La Cité de la joie

à faire correspondance signifiant/ signifié ( = mot/chose) quʼelle se fasse par la gestuel ou oralement. À propos inclut le langage des sourds&muets, les dires dʼun fou & exclut le parler des animaux, la simple expressions des passions ( cris de joie & tristesse). Dans le cas du dressage -> réponse automatique à un signe conditionné, réflexe conditionnée théorisée par Pavlov. ex: Lorsque une pie dit “Bonjour !” à sa maîtresse elle ne dit rien car cela ne signifie rien puisquʼelle ne saisit pas

social. L’homme possède la parole car il doit communiquer des valeurs à autrui. La parole permet la transmission des valeurs qui organisent la cité. Aristote met l’accent, dans sa réflexion sur le langage, sur la relation entre l’usage de la parole et la dimension politique de l’homme. Pour les grecs (antiquité), l’homme appartient naturellement à la cité. La cité ne peut pas être remise en cause et on ne peut pas remettre en cause l’ordre politique. Pourquoi le problème de l’origine ne peut pas

Thomas More est le premier penseur à mettre en scène ce monde particulier. Dans son texte il dresse le tableau idyllique d’une cité située sur une île imaginaire. Ce monde est ici caractérisé par une architecture géométrique « Les rues ont été bien dessinées » (ligne 14), « Elles forment deux rangs continus » (ligne 15). Concernant l’urbanisme, l’aménagement de la cité est frappant et donne au lecteur une impression positive de la ville. Les matériaux utilisés sont nouveaux, le pont « n’est pas

LA RÉPUBLIQUE  DE PLATON RÉSUMÉ ET THÈMES   LIVRE IV : BONHEUR DES GARDIENS SUBORDONNÉ À CELUI DE LA CITÉ ; PARALLÉLISME ENTRE LA JUSTICE DANS L'INDIVIDU ET LA JUSTICE DANS LA CITÉ I - SOCRATE ET ADIMANTE : LA VIE DES GARDIENS ET LE BONHEUR DE LA CITÉ(420a-427c, pp. 171-179) - A - 420a-421d, pp. 171-173. - Le bonheur de la Cité tout entière passe avant celui des individus, fussent-ils gardiens.À Adimante qui demande quelle source de bonheur ont les gardiens en dehors de leur salaire, Socrate répond

pensée sur plaisir : accentue (se remémorer, anticiper agréablement) ou atténue Certaines formes de plaisirs excluent réflexion > captation totale de l’esprit pour l’intérêt immédiat. Aristote «Les plaisirs sont un obstacle à penser et plus la joie est intense, plus ils le sont. Songeons au plaisir sexuel, personne en effet n’est capable d’avoir la moindre pensée lorsqu’il l’éprouve» >> Expérience du plaisir semble réfractaire à pensée * Plaisir relève de la vie, il est vécu VS pensée

nombreux combats individuels ou collectif, dans lesquelles s'affrontent des héros comme Hector, Ajax, Achille ou encore Patrocle. Troie est une cité fortifiée et très bien défendue, les Grecs envoient donc des centaines de navires pour l'assiéger. Mais, c'est grâce à la ruse d'Ulysse (le Cheval de Troie) que les grecs vont prendre Troie d'assaut pour brûler la cité et ses habitants, ce qui entraînera la destruction définitive de la ville. À la fin du récit, les Grecs l'emportent : Achille qui tue Hector

siècles, p.47 “(...)Guetteur de la tour,      je suis de retour de là où je vous entendais.      De l'amour de ma mie,      cette fois-ci, j'ai eu tout ce que je voulais.      Hu et hu et hu et hu!      Quel bref séjour dans la chambre de joie!      Hu et hu! Quel tort m'a causé l'aube qui me fait la guerre! Sauf le respect      qu'au Créateur je dois, toujours je voudrais      qu'il fît du jour la nuit:      jamais je n'aurais douleur ni tourment.      Hu et hu et hu et hu!

chanson. La première parlant, de la musique que les esclaves noirs américains, que ceux-ci chantaient pour garder espoir par rapport à leur conditions de vie et grâce à leur foi en Dieu, pourrait s’intituler Origines du jazz. Le second, parle lui de la joie et la bonne humeur des chants d’Armstrong, de la chaleur de ses chants, parlant toujours de l’espoir amené par le jazz et pourrait donc s’intituler Espoir du jazz amené par Louis Armstrong. Le troisième parle des conflits sanglants qu’on de tout temps

précisément dans Cendrillon. Dans ces extraits, de très rares détails nous sont données sur les lieux et les détails des décors, mais nous connaissons tout de même que le bal se déroule "au festin royal qui se faisait au Louvre" (l.26-27), Flaubert cite quelques parties du décors : "l'escalier"(l.44), le "parquet"(l.48), la "banquette"(l.47); ainsi que Mme de la Fayette : des "sièges"(l.32) et "la porte de salle"(l.28). Même si ce n'est exprimé clairement, on devine que les salles de bal sont pleines

sur lequel doit croître l'arbre de la Callipolis (la belle Cité) : chacun croit être pourvu d'un si bon sens que personne, comme le soulignera Descartes à la première page du Discours de la Méthode, n'en désire davantage. C'est la raison pour laquelle chacun se croit légitimé et conforté dans ses opinions, non pas seulement parce que c'est là son droit, mais surtout parce que l'opinion se veut être la source de toute vérité sur la Cité. Or, il semble bien que si l'opinion cherche par le droit