La Cloche de détresse

est triste, désespéré, allant même à avoir des pensées suicidaires. À la quatrième strophe, un son particulier attire l’attention de l’auteur. Ce qu’il perçoit semble être le son des cloches d’une église, gothique selon le texte : v.13-14 « Cependant,… un son religieux se répand dans les airs » ; v.14-15 « La cloche rustique aux derniers bruits du jour mêle de saints concerts ». Lamartine met en contraste plusieurs éléments lors de sa description du paysage. « Le crépuscule encor jette un dernier

51 Un sonnet souvent décrié des Fleurs du Mal · La Cloche fêlée Agnès DISSON Il est amer et doux, pendant les nuits d'hiver, D'écouter, près du feu qui palpite et fume, Les souvenirs lointains lentement s'élever Au bruit des carillons qui chantent dans la brume. Bienheureuse la cloche au gosier vigoureux Qui, malgré sa vieillesse, alerte et bien portante, Jette fidèlement son cri religieux, Ainsi qu'un vieux soldat qui veille sous la tente! Moi, mon âme est fêlée, et lorsqu'en ses

peut très bien être le sien. Cette progression incertaine mêlée à la lenteur apporte au poème l'angoisse que Baudelaire lui confère, lui et ses idées. II/ Un poème lyrique ..1. La Tristesse La mélancolie, la tristesse, le désespoir et la détresse sont exprimées par un choix de couleurs, entre autre, avec la dominance du noir tout le long du texte, et qui clôture même ce poème, en un mot final et sombre. Dans ce tableau macabre, l'auteur évoque plus particulièrement la tristesse, qui est

son aile timide Et se cognant la tête à des plafonds pourris; Quand la pluie étalant ses immenses traînées D'une vaste prison imite les barreaux, Et qu'un peuple muet d'infâmes araignées Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux, Des cloches tout à coup sautent avec furie Et lancent vers le ciel un affreux hurlement, Ainsi que des esprits errants et sans patrie Qui se mettent à geindre opiniâtrement. - Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, Défilent lentement dans mon

bien être le sien.  Cette progression incertaine mêlée à la lenteur apporte au poème l'angoisse que Baudelaire lui confère, lui et ses idées.  2/ Peinture de l'angoisse 1. La Tristesse :  La mélancolie, la tristesse, le désespoir et la détresse sont exprimées par un choix de couleurs, entre autre, avec la dominance du noir tout le long du texte, et qui clôture même ce poème, en un mot final et sombre.  Dans ce tableau macabre, l'auteur évoque plus particulièrement la tristesse, qui est

(dieu) plutôt qu’un effet négatif. * Identifiez et commentez un effet de sonorités (V.13-14) (Des cloches tout-à-coup sautent avec furie // Et lancent vers le ciel un affreux hurlement) le son « S » se répète et semble démontrer une peur ou une angoisse voire même de la détresse. * Relevez et expliquez la comparaison. Les vers 15 & 16 sont la comparaison des vers 13 & 14. Les cloches représentes les idée intérieur et l’esprit aussi. * Percevez-vous un effet particulier de versification

train de remorque + 200 m. poupe Remorqué. Si + 200m   1 jaune + 1 jaune dedepoupe    une volée de cloche pendant 5s + 1 coup de gong si + 100m toutes les minutes Ou Ou - 50m Navire pilote + 1 jaune de poupe Feu tribord bâbord et feu de poupe ou si objet flottant : feu blanc. Navire au mouillage. Navire échoué.   + 50m Ou   3 coups + une volée+3 coups de cloche + 1 coup de gong si + 100m toutes les minutes  NAPM - 50 m FB – FT FP FTM Navire de - 7 m 1 Feu Blanc

files de gens, harassés par la vie, se perdaient, courbés en deux, dans le crépuscule, alors qu'abreuvé d'amertumes, gorgé de dégoût, il se sentait, dans la nature éplorée, seul, tout seul, terrassé par une indicible mélancolie, par une opiniâtre détresse, dont la mystérieuse intensité excluait toute consolation, toute pitié, tout repos. Pareil à un glas de mort, ce chant désespéré le hantait, maintenant qu'il était couché, anéanti par la fièvre et agité par une anxiété d'autant plus inapaisable qu'il

manifestaient dans les pas de la jeune fille. Elle était vêtue de noir intense, les cheveux blonds cendrés qui lui arrivaient sur les épaules, des yeux verts luisants dans l'ombre des rues. Sa respiration était saccadée. Elle frissonnait. On pouvait voir la détresse de son cas dans la profondeur de son regard. Son corps s'effondrait dans la neige comme un corps sans vie, on aurait pu penser que sa vie était sur le point de se terminer. < Hiro ! Hiro ! Réveille-toi, Hiro! > s'exclama une voix rauque, affolée

L’auteur, dès les premières lignes de son récit, nous montre une scène irréelle, impossible à croire … En effet, l’auteur observant le naufrage de la plage, nous décrit “Le navire en détresse tire des coups de canon d’alarme ; mais, il sombre avec lenteur’’(l1), cette ligne, mise en relation avec plusieurs autres, crée une scène irréelle, figer dans le temp et l’espace, cela se remarque par des incohérence “Ils ont fait jouer les pompes