La Cloche de détresse

Viollet se nommant La voyageuse Noire est une allégorie pure de la Peste. En effet, la couleur noire de cette femme au premier plan peut faire allusion à la peste noire. Elle possède un regard froid et lointain. Dans sa main gauche elle possède une cloche, qui servait à l’époque à évoquer la présence de personne ayant la peste. Sa main droite permet de refouler comme une onde permettant ainsi de transmettre la peste. On aperçoit derrière elle les malheurs qu’elle a causé, et qu’elle va causer puisque

« sombres chagrins » ou « existence brumeuse », à des mots tels « champs lumineux » ou « sereins ». Bref, le poème « Élévation » de Charles Baudelaire est définitivement un poème très clair et très heureux, sans aucune source de tristesse ou de détresse. En revanche, le poème « Spleen ( Quand le ciel... ) » de Charles Baudelaire, également tiré de son recueil de poèmes intitulé Les Fleurs du Mal, s'oppose complètement au poème « Élévation », par son contenu dépressif et extrêmement sombre. Dans

tout à fait exact Mme la Présidente » Palais de justice de Paris Le public pénètre dans la salle. Les jurés, l’air grave, dossiers sous le bras, s’installent. 47ans, veste en cuir et menottes aux poignets Jamel, salut ses avocats et s’assoit. La cloche retentit, l’audience se lève, la Cour s’installe. Le procès débute. Placé à la DAAS de 5 à 13 ans, Jamel se tourne rapidement vers l’alcool et se drogue dès 18 ans. Les psychiatres le disent fragile, déprimé et sujet à des « carences affectives »

hiatus sur « affreux hurlement » renforce la tension et le mot « opiniâtrement » fait l'objet d'une diérèse. On observe également des assonances en « i » et « en ». L'image des cloches annonce l'enterrement dans le quatrain suivant. Elles sont personnifiées ("hurlement, sautent avec furie"). On peut voir dans ces cloches (connotation religieuse, lien avec Dieu)la dernière tentative de révolte du poète qui lance vers le ciel un ultime cri de désespoir. Mais ce cri finit par diminuer d'intensité pour

ville était important pour illustrer les destructions dues au combat, en traversant la ville le vide laissé par la guerre et les plaques indiquant ce qui se trouvait à l'endroit indiqué m'ont aidé à réaliser ce qu'avaient été les destructions et la détresse des combattants. Sur ce site plus que les connaissances, c'est l'émotion qui a dominé. Cela m'a beaucoup touché, et donc plu. C'est à cet endroit que l'on ressent le mieux le désarroi des populations civiles devant la destruction de leur bien. La

bien être le sien. Cette progression incertaine mêlée à la lenteur apporte au poème l'angoisse que Baudelaire lui confère, lui et ses idées. Axe 2 : Peinture de l'angoisse : 1. La Tristesse : La mélancolie, la tristesse, le désespoir et la détresse sont exprimées par un choix de couleurs, entre autre, avec la dominance du noir tout le long du texte, et qui clôture même ce poème, en un mot final et sombre. Dans ce tableau macabre, l'auteur évoque plus particulièrement la tristesse, qui est

sur les arbres secs et creux. O terre de détresse, où nous devons sans cesse, piocher, piocher. Posture 2 Dans ce camp morne et sauvage, entouré de murs de fer, Il nous semble vivre en cage, au milieu d'un grand désert. O terre de détresse, où nous devons sans cesse, piocher, piocher. Posture 3 Bruits des pas et bruits des armes, sentinelles jours et nuits. Et du sang, des cris, des larmes, la mort pour celui qui fuit. O terre de détresse, où nous devons sans cesse, piocher, piocher

la vie de Félicité, celles des personnages secondaires ainsi que de la société elle-même. Tout d’abord, la vie de Félicité, l’héroïne de « Un Cœur Simple », est dictée presqu’entièrement par la religion. Ses journées se passent au rythme des cloches, et jamais elle ne s’en indigne. Routine qui ne change à peine à travers les années, Félicité se laisse porter à travers les évènements avec une soumission à toute épreuve. « Elle se levait dès l’aube, pour ne pas manquer la messe.» Une constance

Récit du bombardement de la Petite ville de Guernica Le 26 avril 1937, à 16h 30, le ciel de Guernica, petite ville du nord de l’Espagne, s’assombrit. Les cloches de la cité basque se mettent à sonner étrangement. Quinze minutes après, les premiers avions lâchent déjà leurs bombes au-dessus des places, des rues et des habitations. Ce sont des bombardiers allemands de la division Condor, suivis d’avions italiens. Ce lundi, à Guernica, c’est jour de marché. De tous

mis en place. Le sort tragique de la novelle est dès le début très présent. Le curé a trouvé le Gueux « la veille du jour des morts ». C’est la raison pour laquelle il a reçu le nom « Nicolas Toussaint ». Peu à peu la situation se dégrade. Cette détresse va justifier le vol qu’il commencera plus tard. Dans la dernière phrase de l’extrait, le narrateur est très présent. Maupassant reprend les paroles des avares paysannes normandes en écrivant : « Cependant le fainéant avait besoin de manger tous les