, chantant mes vers, en vous émerveillant : « Ronsard me célébrait du temps que j’étais belle ! » Lors, vous n’aurez servante oyant telle nouvelle, Déjà sous le labeur à demi sommeillant, Qui au bruit de Ronsard ne s’aille réveillant, Bénissant votre nom de louange immortelle. Je serais sous la terre, et, fantôme sans os, Par les ombres myrteux je prendrai mon repos ; Vous serez au