La Blanche Neige De Guillaume Apollinaire

Zeus, sur le Pavé d'or, se lève, furieux, Et voici que la troupe héroïque des Dieux Bondit dans le combat du faîte des nuées. Théophile GAUTIER   (1811-1872 Adieux à la poésie Allons, ange déchu, ferme ton aile rose ; Ôte ta robe blanche et tes beaux rayons d'or ; Il faut, du haut des cieux où tendait ton essor, Filer comme une étoile, et tomber dans la prose. Il faut que sur le sol ton pied d'oiseau se pose. Marche au lieu de voler : il n'est pas temps encor ; Renferme dans

2 : Influence de la chanson de geste = pour le refrain Sérénade - Théophile Gautier Analyse = Question 1: Sur le balcon où tu te penches Mots simples; du langage courant Je veux monter… efforts perdus ! Il est trop haut, et tes mains blanches N’atteignent pas mes bras tendus. Pour déjouer ta duègne avare, Jette un collier, un ruban d’or ; Qualificatifs, précision Ou des cordes de ta guitare Tresse une échelle, ou bien encore… Ôte tes fleurs, défais ton peigne, Penche sur moi tes cheveux

naturalisme plus rigoureux[2], le parnasse et le surréalisme. Idées : – Le pouvoir politique et économique – La découverte des aspects cachés de la société – La relation entre l’individu et son milieu social Nuit de neige La grande plaine est blanche, immobile et sans voix. Pas un bruit, pas un son ; toute vie est éteinte. Mais on entend parfois, comme une morne plainte, Quelque chien sans abri qui hurle au coin d'un bois. Plus de chansons dans l'air, sous nos pieds plus de

couche. Et m yeux éclairaient des voies anciennes. es Et j'étais déjà si m auvais poète Que je ne savais pas aller jusquau bout. ' Le Krem était com e un im ense gâteau tartare croustillé dor, lin m m ' Avec les grandes am es des cathédrales, toutes blanches and Et l'or m ielleux des cloches... Un vieux m oine m lisait la légende de Novgorod e J'avais soif Et je déchiffrais des caractères cunéiform es Puis, tout à coup, les pigeons du Saint-Esprit s'envolaient sur la place Et m m s'envolaient aussi avec

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . L’Hôte de Jacques Ferrandez, d’après Albert Camus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 21 p. 21 POÉSIE Guillaume Apollinaire un poète de Guillaume Apollinaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Poèmes de Louis Aragon . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

S'il faut donner son sang Allez donner le vôtre Vous êtes bon apôtre Monsieur le Président Si vous me poursuivez Prévenez vos gendarmes Que je n'aurai pas d'armes Et qu'ils pourront tirer Boris Vian, 1953 Les effarés Noirs dans la neige et dans la brume, Au grand soupirail qui s'allume, Leurs culs en rond, A genoux, cinq petits, - misère ! - Regardent le Boulanger faire Le lourd pain blond. Ils voient le fort bras blanc qui tourne La pâte grise et qui l'enfourne Dans un

Sandrine Montin, Littérature et cinéma : anthologie Réflexions de Guillaume Apollinaire sur le cinéma, 1917 : Il eût été étrange qu’à une époque où l’art populaire par excellence, le cinéma, est un livre d’images, les poètes n’eussent pas essayé de composer des images pour les esprits méditatifs et raffinés qui ne se contentent point des imaginations grossières des fabricants de films. Ceux-ci se raffineront, et l’on peut prévoir le jour où le phonographe et le cinéma étant devenus les seules

Alcools Guillaume ApollinaireOeuvre du domaine public.En lecture libre sur Atramenta.netZoneÀ la fin tu es las de ce monde ancienBergère ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matinTu en as assez de vivre dans l’antiquité grecque et romaineIci même les automobiles ont l’air d’être anciennesLa religion seule est restée toute neuve la religionEst restée simple comme les hangars de Port-AviationSeul en Europe tu n’es pas antique ô ChristianismeL’Européen le plus moderne c’est

sons et pour s’amuser avec les rythmes. On peut demander aux élèves : 20 – d’illustrer des comptines; – de créer leurs propres comptines avec un ou des partenaires Croque, croque dans ta pomme, croque, croque petit homme. Pomme rouge et pomme blanche, pomme verte sur les branches. Dans les vergers à l’automne, c’est la cueillette des pommes. Am, stram, gram, pic et pic et colégram, bour et bour et ratatam am, stram, gram Une mouche sur mon nez me chatouille, me chatouille Une mouche sur mon nez

Lamartine, Charles Baudelaire, Arthur Rimbaud et Paul Verlaine. A mes yeux cette période est l'âge d'or de la poésie, elle a vécu ses plus grands moments de gloire. Pour conclure mon tracé historique je suis presque remonté jusqu'à nos jours avec Guillaume Apollinaire ou encore Liberté de Paul Eluard . Pour donner une dimension personnelle à mon anthologie j'y ai introduit quelques poèmes qui ont marqué mon curriculum scolaire. « Souvenirs... Souvenirs... » Bibliographie :