La Cité de la peur

DJ., son libertinage. Il défend le sacrement du mariage et a une foi naïve, superstitieuse : il croit au « Moine-bourru », au « Loup-garou », aux « miracles de la médecine ». En tant qu’homme du peuple, il incarne le bon sens populaire. * Il a peur pour son maître et le met en garde : « le Ciel punit tôt ou tard les impies » (Acte I, Scène 2) ; « jetez-vous vite dans le repentir » (Acte V, Scène 5). Il pressent sa mort prochaine : « vous serez damné à tous les diables » (Acte V, Scène 2).

réflexion sur une lettre de Kafka dont il ne cite que le début mais à laquelle il fait référence tout au long de son propos : la collecte des idées peut commencer au deuxième paragraphe) Voici les idées : Le père c’est la Puissance, le Pouvoir ( images de l’ogre et du géant) Une puissance “distante”, “supérieure” “sacrée” “ qui provoque des réactions paradoxales : 1) la peur . “ogre” aux colères terribles, à la force physique incomparable. La peur peut engendrer la “castration” : ( honte du

publicitairement parlant ? Premièrement Penchons nous sur leur Slogan. L'un des premiers Slogans est « Evian, déclarée source de jeunesse pour votre corps ». Un des objectifs Marketing est en premier lieu de se rappeler de la marque, donc de la cité dans le Slogan et en deuxième lieu, d'associer cette marque à une idée. Ce Slogan rentre parfaitement dans un mécanisme de persuasion. En effet l'un des facteurs importants du mécanisme de persuasion est la source du discours, dans notre cas celui

champ lexical de la peur désigné par les mots « sinistre », « effrayant » (v.1), « menace » (v.2), « Douleurs », « effroi » (v.3) et « cible » (v.4). L’auteur semble avoir eu l’intention d’inclure des termes flottant autour du thème de la peur pour transmettre son message plus efficacement. Je dois dire que c’est tout à faire réussi puisque nous pouvons percevoir sans aucune difficulté l’effroi dans ses paroles et les menaces possibles du temps. Enfin, les paroles de l’horloge citées par l’auteur relatent

parenté. Certes une œuvre littéraire appartient à un autre univers que celui de la réalité mais il n'est pas impossible de faire correspondre celle-ci à des éléments de fiction. A ce propos nous pouvons écouter Albert Camus dans L'Homme révolté et je cite: la vrai création romanesque utilise le réel et n'utilise que lui, avec sa chaleur et son sang, ses passions et ses cris. Texte1: Deuxième partie, premier prêche de Paneloux   Paneloux: Jésuite érudit et militant, défenseur chaleureux d'un christianisme

la maladie qui fait le plus peur, car personne ne peut s’en estimer à l’abri.  Les cancers les plus fréquents chez la femme sont ceux du sein (30 %), de l’utérus (12 %) et des ovaires (4 %). Plus que tout autre, ces cancers peuvent être prévenus grâce à un dépistage régulier et à quelques conseils d’hygiène de vie. Dans un sondage Ifop publié dans Ouest France en novembre 2000, le cancer apparaissait comme la maladie que les Français redoutent le plus. Il est cité en tête dans 63 % des cas, loin

drues, qu'il prit sa course, galopa sur toile, Fondation Collection E. G. Bührle Zurich, Suisse dégingandé, éperdu, le long du quai de la Grève. Mais, au pont Louis-Philippe, une colère de son essoufflement l'arrêta ; il trouvait imbécile cette peur de l'eau ; et, dans les ténèbres épaisses, sous le cinglement de l'averse qui noyait les becs de 10 gaz, il traversa lentement le pont, les mains ballantes. Du reste, Claude n'avait plus que quelques pas à faire. Comme il tournait sur le quai de

franchir. La vie dans l'école militaire est loin d'être facile. Avec | |beaucoup d'émotion, le jeune héros nous fait partager la faim, le froid, les sévices que les " anciens " font subir aux " bleus | |", le sadisme de certains gradés, la peur de la guerre. Il raconte aussi son éveil à l'amour avec la femme de son chef... | |Les Brûlures de la neige  | |Michel Le Bourhis

Aristophane, pourfendeur du démagogue Cléon C. Les Guêpes : la dénonciation de la démocratie « radicale » INTRO Au Ve siècle avant J.-C., les auteurs comiques d’Athènes ont déclaré une guerre véhémente à l’esprit nouveau qui envahissait la Cité, et ont essayé de le tuer par le ridicule. Le plus illustre d’entre eux a été Aristophane, qui a vécu la Guerre du Péloponnèse, la chute d’Athènes et les bouleversements qui ont suivi celle-ci. Il a tenté de remédier par le bon sens et par le rire

« L’homme est par nature un animal politique ». Sachant que « politique » vient de Polis qui signifie Cité en grec, nous pouvons penser que l’homme est fait pour vivre en société. Pour l’être humain, l’union de l’homme et de la femme crée une famille et elle peut satisfaire les besoins quotidiens. Mais pour atteindre l’autarcie, il faut un rassemblement de bourgades qui formeront petit à petit une cité, adoptant une façon de vivre commune. On pourra alors vivre dans une communauté politique. Un homme