La Comédie Fait Elle Reflechir Comme La Tragédie

mystères), puis des farces. Il subit notamment de grandes réformes comme un mélange des genres, ainsi on voit apparaitre la tragi-comédie. Le texte de théâtre est donc fait pour être joué c’est là sa vocation. Il garde néanmoins malgré de nombreux changements pour fonction de communiquer avec le public. De nombreux auteurs ont fait le choix du théâtre et on peut alors se demander dans quelles mesures peut-on considérer le théâtre comme le lieu de la plus grande liberté ? Comment une écriture aussi codifiée

enfin nous analyserons la dernière fonction du théâtre qui est de dénoncer, faire réfléchir I/ Le divertissement A l'origine du le théâtre est grecque, et avait pour but de se distraire. Le jeu des acteurs était centré sur les actions, ainsi la farce fut élaborée .divertissement permet de prendre une distance par rapport aux conflits et tensions de la vie. D'ailleurs Sacha Guitry a dit : « J’aime la comédie, elle me délasse, elle me divertit » car selon lui la mise en scène des personnages

n’ayant pas d’interlocuteur n’a rien à cacher ; on est pour ainsi dire « dans sa tête »..   I/3) Le monologue est beaucoup plus fréquent dans les tragédies et les tragi-comédies que dans les comédies. Les monologues interviennent aux moments cruciaux, quand la tension dramatique est à son comble, lorsqu’un personnage est amené à délibérer, à réfléchir avant de prendre une décision grave. C'est d'ailleurs ici le cas, dans la dernière partie de la tirade : Harpagon est amené à prendre une décision

p. 18)Extraits de la préface de Cromwell« […] Nous voici parvenus à la sommité poétique des temps modernes. Shakespeare, c'est le drame ; et le drame qui fond sous un même souffle le grotesque et le sublime, le terrible et le bouffon, la tragédie et la comédie, le drame est le caractère propre de la poésie, de la littérature actuelle. »[...] Ainsi, pour résumer rapidement les faits que nous avons observés jusqu'ici, la poésie a trois âges, dont chacun correspond à une époque de la société : l'ode

à une époque où le cinéma n’était pas encore populaire. Comme beaucoup d’acteurs de théâtre, il préférait les planches aux plateaux de cinéma et avait également coutume de dire « au théâtre on joue, au cinéma on a joué » ou encore « l’acteur habite un personnage, le comédien est habité par lui ». Louis Jouvet prêchant pour sa paroisse portaient par ces paroles un jugement dépréciatif sur le cinéma. Le terme « conserve » -considéré ici comme péjoratif- employé par ce dernier pour qualifier le cinéma

l’hypocrisie que les autres genres littéraire. L’exercice de l’essai requiert de la lucidité et un point de vue critique. Il encourage à observer précisément le monde avec un point de vue personnel et réfléchi qui amène à abandonner les conduites mensongères et orgueilleuses. Dans son essai, Montaigne nous fait part de son jugement concernant la société, il mentionne que tout le monde se doit d’endosser un rôle social mais que nous ne devons pas oublier que c’est un rôle, qu’il est donc emprunté et non

il par excellence le lieu du conflit et de quel conflit ? A/ Le conflit social Le théâtre est par excellence le lieu du conflit, et du conflit social. C’est le cas notamment de la comédie qui a une dimension didactique et dont l’objectif est de divertir le lecteur pour l’éduquer (castigat ridendo mores). La comédie dénonce une société fortement hiérarchisée, les privilèges, l’arbitraire de la naissance. Le théatre présente le conflit entre des individus qui sont les porte-paroles d’une classe sociale

par Z. La réponse de Zadig est du plus grand comique : elle est brève (par opposition à la lente montée de l’attente au bord de l’explosion sociale), elle est simple, elle fait honte aux deux partis par son caractère grotesque (ce n’est pas très digne d’entrer dans un lieu sacré en sautant à pieds joints) et ordonne de faire comme l’on veut. Il se montre astucieux, ne prend pas parti et ne favorise personne. Il veut que le peuple soit libre par rapport aux rites. Il lui demande de tolérer les différences

moitié du XVIIème siècle. L’influence espagnole. Honoré d’Urfé. Charles Sorel. (p.21) 6.Les mouvement des idées. Descartes. Pascal. (p.23) 7.L’essor du théâtre. Corneille. (p.29) 8.La préciosité. Voiture. Mlle de Scudéry. (p.34) 9.Molière. La comédie « à l’espagnole ». (p.36) 10.L’appogée du classicisme. Boileau. Racine. La Fontaine. (p.41) 11.Le roman et la nouvelle dans la 2e moitié du XVIIème siècle. Mme de la Fayette. (p.47) 12.Lettres et mémoires : Mme de Sévigné. Cardinal de Retz. Saint-Simon

représentation que préparait le Théâtre de Grenoble (mise en scène : Francis Perrin). Mais on peut actualiser ce document puisque la pièce est souvent reprise (consulter Internet). J’ai demandé aux élèves de relever dans le texte le champ lexical de la comédie et dans une seconde colonne, tous les mots ou expressions qui montraient l’originalité de cette forme de comique : succession ininterrompue de quiproquos, situations extravagantes, rafales de rire, tout le monde se poursuit … Le texte comportait aussi