La Chaumière

proposent une somme faramineuse, soit 20 000 francs, en plus d’une rente | | | |mensuelle de 120 francs. À l’opposé, les Tuvache et les Vallin habitent d’humbles «chaumières»| |Idée secondaire | |(l. x), travaillent une «terre inféconde» (l. x) et s’alimentent «péniblement de soupe, de | |

pour déverser sa peine («Un penchant mélancolique l'entraînait au fond des bois»). D'ailleurs, il raconte son histoire sous un arbre au bord du Mississippi. Le panorama correspond à l'état d'âme du héros: «la nuit, lorsque l'aquilon ébranlait ma chaumière, que les pluies tombaient en torrent sur mon toit, qu'à travers ma fenêtre je voyais la lune sillonner les nuages amoncelés, il me semblais que la vie redoublait au fond de mon cœur». Il aime se retrouver au cœur des tempêtes, elles lui donnent

(différents exemples tirés du texte)  | |soit 20 000 francs, en plus d’une rente mensuelle de 120 francs. /À l’opposé, les Tuvache et les Vallin | | | |/habitent d’humbles «chaumières» (l. x), travaillent une «terre inféconde» (l. x) et s’alimentent | |Idée secondaire | |«péniblement de soupe, de pommes de terre et de grand air» (l. x). Bien entendu, le nombre élevé d’enfants

enfants des paysans, ils offrent gâteaux, bonbons et autres gâteries. Aux parents, ils proposent une somme faramineuse, soit 20 000 francs, en plus d’une rente mensuelle de 120 francs. /À l’opposé, les Tuvache et les Vallin /habitent d’humbles «chaumières» (l. x), travaillent une «terre inféconde» (l. x) et s’alimentent «péniblement de soupe, de pommes de terre et de grand air» (l. x). Bien entendu, le nombre élevé d’enfants n’est pas perçu comme une richesse, comme en témoigne le champ lexical utilisé

David Olère naquit en 1902 à Varsovie, il mourut en France en 1985. En 1923, il émigra à Paris, s'installa à Montparnasse (quartier des artistes), fréquenta de nombreux artistes, travailla comme affichiste et enseigna à l'académie de la « Grande Chaumière. » Naturalisé Français en 1937, il fut mobilisé en 1939 au 134e régiment d'infanterie. Après sa démobilisation, il perdit son emploi, astreint à l’exclusion professionnelle en conformité au statut des Juifs (lois spécifiques excluant les Juifs du

Appuyée à la fenêtre, Emma regardait par la fenêtre. L’automne avait débuté. Les feuilles des arbres flamboyaient au soleil. Ses rayons illuminaient les toits ardoisés des chaumières. Dehors, de belles dames devisaient gaiement. D’autres gens marchaient d‘un pas lent, profitant ainsi des derniers rayons de soleil qui subsistaient. Des enfants jouaient et gambadaient autour de leurs mères. Emma poussa un profond soupir. Elle aurait voulu être comme ces bonnes gens dehors, ne fut-ce qu’un instant et

européenne du Film) comme peintre,maquettiste et décorateur de studio. En 1923, il émigre à Paris, s'installe à Montparnasse, fréquente de nombreux artistes, travaille comme affichiste à Paramount Pictures et enseigne à l'académie de la « Grande Chaumière. » Il épouse en 1930 Juliette Ventura, dont il a un fils, Alexandre. Naturalisé français en 1937 sous le nom de David Olère, il est mobilisé en 1939 au 134e régiment d'infanterie. Après sa démobilisation, il perd son emploi, la Paramount fermant

revenir. (Elle veut sortir.) PERDICAN Un instant, Camille, écoutez-moi. CAMILLE Que voulez-vous me dire ? c’est à Rosette qu’il faut parler. Je ne vous aime pas, moi ; je n’ai pas été chercher par dépit cette malheureuse enfant au fond de sa chaumière, pour en faire un appât, un jouet ; je n’ai pas répété imprudemment devant elle des paroles brûlantes adressées à une autre ; je n’ai pas feint de jeter au vent pour elle le souvenir d’une amitié chérie ; je ne lui ai pas mis ma chaîne au cou ; je

"Peuples !" ainsi que l'opposition "homme il est doux comme une femme" montre qu'il s'adresse à toutes les ethnies, sans discrimination sexuelle. Les différentes oppositions, telles que "plaines"/"collines" ou encore "ville et désert, Louvre et chaumières", indiquent que le message s'étend partout, et qu'il est universel. Hugo parle au nom d'une communauté, car il refuse d'employer le "je", trop personnel. En tant que porte parole, il se doit de faire part de l'urgence de son message, grâce à l'ordre"écoutez"

porte-parole artistique des classes défavorisées, préoccupation sociale qui devait le suivre toute sa carrière. Toutes ces études débouchèrent sur son premier chef-d'oeuvre, "Les mangeurs de pommes de terre" ('avril 1885), et d'autres toiles comme "Chaumière à la tombée du jour", "Tisserand avec son métier", "Nature morte à la Bible ouverte". Après le décès de son père en mars 1885, Vincent, cherchant à vivre de sa peinture, quitte Nuenen et la Hollande (il n'y reviendra jamais) en novembre 1885