La Compétitivité Hors Prix

conjoncturelle est destinée à agir sur les fluctuations économiques, c'est-à-dire sur le rythme de la croissance économique. Elle est menée par l'État et vise à agir sur la situation à court terme afin d'atteindre comme objectif : la stabilité des prix, l'équilibre extérieur, chômage minimum et une croissance économique soutenue. Cette politique conjoncturelle se traduit par deux principales politiques que sont la politique budgétaire et la politique monétaire. Ces politiques font l'objet de débat

primaire et secondaire. Géographique Changement d’endroit par les actifs. Quantitative interne - modulation du temps de travail : RTT - Variation du nombre de salariés. - Si compensation salariale ou maintien des salaires : augmentation des prix, pas d’embauches. - Si non compensation salariales ou baisse des salaires : surcroît d’embauches= surcroît de coûts ; augmentation des coûts de formation - Maintien de l’emploi. - Logique visant à améliorer les conditions de vie et de travail du

grandes fonctions verticales des firmes, devenaient franchement contre-productives dans les nouveaux contextes concurrentiels, axés non seulement sur la réduction des coûts et la productivité-débit, mais, de plus en plus, sur des critères de performance hors coûts tels que la qualité, les délais, le niveau de service. Pierre Veltz, le Nouveau Monde industriel, © Editions Gallimard, 2000 DOCUMENT 6 : Liens entre pratiques de travail innovantes, accidents du travail et charge mentale |Variable

accroissement de la compétitivité prix). Spécialisation : gain de productivité Hausse de la concurrence (effet stimulant) Hausse de la qualité, innovations Baisse des couts Concentration à l’échelle européenne : regroupement d’entreprises ce qui permet d’avoir des groupes davantage capables de tenir face à la concurrence mondiale Libre circulation des capitaux : facilitent la concentration et permet un accès plus facile au capitaux (financement plus facile et meilleur marché) Baisse du prix + hausse

croissance hors agriculture se maintiendrait à 4,5 %. Le déficit des transactions courantes devrait dépasser 8 % du PIB, bien que les réserves se soient stabilisées à environ 4 mois d'importations. La confiance des marchés s'est confirmée en décembre avec l'émission réussie d'obligations souveraines pour 1,5 milliards de dollars, dont un tiers à une maturité de 30 ans. Le déficit budgétaire devrait diminuer pour se rapprocher de 6 % du PIB grâce, notamment, à l'ajustement en juin des prix des produits

Handicaps L’industrie française dispose d’un atout incontestable. Cependant la compétitivité de cette industrie régresse, le déficit du commerce extérieur a atteint 71 ,2 milliard d’euros en 2011 et une baisse du taux de marge et de la capacité d’autofinancement des entreprises. Cette perte de compétitivité de la France signifie une perte de la compétitivité globale de son économie. Elle est donc à l’origine du chômage puisqu’environ 2 millions d’emplois industriels ont été supprimés en 30 ans

Désormais, le produit fabriqué s'entoure de plus en plus de services (en amont, la R-D ; en aval, la maintenance) pour assurer ses débouchés. L'investissement immatériel favorise alors une compétitivité structurelle ou hors-prix (image de marque, qualité ...) qui accompagne la traditionnelle compétitivité-prix des économies de marché. Tendances 0[0] La forte poussée de l'investissement immatériel est un indice d'une mutation qualitative de l'investissement et de la production. Sur

aussi par une faible employabilité. 1.4 Les causes du chômage Les explications théoriques du chômage : La loi de l’offre et de la demande s’applique au marché du travail. Si la demande de travail de la part des entreprises c’est parce que le prix du travail est trop élevé. L’explication keynésienne : le niveau de l’emploi dépend de la demande effective. Il peut donc y avoir sous-emploi quand le niveau d’emploi correspondant à cette demande n’est pas suffisant pour utiliser toute la population

plus soutenue. • B- Le progrès technique permet une offre renouvelée et plus compétitive • Innovation de produit = nouvelle offre, de meilleure qualité, répondant mieux aux besoins et aux attentes des consommateurs. Donc amélioration de la compétitivité structurelle des entreprises grâce au progrès technique (document 4). De plus, l'innovation de produit permet à l'entreprise innovatrice de bénéficier d'un monopole temporaire, et donc d'augmenter ses profits. L'investissement est alors stimulé

les grands équilibres macro-économiques ne sont pas atteints (budget, commerce international...).L’État se fixe les niveaux de croissance et d’emploi les plus élevés possibles tout en préservant l’équilibre des échanges extérieurs et la stabilité des prix. Ces 4 objectifs sont représentés par le carré magique de N. Kaldor. C’est une représentation graphique permettant de visualiser la situation économique à court terme d’un pays au regard de 4 objectifs : la croissance du P.I.B, le taux de chômage et