La Cité et les Astres

censure religieuse intervient dès l’Antiquité. Dans la civilisation grecque le philosophe Socrate a publiquement exprimé sa pensée dans laquelle il affirmait que les astres n’avaientt pas le caractère divin ou mystérieux que leur prêtait la cité. Socrate fut condamné à boire de la cigüe (poison) car il s’était opposé aux croyances de la cité. Sa liberté d’expression a donc été sévèrement réprimée, car jugée intolérable et dangereuse pour la société athénienne. L’exemple de Socrate n’est pas unique, d’autres

cas l’affirmation de cette solidarité de destin, dans le salut du moins, mérite d’être mise en évidence. Si l’on se tourne vers l’Ancien Testament, on voit que plusieurs textes évoquent la création et la place de l’homme en son sein. Nous avons cité le Psaume 136, mais on peut mentionner aussi le Psaume 8 selon lequel l’homme est presque un dieu (elohim), couronné de gloire et d’éclat, et que Dieu fait régner sur les œuvres de ses mains ; selon lequel, aussi, la terre chante la splendeur de Dieu

enfin un autre continent où les humains ne peuvent plus pénétrer, mais qu'ils ont habité avant le Déluge et sur lequel s'appuient les murailles du ciel. Tout à fait au nord se trouve une haute montagne autour de laquelle le Soleil, la Lune et les astres font leurs révolutions. [pic] -Ci-dessus, le monde par Cosmas Indicopleutès. - Ce n’est qu’à partir du XVI° siècle que la preuve incontestable de la sphéricité de la Terre est donnée : entre 1519 et 1521 Magellan accomplie le premier tour

philosophique que sur celui de l'épistémologie et de la science elle-même. Selon M. Pierre ETEVENON dans cette thèse sur le Rêve lucide, M. BOUCHET aborde différents points de vue dont l'aspect électrophysiologique du rêve, du rêve lucide et de la veille. Il cite des passage du livre "Lucid dreaming" de S. La Berge qui tenta en 1980 de discriminer le rêve lucide du rêve banal. Il précise les limitations de ces techniques expérimentales qui changent et progressent au cours du temps et se demande à juste titre

l’eau lente du fleuve, et se propage au ras de la terre». Juba, assis, immobile, la tête renversée en arrière, les yeux fermés, a le vertige à cause du soleil. Il se sent alors transporté dans la ville de Yol, la ville «de l'autre côté», cité des morts ou cité solaire, dont il est, jusqu'à la tombée de la nuit, le prince imaginaire, s’identifiant au jeune roi de Yol, «un jeune roi venu de l'autre côté de la mer et qui portait le même nom que lui», qui est l’époux de Cléopâtre Séléné. Ensuite, dans

d’un déclin de la fidélité mimétique : la rotation de la première des sphères, sur laquelle les étoiles sont fixes, imite l’immobilité du premier Moteur. Les sphères des sept planètes (Saturne, Jupiter, Mars, le Soleil, Vénus, Mercure, la Lune), ou astres errants (planasthai signifie en grec errer, s’égarer) se succèdent alors selon une hiérarchie qui correspond non seulement à une augmentation de la vitesse mais encore à l’apparition d’irrégularités, telles le phénomène de rétrogradation. Pourtant

Plus on évolue et plus cela est vrai, la mythologie devient un recueil d'histoires divertissantes (Ovide, Métamorphoses) Les dieux grecs sont des puissances tutélaires, protectrices qui protègent les cités car ils représentent les éléments. Chaque cité a sa divinité protectrice et les relations des citoyens avec leurs dieux sont donc contractuelles (je te fait un sacrifice, tu me protège). Une dimension politique de la religion apparaît ici : honorer les dieux c'est faire un acte civique, citoyens

représente la poésie de mauvaise qualité. Et ce même vin bleu lui avait servi de gouvernail et grappin. → Il a été lavé de ce vin et n'est plus guidé. Strophe 6 Césures irrégulières Ça part dans tout les sens Strophe 7 : Nouvelle naissance des astres apparaissent dans la mer lactescente. L'azur est vert → couleur inattendu Il voit un noyé → un poète qui a tenté la liberté totale, il a été ravi mais c'est noyé. Strophe 8 : V28 pronom relatif « où » Allitération en R → roulis des vagues

poète plonge alors dans l'admiration d’une Beauté paradoxale qui ne suit plus les normes antiques. Le poème illustrant l'avis de Baudelaire sur la beauté s’intitule « Hymne à la Beauté » : «  Sors-tu du gouffre noir ou descends-tu des astres ?/ Que tu viennes du ciel ou de l’enfer, qu’importe, Ô Beauté ! monstre énorme, effrayant, ingénu ! » Le poète ne voit plus la beauté à travers les critères prédéfinis de la société. Le beau n'est plus seulement attribué au céleste

nouvelles 4/Idées qu’il y a des lois naturelles ->nécessité 5/écrit un livre sur la nature en prose 1ere carte géographique du monde 6/invente l’horloge solaire ->cadran solaire 7/étudie beaucoup de position de la lune, soleil, mouvement des astres… Ciel : mouvement *régularisées évidentes c pour cela que l’on observe plutôt le ciel que la Terre … *gnomon (bâton planté verticalement) On peut calculer ainsi la hauteur du soleil durant le solstice d’été ou d’hivers. Hauteur max