La Captive Victor Hugo

cela, nous nous appuierons notamment sur le roman Thérèse Desqueyroux de François Mauriac. Nous examinerons dans un premier temps comment un romancier parvient à construire une histoire qui captive son lecteur. Nous nous intéresseront ensuite aux auteurs recherchés plus pour la qualité de leur style que pour l’intérêt de l’histoire qu’ils racontent. Certains auteurs parviennent à tenir

personnage réel dont la vie est romancé. Un héros attachant peut donner envie de poursuivre le roman. Mais pour cela il faut que ce personnage ait des caractéristiques bien marquées. Généralement, seul le point de vue de celui-ci peut attendrir ou captiver. Dans Le Sagouin, François Mauriac rend Guillaume très attachant malgré qu’il soit d’apparence répugnante. « Elle le poussa dans le couloir, ferma la porte, la rouvrit pour jeter à Guillaume son livre et ses cahiers. » cette phrase nous apitoie sur

sont comme des contes car ils racontent l’histoire mais en relatant les faits avec finesse pour lui donner de lattiance et de le rendre captivant afin que cela marque les esprits et y reste. Ce qui nous permet de dire que la poesie epique seduit captive pour rester dans les esprits. La poésie engagée est une forme de poésie qui a pour de transmettre un message un engagemeent qu’il soit politique ou moral.cette poésie permet d’exprimer

associe la cellule à un cercueil mis en terre (enfoui), et donc la prison à la mort. D’autre part « il me reste l’encre de la vie », qui comme l’auteur le précise ensuite, représente son propre sang. Prisons d’autres types Victor Hugo Né en 1802, Victor Hugo est un des figures emblématique de la littérature française. Auteur de nombreux romans (Les misérables, Notre Dame de Paris) et poèmes (dont les premiers, écrits à 12 ans), il écrit avec simplicité les petites choses de la vie et

parfaitement, ils n’en donnent que l’illusion. Ils ne peuvent pas car c’est trop long / trop imprévisible / pas intéressant pour le lecteur de connaitre tous les détails Développement : Introduction Au XIXe siècle naît le réalisme. Balzac, Stendhal, Hugo ou Zola veulent montrer le monde avec la vraie misère qui y existe. De ce fait ils écrivent réel le plus fidèlement possible. Zola mènera des observations suivie expérimentation pendant que Balzac classera les hommes à la manière de Buffon. Mais nous

par le souci qu'elle a d'en assurer le bonheur et d'en défendre les droits contre l'obscurantisme蒙昧主义 politique et religieux. Le roman Gargantua, Pantagruel de François Rabelais L'Heptaméron de Marguerite de Navarre Le théâtre Eugène , Cléopâtre captive d’Etienne Jodelle Les Juives de Robert Garnier La poésie Défense et illustration de la langue française, Regrets de Joachim du Bellay Amours de Cassandre de Pierre de Ronsard Les réflexions et les essais Essais de Michel de Montaigne Le classicisme

décrit dans son roman. D'autres traits peuvent influencer le lecteur: les grandes passions amoureuses tel la princesse de Clèves et le duc de Neimour. Ou encore une particularité physique comme le bossu Quasimodo dans Notre Dame de Paris écrit par Victor Hugo en 1831. Les personnages complexes et hors du commun attirent notre attention à nous, lecteur. Le roman répond à nos attentes. Ses personnages sont le plus souvent extraordinaires, d'où la dérive du mot: romanesque. Les personnages avec une forte

aurait-on pu admettre un fragment de la Pitié, par exemple, le passage relatif à la captivité du petit Louis XVII au Temple. Outre que le morceau ne manque pas d’intérêt, on aurait découvert, en le lisant, une des sources où puisait le jeune Victor-Marie Hugo quand il composait ses premières odes. Mais je n’insiste pas. Il suffit qu’on n’ait rien omis d’essentiel. La seconde raison de M. Lemoyne est d’ordre esthétique et vaut qu’on s’y arrête. La voici dans toute sa force : « André Chénier est

chaque homme. On peut aussi citer Aurélien d’Aragon dans lequel le personnage du même nom ressent une attirance ambiguë pour une femme nommé Bérénice puisqu’il est à la fois dégouté par le physique désavantageux de cette femme mais en même temps captivé par son nom qui lui éveille des réminiscences littéraires obsédantes. Cette difficulté à décrire ses sentiments fait naitre en lui un certain malaise, analogue a celui que l’on ressent dans de telles situations paradoxales. Cette ambigüité du personnage

polémique, rédigé sous forme de lettre ; la préface est un texte placé en tête d'un ouvrage pour le présenter, en préciser les intentions, développer ses idées générales (Préface de Cromwell, ou encore Préface du Dernier Jour d'un condamné, de Victor Hugo) ; l'éloge, le panégyrique, le dithyrambe sont des textes marquant l'enthousiasme et l'admiration que leur auteur voue à quelque chose ou quelqu'un. Les formes liées à la presse écrite Journaux et revues accueillent régulièrement des textes