La Chaumière

ou divine, Qui prend le passé pour racine, A pour feuillage l'avenir. Il rayonne! il jette sa flamme Sur l'éternelle vérité ! Il la fait resplendir pour l'âme D'une merveilleuse clarté. Il inonde de sa lumière Ville et désert, Louvre et chaumière, Et les plaines et les hauteurs ; A tous d'en haut il la dévoile; Car la poésie est l'étoile Qui mène à Dieu rois et pasteurs !  Victor Hugo, Les Rayons et les ombres

au pays des merveilles », ils sautent dedans…une porte donne sur jardin de fleurs, il y a les cartes 2-5-7 de pique qui peignent les roses blanches en rouge ; la reine veut leur couper la tête et ils fuient dans la forêt. 10) Ils arrivent à une chaumière ; il y a une grenouille à la porte qui ne les voit pas…à l’intérieur duchesse avec une bébé, ils éternuent à cause du poivre dans la soupe…Alice, la fillette s’occupe du petit qui se transforme en cochon. Elle leur conseille de trouver le grimoire

au pays des merveilles », ils sautent dedans…une porte donne sur jardin de fleurs, il y a les cartes 2-5-7 de pique qui peignent les roses blanches en rouge ; la reine veut leur couper la tête et ils fuient dans la forêt. 10) Ils arrivent à une chaumière ; il y a une grenouille à la porte qui ne les voit pas…à l’intérieur duchesse avec une bébé, ils éternuent à cause du poivre dans la soupe…Alice, la fillette s’occupe du petit qui se transforme en cochon. Elle leur conseille de trouver le grimoire

ou divine, Qui prend le passé pour racine, A pour feuillage l'avenir. Il rayonne! il jette sa flamme Sur l'éternelle vérité ! Il la fait resplendir pour l'âme D'une merveilleuse clarté. Il inonde de sa lumière Ville et désert, Louvre et chaumière, Et les plaines et les hauteurs ; A tous d'en haut il la dévoile; Car la poésie est l'étoile Qui mène à Dieu rois et pasteurs ! Victor Hugo, Les Rayons et les ombres, 1839 Ce coeur qui haïssait la guerre

introduit le regard hostile sur le monde paysan avec les injures « cul terreux, rustres) c) l’ACTION • c’est à l’extérieur que se passe l’action, les évènements qui marqueront le monde, le futur (« la marche du monde ») • veillée des chaumières = sous la voutes on est rassuré mais il ne se passe rien , on s’ennuie d) le DANGER • le nouveau associé aux crimes, de façon vague et universel : indéfinis pluriels, « les assassins à foulards, les découpeurs, hivers 43) • rappel l’expérience

animaux présents dans les étables. Les habitants du village étaient terrorisés, et n'osaient pas sortir plus d'un œil des fenêtres afin de regarder ce qui se passait. Soudain, des torches se mirent à voler dans les cieux et atterrirent sur les chaumières du village. Des cris d'enfants et de femmes se firent retentir, ceux qui cherchaient à s'échapper étaient tuer sur le champ. Le jeune Edwin innocent et pleins de volonté prit ses outils afin de se défendre, mais son frère l'en empêcha et lui barra

texte) offrent gâteaux, bonbons et autres gâteries. Aux parents, ils proposent une somme faramineuse, soit 20 000 francs, en plus d’une rente mensuelle de 120 Idée secondaire francs. À l’opposé, les Tuvache et les Vallin habitent d’humbles «chaumières» (l. x), travaillent une «terre inféconde» (l. x) et s’alimentent «péniblement de Lien + Idée secondaire soupe, de pommes de terre et de grand air» (l. x). Bien entendu, le nombre élevé d’enfants n’est pas perçu comme une richesse, comme

la tête du héros. Il va de soi que le pantonyme initial ou final peut être absent; il va moins de soi, mais c'est tout aussi vrai, que le paradigme peut être celui où la maison elle-même se place: immeuble, bicoque, tour, cages à lapins, temple, chaumière, château, masure, villa... j'en passe. Il est vrai également que le paradigme peut n'être que verbal: "Ma beauté...baisons dans ma maison de Bezons!" La description est donc de l'ordre du paradigme, des métaphores filées, de la liste, du catalogue

peine aux besoins de leurs petits. Il s'agit des Tuvache, ayant trois garçons et une fille, et des Vallin, ayant trois filles et un garçon; leur vie était misérable, pénible, pauvre.! Un jour d'août, une jeune femme qui passait devant les deux chaumières, s'arrête et admire les enfants qui jouent ensemble ; elle vient les embrasser et leur donne des friandises. Le manège se répète plusieurs fois jusqu'au jour où la dame et son époux, Mme et Mr d'Hubière, entrent chez les Tuvache leur demandant

satisfaire leur soif d’aventures et de connaissances, s’intéressant à la plus petite fourmi qui passait par là. Le carillon de l’Eglise retentit d’entre l’amas de petites maisons au loin et les deux enfants se mirent à courir pour rejoindre leurs chaumières et ne pas éveiller l’inquiétude de leurs proches. Depuis maintenant trois siècles, leurs deux familles habitaient juste à côté, entretenant des années de bonne humeur et d’amour fraternel. Le parcours de leurs grands-parents et arrières grands-parents