La Centralisation Et La Concentration

industrielle n’est pas l’expression des changements structurels de la ville ancienne mais plutôt une entité nouvelle qui s’oppose à la première, qui l’utilise selon sa propre logique et a tendance à la transformer radicalement. Processus de concentration, de centralisation, de ségrégation rompent l’unité de la cité traditionnelle et provoquent une spécialisation des secteurs exprimant les divisions du travail. Cette situation va provoquer l’émergence d’instruments de planification et surtout de contrôle

pouvoir aux nazis. Mais SPD et KPD continuent à s’opposer et à se diviser, laissant la place au NSDAP. En 1933, une fois au pouvoir, Hitler dissout les syndicats, interdit le SPD et le KPD, élimine les militants en les envoyant dans des camps de concentrations (les premiers camps ont été pour eux). III/ L’après guerre : socialisme à l’est et à l’ouest L’Europe est coupée en deux après la guerre ; l’une sous influence soviétique (Est) et l’autre sous influence américaine (Ouest). Cette division

conçoivent leur rapport à l’Histoire. Il conclut que la colonisation doit apparaitre comme un seul moment historique qui doit être réinséré dans une histoire beaucoup plus longue. Il a par exemple montré que le Dahomey était dans un processus de centralisation politique au moment où la colonisation a commencé. La colonisation n’est donc pas le début de l’Histoire africaine, c’est un moment qui s’inscrit dans une longue histoire. Il se réfère à une notion de Gramsci : « le bloc historique ». C’est

phénomène dont la naissance et le développement impliquent un certain nombre de conditions • Les expériences fascistes s’inscrivent dans le cadre des économies avancées et correspondent à un certain stade de développement des économies capitalistes (concentration et fusion). • D’autres facteurs jouent cependant un rôle essentiel : l’existence, dans des pays comme l’Allemagne et l’Italie qui ont connu une industrialisation rapide, de masses, composée d’individus coupés des structures d’encadrement de la

inchangés. La Révolution n’est pas faite par les gens qui ont rien mais par ceux qui ont qqchose, c’est quand les choses s’améliorent qu’il peut y avoir révolution (Cf. Marx). b. la centralisation administrative On pourrait penser qu’elle découle de la RF mais Tcq montre qu’elle découle de l’AR. Cette centralisation a survécu à la RF car cela correspondait bien à ce qu’attendait la Révolution. Tout d’abord, le pouvoir central est le Roi, qui est aidé dans ces décisions par un corps administratif

guidé par deux grands principes : ▪ L’indivisibilité : les principes constitutionnels sont très importants. ▪ Libre administration des collectivités territoriales La France a une tradition centralisée depuis 1789. La centralisation est une concentration d’un ensemble de tâches administratives entre les mains de l’état. La déconcentration est la transmission des pouvoirs de l’état à des agents de l’état, à des organes locaux. Ces derniers sont sous le joug de l’état. On les appelle

Montreuil, massivement employées en tant qu’ouvriers spécialisés (c’est a dire non qualifiés) ne correspondent pas au « modèle de respectabilité ouvrière ». Ainsi en mars 1972, on peut lire dans le bulletin municipal Montreuil-Dépêche que « la concentration des travailleurs immigrés dans les municipalités démocratiques de la banlieue est préjudiciable aux intérêts de la population locale comme à ceux des immigrés eux même  et qu’elle constitue un fardeau insupportable pour les villes ouvrières ».

autres comités jusqu’à la suppression de tous les autres, concentration énorme du pouvoir, dans les comités ce sont des députés. Ils concentrent l’intégrité du pouvoir en 1792 on crée un conseil exécutif provisoire ou il n’y aura que 6 membres. En 1794 il y a la suppression des ministres. . Prééminence de l’assemblé : La constitution de l’an 1 (1793). Elle reprend les idéaux révolutionnaires, suffrage universel masculin, forte déco centralisation, promulgué le 10 Aout 1793 lors d’un référendum, elle

l’auteur, l’égalité produit deux tendances, dont la moindre serait possiblement l’anarchie, et la pire serait le chemin de la servitude. C’est que les idées des peuples démocratiques en matière de gouvernement seraient naturellement favorables à la concentration des pouvoirs. Puisqu’ils détestent les privilèges, les pouvoirs intermédiaires s’effacent et sont détruits, renforçant ainsi le pouvoir central, écartant alors toute possibilité de s’y opposer et rapetissant sans cesse le citoyen face à l’État

En effet l’empire germanique réagissait de manière différente étant donné que sa structure n’était pas la même : oppositions régionales plus vives, tendances locales plus fortes par -1- conséquent le mise en place d’une suprématie et d’une centralisation y étaient plus difficiles. Les dimensions de l’Empire étaient beaucoup plus vastes que celles du royaume de France à cette époque, par conséquent les tentatives des dynasties germaniques ont usé la plupart de leurs ressources financières, et par