La Comédie Divertit

Claude Aubailly, la farce cherche avant tout à offrir au public un plaisir immédiat, en passant par des effets qui s'adresse directement aux sens de celui-ci, à mille lieux de ce rire de l'esprit que les classiques faisaient proliférer dans leurs comédies. Diderot, dans son De la poésie dramatique, a défini la farce comme un genre « rapide et chaud » qui tient sa saveur de son intrigue et de son action dramatique à peine esquissées qui lui permettent d'être direct et efficace. Il va plus loin en

et société : Le classicisme et son rapport au pouvoir 211 MÉTHODES p. 389 Lire et analyser Fiches 15, 16 Analyser une œuvre dans son contexte : Le classicisme Fiches 20, 21 213 Connaître un genre littéraire : La tragédie et la comédie Fiches 34, 36 S’initier aux épreuves du baccalauréat Fiches 46, 48, 49, 50, 51, 52, 53, 54 Étude de la langue Fiches 56, 58 Antiquité Moyen Âge XVIe XVIIe XVIIIe XIXe H istoire des arts Pierre Corneille, Polyeucte, ⁄§›⁄ XXe XXIe

représente quelque chose de joli, il vient du fait qu’il parvient à saisir et à fixer une chose sous sa forme accomplie, parfaite, dans la pure conformité à sa nature. A l’inverse, l’art peut représenter des modèles… d’imperfection. C’est le cas dans les comédies de Molière, où les acteurs ne jouent pas des personnes (êtres humains réels, toujours généreux et avares, sociables et misanthropes, etc.), mais des personnages, qui sont l’incarnation pure d’un vice humain : l’Avare, le Misanthrope, le Malade Imaginaire

dès après la rencontre préméditée entre l'artiste et la ville. Comme l’autre figure féminine « Paula » (situé place Pey Berland), aussi haute de 7 mètres, « Sanna » étaient implantées dans le site patrimonial emblématique de Bordeaux, Place de la Comédie. - La sculpture comme un moyen d’interroger une appartenance, un lieu. Le désir de l’artiste de s’inscrire dans les lieux et les espaces publics - la rue, l’espace de quotidienne, l’espace non-dédié: - L’art inattendu et la foule: Lors de ses visites

pour cause d'allusions politiques. 1830: Victor Hugo devient le chef de file de l'école romantique. Chateaubriand le complimente: «Je m'en vais, Monsieur, et vous venez». Le 25 février: Lors de la première représentation devant le public de la Comédie-Française de Hernani, a lieu une "bataille" mémorable entre les partisans du classicisme et les jeunes romantiques emmenés par Théophile Gauthier. Ces derniers remportent le succès par leurs applaudissements. Ils livrent chaque soir ce que l'on appellera

de dissimuler, de peur de laisser paraître que le duc ne lui est pas indifférent ''Je vous assure...si bien que vous pensez (L23). Mais c’est sans compter sur le rôle perfide de la dauphine qui se plaît à mettre mal à l’aise la princesse et qui se divertit d’une façon un peu cruelle de son embarras. En effet, la dauphine la pousse à avouer elle-même qu’elle a reconnu M de Nemours, dans sa première réplique : ''Je crois […] le sien (L22)''. Puis dans sa deuxième réplique, la dauphine tente d’abord de

innombrables personnages), il donne libre cours à son idée du nouveau théâtre. Il publie conjointement une préface destinée à défendre sa pièce et où il expose ses idées sur le drame romantique : un théâtre « tout-en-un82 », à la fois drame historique, comédie, mélodrame et tragédie. Il se revendique dans la lignée de Shakespeare82, jetant un pont entre Molière et Corneille83. Il y expose sa théorie du grotesque qui se décline sous plusieurs formes84 : du ridicule au fantastique en passant par le monstrueux

divers, et des fontaines, véritables monuments miniatures, placés plutôt à même le sol ; et aussi, plus simples, plus utiles, de grands plats, des alières magnifiquement ornées, des pots pour le vin et des aiguières. Les banquets dure des heures et on divertit sans cesse les convives par des troupes de musiciens presque toujours installés au dehors dans le jardin ou, comme c'était depuis très longtemps l'usage à l'une des extrémités de la salle, sur une tribune. Le banquet public, se tient lors de fêtes

emphatique favorable à la déclamation. Le mélodrame agit violemment sur les nerfs des spectateurs. Son dénouement , où le vice est puni et la vertu récompensée, satisfait leur conscience. Le mélodrame cultive le mélange des genres. Il mêle la tragédie, la comédie larmoyante,la pantomime et même la danse. La technique du mélodrame est celle du grand spectacle. La mise en scène est grandiose, le décor fantastique. Mais ce goût du pittoresque n’exclut pas la recherche de la couleur locale si chère aux romantiques

Misantrophe (1666) qui n’ont pas remporté le succès espéré et ont poussé ainsi Molière à abandonner certains traits plus blâmables pour se dédier aux divertissements, comédies-ballets et comédies de mœurs comme le cycle du cocuage, l’Amphitryon et George Dandin (1668). -Création de L’Avare Après, le 9 septembre de la même année l’Avare, comédie en cinq actes, était joué pour la première fois. D’abord il n’a pas obtenu le succès des œuvres qui l’avaient précédé surtout pour l’emploi de la prose - choix