La Blanche Neige Apollinaire

 chronologiques,  le   lecteur  ne  peut  savoir  avec  précision  quand  et   a  l’occasion  de  quel  conflit  il  fut  écrit.   Sa poésie libérée des conventions, chose qui inspirera Guillaume Apollinaire. Ce  poème  permet  de  confirmer  le  fait  que  toutes   les  guerres  se  ressemblent  dans  le  fait  où  elles   causent  toutes  des  mort,  et  engendrent  le

- Mallarmé, « Plusieurs sonnets », Sonnet IV, Poésies - Rimbaud, « Alchimie du verbe », Une Saison en enfer NATHAN Interro des lycées 2008 Poète voyageur, poète voyant (STG – sept 2004) - Baudelaire, « Bohémiens en voyage », Les Fleurs du Mal - Apollinaire, « La Tzigane », Alcools - Aragon, « Je me souviens de cette ville » ou « L’Etrangère », Le Roman inachevé - Senlis, Les Nomades HATIER Annabac STG 2006 Les poètes « parlent pour tous » (ES/S – sept 2004) - Baudelaire, « L’Albatros », Spleen et

- Mallarmé, « Plusieurs sonnets », Sonnet IV, Poésies - Rimbaud, « Alchimie du verbe », Une Saison en enfer NATHAN Interro des lycées 2008 Poète voyageur, poète voyant (STG – sept 2004) - Baudelaire, « Bohémiens en voyage », Les Fleurs du Mal - Apollinaire, « La Tzigane », Alcools - Aragon, « Je me souviens de cette ville » ou « L’Etrangère », Le Roman inachevé - Senlis, Les Nomades HATIER Annabac STG 2006 Les poètes « parlent pour tous » (ES/S – sept 2004) - Baudelaire, « L’Albatros », Spleen et

vieille mandoline… » 11 « Qui es-tu, qui es-tu, esprit gracieux, / Qui s’envole la nuit dans la rosée? / Tu as le visage plongé dans les ombres…/ Sur le brume tu te libères en vapeur…/ Tu descends du ciel dans un vol harmonieux!/ Qui es-tu, belle et blanche épouse? / De l’oranger en bouton la fleur neigeuse/ entoure ton front, ó être mystérieux!.../ Où nous sommes-nous vus?... Tu viens d’une autre sphère? / Es-tu l’être que j’ai cherché du nord au sud… / Pour qui ma poitrine désespère en rêve?.../

Comme je traversais la rue Saint -Honoré, par celle des Pouliers et d’Orléans, je vis une pauvre jeune fille qui passait sur la planche d’un Auvergnat. Requise de payer, elle n’avait pas de quoi. Il repoussa brutalement dans la fange et la mare de neige fondue, dont il avait augmenté l’amas par une digue, afin de rendre sa planche nécessaire. Les pieds mal chaussés de la fille quittèrent ses souliers, le bas de ses jupes fût trempé ; l’eau qui en dégouttait, en marchant, lui gelait les jambes.

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . L’Hôte de Jacques Ferrandez, d’après Albert Camus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 21 p. 21 POÉSIE Guillaume Apollinaire un poète de Guillaume Apollinaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Poèmes de Louis Aragon . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

travers les entrées et sorties d’une galerie de personnages : Louis Aragon, Marcel Duchamp, Tristan Tzara, le mécène Jacques Doucet, etc. qui côtoient Victor Hugo avec Juliette Drouet, Arthur Rimbaud, Joris-Karl Huysmans ou encore Guillaume Apollinaire au détour d’une phrase ou d’une anecdote. Cette intertextualité dresse un tableau des références de l’auteur, mis sur le même plan que ses propres écrits également évoqués à plusieurs reprises : il en résulte que l’arrière-plan littéraire est

fatalement le frappera aussi : Sonnet II : J’ai vu fondre la neige, et ses torrents tarir : Ces lions rugissants, je les ai vus sans rage, Vivez, hommes, vivez, mais s[10]i faut-il mourir. Thématique baroque de son œuvre qui sont les principaux thèmes de la littérature baroque. • L’inconstance et le masque : hantise de l’inconstance : le monde naturel subit des changements : les fleurs ne durent qu’un jour, la neige fond, les torrents tarissent ; le monde des hommes est aussi changeant :

J’aime Dijon comme l’enfant sa nourrice dont il a sucé le lait, comme le poète la jouvencelle qui a initié son cœur. — Enfance et poésie ! Que l’une est éphémère, et que l’autre est trompeuse ! L’enfance est un papillon qui se hâte de brûler ses blanches ailes aux flammes de la jeunesse, et la poésie est semblable à l’amandier : ses fleurs sont parfumées et ses fruits sont amers.   J’étais un jour assis à l’écart dans le jardin de l’Arquebuse, — ainsi nommé de l’arme qui autrefois y signala si

la comparaison, elle unit comparant et comparé sans outil grammatical comme : « Chaque fleur est une âme à la Nature éclose », Gérard de Nerval décrit la fleur tel un nouvel individu dans la Nature, « Tes mains feuilles de l’automne », pour Apollinaire la forme et le mouvement des mains ressemblent à ceux des feuilles. 4 La métaphore peut ne pas mettre en évidence la relation qui les unit : le terme comparé peut être sous-entendu : « Le temps saura faner vos roses », Pierre de Corneille. Dans