La Chose

il peut tendre vers l’infini, mais il ne pourra jamais l'atteindre. Or, pour vivre, l'homme se trouve dans la nécessité de s'approprier le monde qui l'entoure. Ne pouvant en aucune manière saisir le tout, c’est-à-dire la réalité première, ou la chose en soi selon Kant, l'homme s'est vu dans l'obligation de diviser le monde en objets, pourtant indissociables, et cette division a eu lieu par le langage. Le langage est ce qui permet à l’homme de s’approprier le monde. Ainsi apparaît-il clairement

celle d’une réalité structurant elle-même la connaissance. Il va ainsi déplacer le champs de notre connaissance possible, qui n’est plus ontologique mais se confondant avec celui de notre représentation. Nous ne pouvons connaître aucun objet comme chose en soi mais uniquement comme objet de l’intuition sensible, c’est-à-dire comme phénomène. De cette interrogation sur le contenu de notre faculté de connaître et sur les conditions de possibilité de la connaissance il déduira l’existence de deux mode

Philosophie Générale Thème abordé : Le temps vécu Introduction : Qu'est-ce que le temps ? Temps objectif Une même référence pour tous mesurable; homogène; commun; linéaire et orienté; irréversible; il y a succession et régularité Temps subjectif Singulier, que l'on expérimente considération de l'instant, singularité, temps parasité par mémoire, passé, futur anticipation, ressenti il est donc ponctué Nature : Très difficile à définir, on parle de pure fluence

Définitions des termes : •chose : 1. Désigne la réalité (res en latin : chose) en gén. ; cf. DESCARTES : « chose pensante » (âme), « chose étendue » (matière). 2. Désigne la réalité, envisagée comme déterminée et statique, existant hors de la représentation ; en ce sens, KANT utilise l'expression « chose en soi ». 3. (Par ext.) À partir du sens 2, désigne la réalité inanimée, hors de son rapport à la pensée (le monde des choses). Rem. : la chose se distingue de l'objet en ce que ce dernier est

raison) ne sont pas contradictoires. • chose : 1. Désigne la réalité (res en latin : chose) en gén. ; cf. DESCARTES : « chose pensante » (âme), « chose étendue » (matière). 2. Désigne la réalité, envisagée comme déterminée et statique, existant hors de la représentation ; en ce sens, KANT utilise l'expression « chose en soi ». 3. (Par ext.) À partir du sens 2, désigne la réalité inanimée, hors de son rapport à la pensée (le monde des choses). Rem. : la chose se distingue de l'objet en ce que ce dernier

maintenant, c'est-à-dire qu’il est limité dans le temps et l’espace. Cela nous indique que la technique est une chose. Heidegger, dans Qu’est-ce qu’une chose ? montrait qu’une chose concrète est toujours ici et maintenant, qu’elle est toujours placée dans ces deux dimensions de l’espace et du temps. Or, si la technique est une chose concrète, on entrevoit dès maintenant qu’elle n’est pas une chose en soi, ainsi le pouvoir technique ne s’exerce pas sur le monde des choses en soi, le monde des noumènes.

nous sommes effrayés d’accomplir quelque chose pour laquelle nous ne sommes pas sûrs de notre capacité à aller jusqu’au bout. C’est cette peur de l’inconnu qui nous paralyse, qui nous empêche de franchir le cap : en d’autres termes, « oser » ! Il faudrait passer outre cette peur qui nous bloque car on manque d’audace. Pour cela, il faut oser, peu importe ce qui se passe car par la suite, un sentiment de fierté nous animera vu qu’on aura réalisé quelque chose qu’on ne se sentait pas capable d’accomplir

ou plutôt, quand des hommes ont longtemps vécu ensemble dans des conditions identiques, sous le même climat, sur le même sol, courant les mêmes dangers, ayant les mêmes dangers, ayant les mêmes besoins, faisant le même travail, il en naît quelque chose qui « se comprend » : un peuple. Dans toutes les âmes un même nombre d’expériences revenant fréquemment a pris le dessus sur des expériences qui se répètent plus rarement : sur elles on se comprend vite, et de plus en plus vite ~ l’histoire du langage

1 Énoncé de la thèse (première phrase) Partie 2 Argument principal ("La "chose en soi" ... toute autre et nouvelle.") Partie 3 Argument par analogie qui éclaire l'argument principal Exemple du son et de son image dans le sable : "On peut s'imaginer un homme ... pour nous tous du langage." Application par analogie au rapport entre la réalité et sa représentation dans le langage. : "Nous croyons savoir quelque chose ... enfin comme son articulé." Conclusion : Dernière phrase 3. Explication

relation entre la conscience et le réel : ce que j'ai conscience est-il révélateur du réel ? Pour répondre à cette question il faut d'abord s'interroger sur le sens du terme "révéler" dans le sujet. Faut-il l'entendre au sens de dévoiler ? Comme si une chose nous était cachée ? Et donc remettre en cause notre conscience qui en définition est censée nous permettre de percevoir ce qu'il y a autour de nous, à représenter les choses. Il y a peut-être des choses appartenant au réel que notre conscience ne nous