La Cantatrice Chauve Non Communication

Même combinés au sein d'une même œuvre, on peut distinguer différents types de comiques. LE COMIQUE DE MOTS Il exploite les ressources du langage : répétitions, jeux de mots, calembours, déformations, recours au jargon, aux dialectes. Dans La Cantatrice Chauve, Ionesco joue sur les répétitions de sons dans des phrases dépourvues de sens: "Les cacaoyers des cacaoyères donnent pas des cacahuètes, donnent du cacao". LE COMIQUE DE GESTES C'est l'ensemble des jeux de scènes qui provoquent le rire : coups

représente la fidélité non seulement conjugale mais aussi à son peuple. Le lecteur est ainsi incité à suivre les mêmes valeurs que ces personnages illustres dont le destin tragique et exceptionnel fait naître la lutte du héros malgré son impuissance. On peut aussi s’appuyer sur l’exemple d’Antigone d’Anouilh, œuvre dans laquelle l’héroïne, fille des souverains de Thèbes, incarne de manière puissante le besoin de pureté enfoui en chacun d’entre nous, le pouvoir de dire non à l’injustice et de se battre

far as Ionesco puts into the same kind of setting a similarly complementary couple, the same interpre- tation could be given to Les Chaises. It is clear that in neither case is there any attempt at conveying social reality: we are given a mythical, non-realistic setting, and any kind of interpretation we make is bound BECKETT AND IONESCO 4 7 to involve the inner world of the mind. Similar couples occur throughout Beckett's work, Vladimir and Estragon, Pozzo and Lucky in En attendant Godot, Willie

allons très vite observer que ce rapport de force équilibré va évoluer. Je relève  : « Non » vers 3 J’explique  : par l’usage de l’adverbe de négation qui occupe à lui seul un vers et une phrase, l’opposition est nettement marquée et mise en valeur dans son langage. Je cite : « Je suis un peu brutal ? Pourquoi tu dis ça ? Non. Je ne suis pas brutal . » vers 1 à 4 J’explique : on peut apprécier le

en s’appuyant sur une investigation minutieuse de la réalité sociale (ex. des documents détaillés, la présence des 2 guerres dans les romans etc.) 2. Il y a une image détaillé et plus globale de la réalité qui embrasse souvent plusieurs pays et non seulement la France. 3. Une interprétation sociale et individuelle de l’histoire- le roman réaliste au XXe s. est plus subjectif- souvent les romanciers présentent une histoire sous plusieurs points de vue des personnages différents, une image polyphonique

habituel. Il est avant tout un texte didascalique et non un texte à dire. Il décrit l'organisation générale de l'action et règle entrées et sorties. C'est le jeu qui constitue la commedia dell'arte en genre. Le texte dit sur la scène est objet d'improvisation. Bien plus encore que dans le théâtre traditionnel, il n'est qu'un élément parmi d'autres dans un spectacle qui privilégie l'imagination verbale et l'expression corporelle chez l'acteur, et non la mémoire des mots et l'art de la déclamation.

1. La difficulté de communication entre les personnages Dans En attendant Godot «ESTRAGON (tout en mâchant). – Je t’ai posé une question. / VLADIMIR. – Ah. / ESTRAGON. – Est-ce que tu m’as répondu? / VLADIMIR. – Elle est bonne, ta carotte? / ESTRAGON. – Elle est sucrée. / VLADIMIR. – Tant mieux, tant mieux. (Un temps.) Qu’est-ce que tu voulais savoir? / ESTRAGON. – Je ne me rappelle plus. (Il mâche.) C’est ça qui m’embête. (Il regarde la carotte avec appréciation, la fait tourner en l’air du bout

spatio-temporel  « Je le vis avant hier »(l.1) → anecdote/pronom « je » → gage de vérité (livre de bonne foi) /3 personnes « disant » être de la famille de l'enfant le conduisent pour gagner « quelques sous » Contexte obscur → destination inconnue, identités non-vérifiées mais l'auteur reste objectif → pas de pathos + pas de supposition sur les personnages. B. description humaine enfant présenté comme normal, humain . l.3 à 5 → énumération sur la normalité de l'enfant (« une forme ordinaire », « comme les autres

que dit le père à tout cela ? Cléante. Il ne dit rien. Argan. Voilà un sot père que ce père-là, de souffrir toutes ces sottises-là, sans rien dire. Cléante.Ah ! mon amour... Argan. Non, non, en voilà assez. Cette comédie-là est de fort mauvais exemple. Le berger Tircis est un impertinent, et la bergère Philis, une impudente, de parler de la sorte devant son père. Montrez-moi ce papier. Ha, ha. Où sont donc les paroles que vous avez

prendre la forme d’un rire, l’absurde et le non-sens se distinguent cependant par leur rapport à la signification, au sens. Le non-sens est un rejet ludique du sens, un refus catégorique qui par un effet de surprise peut conduire au rire ; l’absurde en revanche procède par degré et, d’autre part, est saisi comme tel au moyen d’un contexte sociohistorique de sens et de valeurs. En d’autres termes, l’absurde connaît des paliers d’absurdité, alors que le non-sens est de l’ordre du tout ou rien. Le comique