La Bruyère Et La Religion

philosophes (l.19), docteurs (l.39-41), médecins (l.38). Il va jusqu'à remettre en cause l'autorité du roi (l.49,55:parle du Sultan comme s'il n'y avait pas de différence entre le Sultan et nos rois qui sont chrétiens) pr dire que ce n'est pas la religion qui légitime la fonction royale. P. montre que même la foi/le sentiment religieux est parasité par l'imagination (l.10 et suivantes) Intro : [Pascal (1623-1662) moraliste] ►Pascal fait partie des Moralistes qui sont des écrivains qu'on rassemble

ordres (le clergé, la noblesse et le tiers état), et l’octroi de privilèges à certains sujets. Contexte politique Au xviie siècle, trois rois se succèdent sur le trône de France : • Henri IV (qui règne de 1589 à 1610) met fin aux guerres de Religion et ramène la paix dans le royaume de France en promulguant l’édit de Nantes en 1598, qui garantit la liberté de culte aux protestants. Il annexe des territoires définissant les frontières de la France, redresse le pays, affermit l’autorité royale

« L’écrivain peut-il, par ses œuvres, contribuer à l’amélioration de la société ? » Objet d’étude : l’argumentation (mais aussi le reste des séquences) Relations avec les textes du corpus et la question : Texte A : visée éducative de ce texte, La Bruyère écrivain moraliste qui critique un vice et cherche à en détourner le lecteur Texte B : genre autobiographique mais Victor Hugo écrivain engagé, ici fait part de son indignation : registre polémique et pathétique Texte C : Jacques Prévert poésie

appartient a la movement litteraire <<siecle des lumieres>> ce qui peut etre define comme un movement philosophique. <<Lumieres>> signifie la connaissance, et la siecle des lumieres etait influence par la connaissance, et non la religion, et Voltaire etait un des philosophes qui appartient a ce mouvement. Voltaire ecrit <<guerre>> comme un conte philosophique. C’est un conte philosophique car c’est un texte argumentatif. Le but de cette texte argumentatif est de denoncer

programme, de plus selon une autre classification. (Dures lois du marché…et difficulté d’établir une sélection pour un programme précis.) Les Pensées sont des fragments d’une vaste réflexion que Pascal entend mener, et forment en fait une apologie de la religion chrétienne. Inachevée, cette œuvre est restée à l’état d’ébauche avancée, et, en ce qui concerne l’édition, dans un « ordre » encore aléatoire, Pascal n’ayant pas eu le temps de réunir tous ces fragments en « liasses » destinées à l’impression. Certaines

• 1515 : Victoire de François Ier à Marignan contre les Suisses. • 1534 : Affaire des Placards. • 1547 : Henri II accède au trône. • 1559 : Avènement de François II. • 1560 : Avènement de Charles IX. • 1562 (jusqu’en 1598) : Guerres de Religion. • 1572 : Massacre des protestants (Saint-Barthélemy). • 1574 : Assassinat de Charles IX, avènement de Henri III. • 1589 : Assassinat de Henri III, Henri IV au pouvoir. • 1598 : Édit de Nantes. Renaissance Grands Rhétoriqueurs • Jean

# Cette page tient à la fois du XVIIème (portrait amusé des travers parisiens cf. Les caractères de La Bruyère) et du XVIIIème (ou la critique utilise le vecteur du conte, de l’ironie…). # C’est une lettre qui illustre les convictions de Montesquieu : une même réalité peut être comprise selon des points de vue différents ou divergents ; la vérité est relative ; selon les climats, les religions et les mœurs, les lois et les coutumes différents (c’est le thème de l’Esprit des Lois). Montesquieu invite

fiche doit être mise en relation avec l’Objet d’étude II : La littérature d’idée du XVIe au XVIIIe siècle (L’Argumentation .)  : Les Caractères de La Bruyère, livres V à X/Parcours : La comédie sociale. 2. Une dissertation impose toujours d’argumenter  : à partir d’un thème (le sujet), on vous demande d’adopter des points de vue (thèses) que vous justifiez

| | | | | | | |Les caractères |« Onuphre » |Jean De La Bruyère |Apologue |Epidictique |Portrait d’Onuphre, un homme hypocrite qui | | | | | |17e siècle |

Dans le premier paragraphe l'auteur exprime toute son indignation face à la pratique de l'esclavage. Il souligne la situation de « ces malheureux », ces infortunés livrés comme des animaux un système qui viole tous les principes de la morale, de la religion et les droits de l'être humain. Il dénonce de façon ironique le caractère mercantile que rien ne peut justifier. Les termes « crime », « atroce » renforce le côté insoutenable de son texte. Dans une deuxième partie Louis de Jaucourt se montre beaucoup