La Cité et les Astres

comme aliénant que les Grecs justifiaient l’esclavage. S’opposaient alors au travail, la pensée, la politique ou encore la culture physique. La démocratie supposait de s’échapper du travail pour s’adonner aux activités publiques, à la gestion de la cité ; il supposait donc le loisir. Ceci nous conduit à présent à traiter de la conception grecque de la technique (tekhnê) et plus particulièrement celle d’Aristote. Pour celui-ci, il faut opposer les choses soumises à la nécessité naturelle

Géométrisation des formes - Plan = additions d’unités stéréotomiques simple = réduction idéale - Adaptation des façades liaisons des parties hautes et basses gràce à des volutes inversées - Utilisation du tracé régulateur • La cité idéale = représentation du cosmos : centrée sur une piazza avec deux pôles : église et palais politique, artères rectilignes (perspective), ceinture fortifiée. Vitruve : plan orthogonal Alberti : plan réglé par édifices autonomes Filarete : plan

pitié, sans remords, un peuple est massacré. Mais il est innocent !- Qu’importe? On l’extermine. Pourtant la vie humaine est de source divine; n’y touchez pas; arrière ! un homme, c’est sacré ! Sous des vapeurs de poudre et de sang quand les astres Palissent indignés, parmi tant de désastres, Moi-même à la fureur me laissant emporter, Je ne distingue plus les bourreaux des victimes; Mon âme se soulève, et devant de tels crimes Je voudrais être foudre et pouvoir éclater. Du moins

dégouté de ce qui lui arrive. III- Analyse de l’œuvre 1- Etude des personnages Harpagon: il est le personnage principal. Ce maudit vieillard est devenu une figure légendaire et emblématique dans l'œuvre de Molière. On a beaucoup de fois cité les multiples aspects de son vice, l'avarice : l'appât du gain qui fait de lui un redoutable usurier, l'amour de la richesse qui le transforme en tyran domestique, la fascination pour l'or, son obsession et la peur du vol.  Nombreux sont les moralistes

une histoire qui a un sens, qui éclaire, qui permet de socialiser. Qui donne au sujet la possibilité de se situer, par rapport aux astres, a l autre, au passe. Mais ce 'mythe est double, d après Marcel Detienne, dans le grec a deux têtes. D'un côté le grec adhéré à l histoire fabuleuse qui lui est récitée. Ne pas croire aux mythes c est instaurer le désordre dans la cité. C est un phénomène de croyance. Mais en même temps, le grec analyse le mythe. C est ce que fait Platon. L opposition mutons/logos

tyrannie. Philo politique - 11/02 La conception de Platon: parallélisme platonicien= ce qui est bon pour l'individu est bon pour la cité, pcq la cité, comme l'indv forment une unité -> concept moderne de corps social; Il faut tout de même des lois selon P.: "La cité juste est une cité ou le mal est seulement endormi de sorte que l’organisation poltq doit protéger la cité de ce mal", le mal naît de l'insatisfaction, de l’insatisfaction naît la tristesse puis la colère (et la colère mène au côté obscur

soit propre aux hommes par rapport aux autres animaux ; le fait que seuls ils aient la perception du bien, du mal, du juste, de l’injuste et des autres notions de ce genre. Or avoir de telles notions en commun, c’est ce qui fait une famille et une cité. B Cela suppose que l’on soit raisonnable Etre raisonnable consiste à user de sa raison. Souvent on dit à quelqu’un « tu as raison » lorsqu’il est de notre avis. Autrement dit on trouve qu’il fait bon usage de sa raison puisque c’est le même usage

une philosophie de la jouissance du présent qui influencera Epicure. La cité idéale conçue par Platon ne laisserait guère de place aux autres disciples de Socrate : son dialogue dialectique n’est certainement pas le dialogue maïeutique de Socrate. Il n’est pas sûr que le dire maïeutique de Socrate qui a individualisé et singularisé ses disciples certainement à un point qui devait lui-même l’étonner aurait une place dans la cité idéale de Platon. Nos démocraties modernes quand elles laissent libre au

l’aimantation d’un tropisme solaire, cette chute devient un affolement aérien, une retombée céleste : son Icare […]monte et tombe tout à la fois[155] » : Quant à moi, mes bras sont rompus Pour avoir étreint des nuées C’est grâce aux astres nonpareils, Qui tout au fond du ciel flamboient, Que mes yeux consumés ne voient Que des souvenirs de soleil. En vain j’ai voulu de l’espace Trouver la fin et le milieu ; Sous je ne sais quel œil de feu

haute Egypte. Section 2 : La structure des régimes pharaonique à travers le corpus constitutionnel à l’époque prédynastique (Nârmer) Il se trouve dans un cité de HIERAKONPOLIS (cité du faucon) est le berceau du régime pharaonique. C’est de là qui est parti l’opération qui a consisté à unifier l’Egypte dans les derniers siècles du 4ème millénaire. Ce cite a fait l’objet de fouille par une société d’archéologue britannique et ils ont mis au jour les vestiges d’un très vieux sanctuaire qui est celui du Dieu