La Cité de la peur

le poète. Cela a un coté animal,renforcant l’idée de démence( on notera aussi l’adjectif « satanique »). Tandis que le poète est un exclu, il a comme seule solution le rire (« je ris ») à la peur personnifiée qui l’ »appelle » et le » poursuit ». On relevera la présence de majuscules au mots morgue mort peur qui peuvent demontrer que le poète éprouve en permanence des pensées funestes au point de se créer des « ennemis ». On apprend qu’il rit du « rire de bicetre » a la mort de son père. b- Par

DM d'histoire - la démocratie athénienne en débat Doc 2 : Dans la cité d'Athènes, la démocratie est le principe de base du fonctionnement du gouvernement et des relations entre les citoyens. Toutes les décisions sont prises pas l'ensemble des citoyens. De plus les citoyens sont égaux en droits. En revanche, la cité d'Athènes impose sa domination sur des cités alliées sans consulter le peuple de ces cités et en utilisant la force si nécessaire. Donc Athènes n'applique pas ses principes démocratiques

(Nuée) qui a été écrite sur lui. Pièce de comédie présentée par Aristophane. Les préjugés : Recherche sur le ciel et la terre/ Sophiste/Fait l’école/Fait payer pr son enseignement. Accusation récente Corrompre la jeunesse/Ne pas croire au Dieu de la cité/Introduire de nouvelle divinité. Socrate critique les dieux et ne l’a jamais nié, mais ne critique pas de la mm façon que les sophistes(père d’athéisme et d’agmostice*) ni comme les philo de la nat. Il critique la représentation de dieux et non sur

Platon raconte la souffrance à tourner la tête quand elle n'a été que dans une direction. Platon est le premier "utopique" (de façon anachronique) car il pensait que. Sa cité idéale est le résultat d'une pensée rationnelle "que quiconque résonne veut cette cité idéale". L'utopie n'a pas vocation de se réaliser mais la cité de Platon si (une différence avec l'utopie). Mais comment concilier le philosophe et le pouvoir? Selon lui, il faudrait remplacer la politique par la philosophie. Tragédie

ce que veut dire « être condamné à mort ». Cet homme nous dit tout ce qu’il fait quand il est en prison ; il devient aussi le spectateur de la scène horrible du ferrage des forçats. Puis il pense au moment où il devra aller à la guillotine ; il a peur mais il ne veut pas que les autres le sachent. Il continue à espérer dans la grâce qu’il n’aura jamais. Il nous parle aussi de sa fille et du jour où il a pu la voir et il nous dit qu’il a été content parce qu’il a pu la voir, mais il n’est pas

Une ville plutôt sale «égout qui sent fort», avec de vieux murs «vieux murs lépreux», une ville sale partout avec plein de traces au sol, de traces étranges «par terre il y a plusieurs tâches rouges comme le sang». Cette ville qui commence à faire peur a la jeune femme. La rue de la ville a des fenêtres fermer «les fenêtres au ras du sol sont fermées par des grillages (...)». C'est une ville déserte, il n'y a personne, il fait noir. La on pourrait penser que la ville est représentée comme une villa

collèges du même quartier, fuis par les élites. Introduction [L’auteur écrit à la première personne et il a été choisi de faire de même, mais ce ne sont pas des citations exactes.] Cité des 3000 à Aulnay-sous-Bois, j’attends Karim. Je croise des jeunes qui me reconnaissent, mais une règle parmi les jeunes de la cité : ne jamais dire où se trouvent les autres. J’ai choisi Aulnay après les émeutes, rencontré Karim en 2006. Il a 19 ans et est en terminale dans un lycée professionnel. Je l’ai vu

Gandhi,… qui auront besoin de l’appui de l’opinion publique. Voici ce qu’elle déclara lors d’un de ses discours les plus connus, je cite: «  Ce n’est pas le pouvoir qui corrompt, mais la peur : la peur de perdre le pouvoir pour ceux qui l’exercent, et la peur des matraques pour ceux que le pouvoir opprime… » « Dans sa forme la plus insidieuse, la peur prend le masque du bon sens, voire de la sagesse, en condamnant comme insensés, imprudents, inefficaces ou inutiles les petits gestes quotidiens

whisky ? - Non, juste un doigt. - Vous voulez pas un whisky d’abord ? La cité de la peur, Le commissaire Patrick Bialès, Odile Deray - Dites, vous pourriez pas m’en débarasser ? - Euh... il est con ! C’est un asile de fous, pas un asile de cons. Il faudrait construire des asiles de cons, mais vous imaginez un peu la taille des bâtiments... Tais-toi!. - Je sais pas ce qui me retient de te casser la gueule... - La peur peut-être ? - Ouais, ça doit être ça ! Les bronzés font du ski. - Mais

fois par jour pour procéder à un hémoglucotest et lui administrer son injection d’insuline. A midi, elle pose sa main sur moi : « J’ai l’angoisse. J’ai peur. C’est normal ? Qu’est-ce que je vais faire ?». Je tente de la faire verbaliser sur les causes de son anxiété, mais elle ne parvient pas à exprimer autre chose que le sentiment de peur. « J’ai peur qu’il m’arrive quelque chose ». A mon tour je lui prends la main, la rassure sur le fait qu’il ne lui arrivera rien, que nous sommes présents autour