La Comédie Sert T Elle Qu A Ne Faire Rire

« L’ironie est la clairvoyance » disait Rémy de Gourmont dans ses Promenades Littéraires. Et « l’humour [quant à lui], cela ne s’acquiert qu’avec le temps, avec l’âge » Jorge Amado, extrait du journal Le monde, le 13Juillet 1990. C’est dans cette optique que nous pouvons lire Du côté de chez Swann, premier ouvrage dans l’œuvre de Proust A la recherche du temps perdu. Il invite le lecteur à entrer dans une sorte de cathédrale de la critique d’une société parisienne décadente. Dans ce premier tome nous

George Dandin. Dans cette dernière, le héros éponyme, paysan fortuné, a épousé la fille d’une famille noble et désargentée. Son épouse lui est infidèle et ses beaux-parents, Monsieur et Madame de Sotenville, le méprisent. Dès la scène 4 de l’acte I, un dialogue entre les beaux-parents et le gendre souligne la tension entre les personnages : on peut alors se demander qui domine dans la conversation. S’il s’avère que le dialogue débute à l’avantage des deux nobles, mettant en avant le ridicule de Dandin

écrits visaient à divertir et à amuser le lecteur mais aussi à l'éduquer et à l'instruire parfois implicitement. Ces auteurs réalisaient des pièces de théâtre ou fables, contes, poèmes satiriques avec des messages quelques fois cachés. Certes, le XVIIe siècle a fait le choix d'une littérature à visée didactique mais a-t-elle accomplie son rôle? Est-ce que les écrivains ont réussi à instruire leurs lecteurs? Nous verrons dans un premier temps comment la littérature de ce siècle classique a atteint son

compare les pièces de théâtres à un match. D’après lui, « Sans conflit, il n'y a pas de théâtre ». Qu’apportent les scènes d’affrontement ? Le théâtre n’est-il qu’un lieu de confrontation ?   I- Une pièce de théâtre, un lieu de confrontation Eugène Ionesco : « Il faut aller au théâtre comme on va à un match de football, de boxe, de tennis ».             A- Le théâtre, lieu d’oppositions • Au théâtre, souvent deux camps sont opposés et le spectateur assiste à un match entre les deux équipes

Présentation de la pièce. Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, est né à Paris en janvier 1622 et mort le 17 février 1673. Il était un dramaturge auteur de comédies, mais aussi un comédien et chef de troupe de théâtre français qui s'est illustré au début du règne de Louis XIV et durant la seconde partie de sa vie. Issu d'une famille de la riche bourgeoisie marchande parisienne, Jean-Baptiste va se consacrer dans le théâtre à l'âge de 21 ans après la rencontre avec Madeleine et Joseph Béjart, avec

Intro: Scène d'exposition = mmt important/ privilégié. Scène type --> scène de reconnaissance --> topos Figaro et le comte se retrouvent après X années. Scène de reconnaissance = topos de la fin chez Molière Elle sert donc de conclusion. --> Beaumarchais veut se démarquer et la place au début. Aparté = répliques dites ds la vide (pr le spectateur) D'emblée on voit le couple Maître/Valet se former. Entrée en matière relativement lente. --> Intrigue amoureuse : Lindor attend sous la fenêtre

point de vue de l’auteur qui, lors de la représentation, cherche à faire passer son message sans qu’il en ai l’air d’un. On peut alors se demander s’il est possible de réfléchir et d’apprendre tout en s’amusant ou si au contraire, le rire peut conduire à faire oublier les aspects du sérieux ; ce qui peut aussi nous amener à se demandé s’il est donc réellement nécessaire d’associer « l’utile à l’agréable ».  Dangers ou avantages ? Le rire n’empêche pas de réfléchir, mais cela peut-il l’aidé ? Peut-on

des personnages II-La Comédie 1-Définition de la comédie 2-Les procédés comiques au théâtre 3-L’Avare une pièce comique 4-Résumé de l’œuvre III-Analyse de l’œuvre 1-Etude des personnages 2-Etude thématique 3-Cadre historique 4-Les procédés d’écriture CONCLUSION Introduction Molière est un dramaturge français du XVIIème siècle appartenant au classicisme. Il faisait parti de la troupe officielle du Roi Louis XIV pour qui il écrit de nombreuses pièces dont L’Avare, une comédie en prose inspiré d’une

particulièrement aux écrivains ? Bien souvent, la question de l’homme dans les genres du XVIème siècle à nos jours nous renvoie au mouvement littéraire ; l’humanisme. En effet, la littérature n'a cessé de s'interroger sur l’Homme du XVIe à nos jours. « En tant qu’artistes, nous n’avons peut-être pas besoin d’intervenir dans les affaires du siècle. Mais en tant qu’hommes, oui. » a dit Albert Camus, philosophe, romancier, dramaturge, journaliste du XXème siècle dans « »Actuelles II » en 1953

baron Renart, vassal du roi Noble, à ses compères. A travers toute une galerie de personnages animaux, avec les défauts supposés de leur nature, les différents auteurs du roman ont su dépeindre la nature humaine avec une certaine férocité non dépourvue d’humour ; en effet, chaque animal paraît plus humain que nature, et la caricature est plus fine qu’on ne le croit. C’est pourquoi l’on a pu caractériser Le Roman de Renart comme une œuvre subversive. Plus qu’un roman, à mi-chemin entre le conte et la