La Bruyère Caractères Du Souverain Remarque 28

|[pic] | D’une famille protestante d’origine française qui s'était réfugiée en Suisse dès 1549 et établie à Genève, il naquit le 28 juin 1712, sa mère, atteinte d’une fièvre puerpérale, mourant dix après. Il fut soumis donc, avec son frère aîné, à l’humeur et à l’éducation fantasques de son père, Isaac, qui regrettait de ne pouvoir remplacer son épouse perdue, mais qui fut assisté

de couleur) ; – avec une autre couleur, notez ce que vous n’avez pas compris ; – dans la marge, relevez les lacunes à combler (à rechercher dans l’annexe ou fiches de révision, les dictionnaires, encyclopédies ou sites internet) ou portez des remarques personnelles pour vous approprier le cours. ▶ Lisez et relisez les textes à étudier en lecture analytique, allez sur cned.fr consulter les questions posées et écouter la lecture à voix haute de ces textes pour vous entraîner et retrouver le

........................................................18 SCÈNE III ...................................................................................26 SCÈNE IV....................................................................................28 SCÈNE V .....................................................................................42 ACTE II ...................................................................................45 SCÈNE I .............................................

 Jean de La Bruyère Les caractères ou Les moeurs de ce siècle Précédés des Caractères de Théophraste (traduits du grec) 1688   Les caractères de Théophraste Discours sur Théophraste Traduits du Grec Je n'estime pas que l'homme soit capable de former dans son esprit un projet plus vain et plus chimérique, que de prétendre, en écrivant de quelque art ou de quelque science que ce soit, échapper à toute sorte de critique, et enlever les suffrages de tous ses lecteurs. Car, sans m'étendre sur

Jean de La Bruyère LES CARACTÈRES 1688 Texte de la dernière édition revue et corrigée par l'auteur, publiée par E. Michallet, 1696. LES CARACTÈRES DE THÉOPHRASTE Discours sur Théophraste Je n’estime pas que l’homme soit capable de former dans son esprit un projet plus vain et plus chimérique, que de prétendre, en écrivant de quelque art ou de quelque science que ce soit, échapper à toute sorte de critique, et enlever les suffrages de tous ses lecteurs. Car, sans m’étendre sur

inférieures qui veut faire irruption à tout prix dans la société dont il se sent écrasé. Tel il se montre même aux instants les plus doux. […] 1830 : « Album. Le Rouge et le Noir. Chronique du XIXe°siècle, par M. de Stendhal », Revue de Paris, 28 novembre 1830, t. XX, p. 258-260. Il y a au titre de ce livre le défaut, ou, si l’on aime mieux, le singulier mérite, qu’il laisse le lecteur dans l’ignorance la plus complète de ce qu’on lui prépare. Le Rouge et le Noir ! Avec notre intelligence

..............10 La grande mission du chef : servir..........................17 Ce qui fait le chef..............................................23 II – Les qualités du chef..........................................28 Foi en sa mission...............................................28 Sens de l’autorité..............................................36 Esprit de décision et d’initiative............................42 Esprit de discipline............................................49 Énergie réalisatrice

dimension « sérieuse », humaniste de l’œuvre. 2)Aux 17ième et 18ième, les siècles du « bon goût français », l’œuvre de Rabelais est rejetée. Principe de bienséance, fondamental dans l’esthétique du classicisme (cf séquence sur La Fontaine). Ex : La Bruyère : R « a semé l’ordure dans ses écrits ». Critique qui perdure jusque dans la critique bourgeoise du 19ième (ex Taine : folie de l’imagination+ ordure+bizarrerie de la langue = pas une œuvre universelle (lecteurs : seuls ivrognes et érudits). 3)La

........................................18 Chapitre IV........................................................................................23 Chapitre V ..........................................................................................28 Chapitre VI........................................................................................33 Chapitre VII.......................................................................................40 Chapitre VIII ..........................

l'exemplum mais elle est rarement d'inspiration ecclesiastique. - Au XIIe siècle en France, la "nouvelle" est l'annonce d'un événement, généralement récent, à une personne qui n'en a pas encore connaissance. A la nouveauté de l'événement, à son caractère récent, s'ajoute une allusion, plus ou moins explicite, à l'intérêt de l'événement relaté, intérêt qui justifie cette relation. On passe de l'information donnée sur quelqu'un au récit des faits et gestes de cette personne. La nouvelle devient une