La Collectivisation Du Risque

Janvier 2009 Leslie Auriol Antoine Bagni Alizée Bourdon Intan Clément Hugo Gillier Nicolas Granjon Adrien Mousset 1 Sommaire Introduction I. Le Viêt-Nam face aux changements climatiques 1. 2. 3. 4. Contexte Le delta du Mékong au centre des risques climatiques Changements climatiques et répercussions touristiques Les Changements Climatiques au Viêt-Nam et ses répercutions A. B. C. D. Ressources en eau Forêts et pêches Santé Énergie et transport p.3 p.5 p.6 p.7 p.8 p.9 p.10 p.10 p.11 p.11

mettre à jour une faute et pas d'indemnisation (propose un autre fondement : le risque §2: Le risque (Josserand, Saleilles) -indemnisation des victimes apparu socialement souhaitable car victimes sont souvent les plus démunis -constatent que des dommages peuvent résulter d'un risque qui s'est réalisé -proposent que celui qui crée un risque doit en répondre si ce risque se réalise -théorie du risque conduit à constater une responsabilité objective (on ne cherche plus la faute mais

condamne ainsi la dictature du prolétariat prônée par le marxisme-léninisme. Il dénonce une « presse et une radio contrôlées », cad une propagande prosoviétique dans les pays contrôlés par l’Armée rouge. Pour éviter la contagion communiste et ne pas risquer un jour « la sécurité de (sa) nation », il souhaite que les Etats-Unis assument le leadership du « monde libre » et sortent de leur position isolationniste (la vieille « doctrine Monroe ») : c’est le fondement d’une alliance militaire organisée autour

obtenir indemnisation. On passe à une autre vision qui repose sur le risque, considérant que celui qui doit être responsable est celui qui créé un risque de dommage ou qui profite du risque en question. Le deuxième facteur d’évolution depuis le code civil, c’est la généralisation de l’assurance de responsabilité. Elle permet de faire passer la charge de l’obligation sur la collectivité des assurés. Il y a une mutualisation du risque, on fait payer à chacun une somme pour que tous soient couverts.

par la prise en charge de certaines de ses activités : le positionnement de l'assistant au sein des processus est alors très variable. Il se situe très fréquemment en fin de phase par des activités de suivi et de contrôle (suivi de la gestion des risques, veille informationnelle…) mais il peut également intervenir sur des aspects organisationnels (en participant par exemple à la mise en place d’une gestion documentaire, de procédures de travail collaboratif ou de modélisation de documents) ; - en

par la prise en charge de certaines de ses activités : le positionnement de l'assistant au sein des processus est alors très variable. Il se situe très fréquemment en fin de phase par des activités de suivi et de contrôle (suivi de la gestion des risques, veille informationnelle…) mais il peut également intervenir sur des aspects organisationnels (en participant par exemple à la mise en place d’une gestion documentaire, de procédures de travail collaboratif ou de modélisation de documents) ; - en

nucléaire : Inde, Pakistan, Israël D’autres ont cherché (Irak) ou cherchent à l’obtenir : Iran, Corée du sud Technologie beaucoup moins sophistiquée que le nucléaire Armes de destruction massive des pays pauvres (Iran, Libye, Irak) 2. L’extension du risque nucléaire : le problème de la dissémination      3. La dissémination des armes chimiques et bactériologiques   c) La permanence et l’aggravation de la menace terroriste  Permanence : autrefois lié à l’extrême gauche (Brigades rouges

IDENTIFIER LE RISQUE POUR PROTEGER ................................................ 3 SEQUENCE 05 : ANTICIPER LE RISQUE POUR EVITER SA REALISATION .................... 15 SEQUENCE 06 : ASSUMER LE RISQUE ................................................................................... 29 THEME 5 : L’ENTREPRISE FACE AU RISQUE SEQUENCE 04 IDENTIFIER LE RISQUE POUR PROTEGER ............................................................................................ 4 I. LE RISQUE PAR L’EXEMPLE

angoissante que les moyens financiers disponibles sont modestes : le risque de perdre un dollar pour un pauvre n’a pas la même signification que pour un riche. Ainsi, « le paysan pauvre rationnel du Tiers Monde a donc toutes les bonnes raisons de ne pas moderniser son exploitation, de ne pas investir davantage, de ne pas adopter de nouvelles techniques culturales... Ainsi, le maintien d’une pauvreté endémique dans les PED risque d’être attribué à la culture des peuples alors qu’il s’agit du résultat

1945 avait laissé face à face deux nouveaux géants aux systèmes radicalement opposés : la démocratie libérale aux E-U et une dictature communiste à l’Est. Leurs valeurs sont inverses : liberté d’entreprise et démocratie parlementaire d’un côté, collectivisation, planification et totalitarisme de l’autre. Les EU ne pouvaient que mal s’accommoder avec un système communiste qui régnait les fondements de la civilisation US, à savoir : la propriété, la famille et la religion.           2/ Des objectifs divergents