La Bruyère Et La Religion

Rhétoriqueurs 1534 : Affaire des Placards. Jean Molinet 1547 : Henri II accède au trône. Jean Robertet 1559 : Avènement de François II. « L’école lyonnaise » 1560 : Avènement de Charles IX. Maurice Scève 1562 (jusqu’en 1598) : Guerres de Religion. Louise Labé 1572 : Massacre des protestants (Saint-Barthélemy). La Pléiade 1574 : Assassinat de Charles IX, avènement de Henri III. Joachim du Bellay 1589 : Assassinat de Henri III, Henri IV au pouvoir. Pierre de Ronsard 1598 : Édit de

classicisme et les formes : • Tragédies avec comme exemple : Racine • Epopées ( + allégories) • Comédies avec comme exemple : Molière Principaux auteurs : Corneille, Jean Racine, Molière, Pascal, La Rochefoucauld, La Fontaine, Nicolas Boileau, La Bruyère, Mme de La Fayette, Mme de Sévigné, Le Cardinal de Retz. XVIIIème siècle : Les Lumières Les caractéristiques des Lumières : • Peu de poésie • André Chénier, marqué par le classicisme et l’Antiquité • Rousseau et Diderot mettent en place le

Document sans titre“Le fanatisme est un monstre qui ose se dire le fils de la religion”, voici ce que déclare Voltaire, auteur engagé et figure majeure de la philosophie des Lumières, dans son Dictionnaire philosophique publié en 1764 dans lequel il dénonce le fanatisme religieux de son époque. Ainsi Voltaire veut mettre sous la lumière des projecteurs l’absurdité et l'intolérance religieuse de l’époque et ce dans de nombreux écrits; comme Micromégas, publié en 1752, conte philosophique et l'un des

la Cour et vizir cultivant l'art de la retraite. I : La structure de la fable1 – Le schéma narratif de la fable (remarques globales) -Longue situation initiale : La Fontaine prend le temps d’exposer le personnage pour mieux dénoncer. (Cf. La Bruyère, les Caractères)-Structure établie comme un conte, avec situation initiale, élément déclencheur,… situation initiale : v.1 et v.2 => présentation cadre et personnages principaux élément perturbateur : v.4 => verbe « retira » péripéties : v.5 →

fable qu’à privilégié La Fontaine et dans celle-ci, la morale contient la leçon que veut donner l’auteur. Le XVIIème siècle est une époque où les écrivains ont surtout étudié les caractères. Molière, Corneille ou Racine ont utilisé le théâtre. La Bruyère et d’autres se sont surtout intéressés à caractériser le genre humain (ex : les caractères). Même le roman étudie les passions amoureuses et dans ce monde très stricte et très puritain on pense que les passions sont mauvaises. La Fontaine aussi dans

ES /S   Objet d'étude : Convaincre, persuader, délibérer. Textes :  Texte A : La Bruyère, Caractères, « De l'homme », XI, n° 128, 1688. Texte B : Fénelon, Lettre à Louis XIV, 1693. Texte C : Victor Hugo, Discours à l'Assemblée, 30 juin 1850. Texte D : Arthur Rimbaud, Poésies, « Les Effarés », édition posthume de 1895 (texte composé en 1870). Texte E : Emile Zola, L'Assommoir, 1877.   Texte A : La Bruyère, Caractères, « De l'homme », XI, n° 128, 1688.    L'on voit certains animaux farouches

plusieurs thèmes : o la critique de la Cour o la critique aussi de la manière dont la fausse dévotion, celle du cerf ici, tient la puissance royale en respect = thème repris au même moment par Molière dans Tartuffe, mais aussi par La Bruyère dans ses Caractères. La Fontaine, Fables, « Les obsèques de la lionne », livre huitième, fable 14 1) En quoi ce texte est-il un apologue (c'est-à-dire un court récit qui converge vers une morale) ? 2) Combien de morales voyez-vous dans

le bon développement de l'individu. Elles se manifestent au travers de symptômes physiques comme des frissons, des tremblements, de la paralysie mais aussi psychologiques, la folie ou des troubles comportementaux et peut conduire au suicide. La Bruyère disait que « la superstition semble n'être autre chose qu'une crainte mal réglée de la Divinité. ». Ces peurs sont devenues, avec le temps, des lois, religieuses par exemple ; qui persistent et exercent des restrictions sur l’homme. Russell a dit

inépuisable. Et, comme le prouvent les textes du corpus, un poète peu s’inspirer d’une pièce de théâtre. De plus, dans les arts et la littérature européenne, imiter les œuvres de l’Antiquité n’est pas considéré comme du plagiat, puisque comme le dit La Bruyère « Tout est dit et l’on vient trop tard, depuis dix mille ans qu’il y a des hommes et qu’ils pensent ». Il y a des personnages mythiques pour chaque trait de caractère humain, un artiste en manque d’inspiration peut alors écrire peindre ou même composer

histoires merveilleuses vont critiquer la société, la religion ainsi que l'éducation et l'école. Il évoque une Utopie « L'abbaye de Thélème » dans laquelle il imagine un monde idéal. Il a posé les bases de toute l'éducation moderne, il critique le fait d'apprendre sans comprendre. « Science sans conscience n'est que ruyne de l'asme. » C'est le refus de l'intolérance et des préjugés. Le XVIe siècle est caractérisé par des guerres de religions entre chrétiens et protestants. Agrippa d'Aubigné: Les