La Colonne Jakin

mon intelligence doit se brancher, s’établir pour recevoir. Vous l’aurez reconnu, pour moi la colonne ou l’on touche le salaire de l’Immanence est Boaz et la colonne ou l’on touche le salaire de la Transcendance est Jakin. (Les colonnes Boaz et Jakin sont dressées en l’homme. L’une est en brique ou en bronze, un mélange qui provient de la terre et qui se construit ou se forge par l’homme en une colonne universelle et l’autre est en marbre, un bloc monolithique sur lequel est gravé la géométrie, la

le Temple Colonnes de temple Résineux, aulne, décor peint en gris et vert, legs Paul gerschel ces deux colonnes sont placées de part et d'autre de la porte, à l’intérieur du temple et sont une référence à la Bible. en effet, le modèle d'un temple maçonnique s’inspire en partie du temple de Salomon décrit dans l'ancien testament. Son architecte est le maître Hiram, dont l'assassinat et la renaissance spirituelle sont remis en scène lors du passage au grade de maître. les deux colonnes de l'entrée

Les deux colonnes Comme Préliminaire à tout sujet, il y a toujours une définition. J’ai tout simplement choisi celle du manuel de l’App :. Définition des Colonnes selon Le Petit livre blanc : « Les deux colonnes d’airain, de style phénicien, dont les proportions et les descriptions sont données par le Volume de la Loi Sacrée, dans le premier Livre des Rois, chap 7, versets 13 à 22. » Formule simple, mais lapidaire, qui donne envie d’en savoir plus. Puisqu’un lapidaire est un tailleur

et maître) Les trois principaux symboles (lune, soleil et delta). Dans le volet soulevé, nous voyons aussi le symbole de la masculinité. Dans le temple des apprentis sont placés à la colonne nord, nommé Jakin (prononcé Yakin) qui signifie (il sera mis) représente le principe masculin, elle borde sur la colonne sud appelée Boaz, ce qui signifie (en vigueur), qui représente le féminin principe, dans un esprit de complémentarité. Tabliers apprentis étaient à l'origine, et sont parfois encore en

niveaux d'états d'existence propres au monde de la manifestation et un état de non-existence associé au Principe immuable à l'origine de la manifestation. Le but de cet article est précisément de donner une vue d'ensemble de la signification des colonnes du Temple au regard du développement de l'être humain. Construit à partir de la géométrie sacrée, le Temple était divisé en trois lieux essentiels en relation aussi bien avec le macrocosme (ou monde cosmique) que le microcosme (ou monde individuel):

que le temple de Salomon était appelé à disparaitre. Les 2 colonnes à l’entrée du temple symbolisent pour celle de gauche BOAZ, la justice et celle de droite JAKIN, l’amour. Elles font allusion à l’infrastructure qui relie le monde d’en haut et le monde d’en bas. La colonne centrale est l’harmonie. Dans le temple cette dernière est inexistante puisqu’elle représente l’homme. Un autre symbole important est le blé ornant les colonnes rappelant comment Salomon a trouvé le lieu de construction du

sonnant l'appel sur les timbres d'airain, Adoniram, s'arrachant à ses pensées, traversa la foule des ouvriers rassemblés ; et pour présider à la paye il pénétra dans le temple, dont il entrouvrit la porte orientale, se plaçant lui-même au pied de la colonne Jakin. Des torches allumées sous le péristyle pétillaient en recevant quelques gouttes d'une pluie tiède, aux caresses de laquelle les ouvriers haletants offraient gaiement leur poitrine. La foule était nombreuse ; et Adoniram, outre les comptables

l'édition dite Les Rouyat. Quant aux "références explicites à Dieu", dans les manuscrits aux 3 premiers grades il n'y en a que 2 : celle de l'obligation précisant entre parenthèses que le GADLU est Dieu et la signification de la parole sacrée Jakin : Ma force est en Dieu. Seule la première référence est omise. Concernant le "principe de justice" qu'il évoque au 2e grade : "Le rituel de 1785 mentionne « la vertu et la justice » [430]. Celle de 1979 [1er rituel de la GLNF] modifie la citation

sonnant l'appel sur les timbres d'airain, Adoniram, s'arrachant à ses pensées, traversa la foule des ouvriers rassemblés ; et pour présider à la paye il pénétra dans le temple, dont il entrouvrit la porte orientale, se plaçant lui-même au pied de la colonne Jakin. Des torches allumées sous le péristyle pétillaient en recevant quelques gouttes d'une pluie tiède, aux caresses de laquelle les ouvriers haletants offraient gaiement leur poitrine. La foule était nombreuse ; et Adoniram, outre les comptables

peut être aboutir à la lumière suprême. Mais, Si la porte est synonyme d’entrée elle est également la sortie. Et comme le précise notre rituel, il faut « achever au dehors l’œuvre commencée dans le temple ». Je n’oublie pas que les deux colonnes « jakin » et « boaz » m’ouvre la porte de l’en dehors celle du « temple de l’humanité » au sein duquel mon devoir est de rassembler ce qui est épars. Car chaque maçon par son exemple et sa différence contribue à l’élévation spirituelle et morale de l’humanité