La Cause du peuple

une question de confiance posée au peuple par le Président. Le Général De Gaulle a appliqué cette définition et a ainsi instauré dans la pratique, une responsabilité référendaire du Président de la République devant le peuple, remettant, malgré lui, en cause, l’utilisation du référendum (A). Un référendum portant sur des dispositions trop compliquées, incomprises par le peuple, lui a valu sa place à la tête de l’état (B). A) La pratique gaullienne ou la cause de l‘utilisation décroissante du référendum

2e Guerre mondial Cause #1 : En 1939, Hitler décide d’agrandir son territoire en en annexant d’autres. Hitler voulait créer un très grand empire allemand où il serait le maître et contrôlerait tous les esprits et où il serait le seul dirigeant. En 1933 Hitler prend légalement le pouvoir pour tuer, 1 ans plus tard son ami Hindenburg le considérant comme une menace pour sa conquête du monde. Les ambitions territoriales d’Hitler sont grandes, il veut annexer l’Autriche, la République tchèque et

technique n’existe pas dans toutes les démocraties, elle n’existe même que dans 18 des 50 états américains. La démocratie qui a été défini par un autre américain l’ancien président Abraham Lincoln comme étant « le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple », montre bien l’importance des gouvernés, mais le rôle premier de ce type de gouvernement est-il vraiment de se débarrasser des gouvernants à la première lassitude ou au premier problème qui survient ? Quelles sont les relations entre

autres sortes d’énergies renouvelables. Donc, même si l’homme est à la base de cette dégradation de l’environnement, il souhaite aussi en prendre « soin » par des améliorations diverses et donc de permettre à son écosystème de perdurer. Une autre cause de la perte de notre humanité, tant morale que physique, est l’avancée trop rapide de la technologie. En effet, à l’allure à laquelle les chercheurs avancent il n’y a plus de place pour la vie en société, pour l’amour et tout ce qui se rapporte à la

trois idéaux : Tolérance, humanité et raison. Les Lumières se sont tout particulièrement développées en France ainsi qu’en Angleterre et en Allemagne, grâce aux progrès de l’époque. Elles consistent à « éclairer » les mentalités plutôt fermées du peuple ainsi qu’à se révolter contre l’absolutisme politique et l’intolérance religieuse. Ce sont les philosophes qui voulaient redonner cette envie de savoir, de diffuser leurs connaissances et c'est en partie pour cela que l'Encyclopédie, œuvre majeure

indépendance avaient échoué. Après 1945, en revanche, la décolonisation qui se définit comme l’accession à l’indépendance d’un peuple dominé par une puissance étrangère colonisatrice est devenue un des phénomènes majeurs de l’histoire contemporaine. En moins de vingt ans, presque tous les peuples de couleur retrouvent leur indépendance. Dans quelle mesure la volonté d’indépendance des peuples colonisés favorisée par un contexte internationale héritée de la Guerre explique-t-elle ce phénomène devenu inévitable

dépourvue de toute imperfection génétique.[3] Suite à la crise économique qui a mis 11 % du peuple allemand au chômage, le président de l’Allemagne, Paul Von Hindenburg, a défait le Reich et a déclaré des élections. C’est en 1930 que Hitler fait officiellement son apparition dans la politique allemande parce qu’il a été nommé Chancelier. Le but était d’aider la population qui était dans la misère à cause de la Première Guerre mondiale, mais ce n’est pas ce qui est arrivé.[4] Les instigateurs du

comédies qui ne sont pas des comédies, puisqu'on ne peut les jouer, et qui sont cependant des comédies, puisqu'elles sont jetées dans le moule ordinaire de cette forme ? Les pièces de M. de Musset ne peuvent se jouer pour deux raisons : d'abord à cause de l'irrégularité de leur structure, ensuite parce qu'elles développent des passions générales ou trop personnelles. La forme de ces drames, il suffit de les lire pour s'en apercevoir, est étrangère à la scène française. Je ne jugerai pas l'auteur

l'autorisation à exercer son autorité. Reste à se demander quelle emprise la décision politique garde-t-elle aujourd'hui sur les règlements de difficultés et sur le destin des communautés. C'est le sens et l'existence mm de la politique qui st mis en cause et, par là, les coordonnées de la vie humaine en tant qu'elle est collective. PLAN Le problème posé à l'autorité politique : articuler les registres de la vie collective. La dimension politique des affaires collectives : organisation

esclavagistes, planteurs inquiets du prix du sucre et du coût de revient de la main-d’œuvre, chrétiens superstitieux déniant aux esclaves noirs une âme bonne, civilisés se croyant supérieurs aux peuples africains. Mais des indices semblent contredire cette supposition : Montesquieu, au lieu de dire « nos peuples d’Europe » ou « nos nations policées » emploie l’article défini « les », qui lui permet de se mettre à distance. Ainsi on observe, à la fin du texte, un changement dans l’attribution des pronoms :