La Comédie Un Divertissement

La Comédie Les origines antiques Naissance de la comédie à Athènes au Vème siècle avant J-C. Origine : Le cômos, procession en l’honneur du dieu Dionysos où des personnages déguisés se moquaient de la foule. Forme théâtrale : Plus noble que la tragédie. Lors des Dionysies un seul jour été consacré aux comédies alors qu’il y en avait 3 pour les tragédies. Cette hiérarchie entre les deux genres. L’un « élevé », l’autre « bas » est justifié et théorisée par Aristote au IVème siècle dans sa poétique

Il s'agit de s'interroger sur l'essence du comique qui permet de comprendre quels sont les différents ressorts du comique et quelles sont les différentes comédies. On peut définir le comique comme ce qui suscite le rire, mais le propre de la comédie est d'adord de procurer un sentiment de détente, de divertissement. Elle permet à l'individu d'échapper à la réalité de la vie quotidienne. Le premier critère de définition est celui du rang médiocre des personnages par opposition au rang élevé des personnages

continue à se développer aux XVIIIème Siècle ainsi qu’à se diversifier. Deux styles Théâtraux sont présents : La Comédie et la Tragédie. Tout d’abord la Comédie dans l’Antiquité se présente sous forme de Chant ainsi que de danse. Elle permet de mettre en scène l’Homme dans sa vie quotidienne afin de le conduire à réfléchir à sa vie tout en le faisant rire. Puis au XVIIème Siècle la Comédie se présente comme le miroir critique de la société. Mais elle est avant tout connue afin de divertir le public

vérité, observait en spectateur lucide le monde en pleine évolution et écrivit pour les Comédiens italiens, entre 1722 et 1740, des comédies sur mesure et d'un ton nouveau, dans le langage « de la conversation ». Il est, après Molière, Racine, Corneille et Musset le cinquième auteur le plus joué par la Comédie française. Le théâtre de Marivaux reprend la devise de la comédie castigat ridendo mores (c’est-à-dire corriger les mœurs par le rire) et construit une sorte de pont entre la bouffonnerie et l'improvisation

en scène comme Jean-François Regnard (Le joueur ou la Foire Saint Germain ) La tragédie est très présente , de par Antoine Houdar de la Motte (mise en scène de l'horreur ). De plus au début de ce siècle , deux Théâtres officiaux , l'Opéra et la Comédie Française . Mais en 1701 , le roi Louis XIV impose la censure sur les écrits afin de les contrôler . Le Théâtre convivial En 1697 , les comédiens français jaloux du succès de leurs compère italiens issus de la Comedia del Arte(La commedia

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Le malade imaginaire’’ (1673) comédie en trois actes et en prose de MOLIÈRE avec un prologue et trois intermèdes (musique de Marc-Antoine Charpentier) pour laquelle on trouve un résumé puis successivement l’examen de : l’intérêt de l’action (page 2) l’intérêt littéraire (page 4) l’intérêt documentaire (page 4)

et est accessible à tous. Mais le théâtre n'est pas lu ou écouté de façon assez attentive, tournée vers les arguments de l'auteur. En effet, le théâtre se présente comme un divertissement. De plus, l'auteur doit faire face à la censure, et aux malentendus avec les spectateurs. La comédie S’opposant à la tragédie, la comédie cherche à divertir, à faire rire (→ comique) par la légèreté de l’intrigue ou la peinture des personnages qui y est faite. Quelques pièces comiques de Molière (1622-1673) :

(Le malade imaginaire, Molière( Troisième intermède I/ La satire de la médecine 1) Introduction burlesque • Cérémonie parodique car Molière considérait la médecine comme une comédie. • Chœur de médecins qui chante et ballet d’apothicaires( désacralisation • Didascalie « cérémonie burlesque » désacralisation de la cérémonie • « Huit porte-seringues »( métiers ridicules. « Six apothicaires, douze docteurs »( le nombre de personnes présentes sur la scène est démesuré(

présente sous la forme d’un divertissement pour Dom Juan et d’une finalité pour Roméo et Juliette. L’ère baroque a introduit de nouvelles notions théâtrales, voulant mettre l’accent sur l’utilisation des émotions, mais aussi des contrastes, comme la beauté et la laideur ou la comédie et la tragédie. Chacune des oeuvres étudiées présente quelque peu un contraste concernant le dernier aspect, toutefois, les deux histoires se basent en grande partie soit sur la comédie, soit sur la tragédie. En premier

au e XVII siècle, la querelle sur la moralité du théâtre pose le problème de ses fonctions. Certes le théâtre est un divertissement où l’on vient se distraire en groupe : c’est que le théâtre est avant tout un spectacle. Mais Aristote lui assignait aussi une portée morale et, corollairement, le théâtre a souvent été mis au service de l’engagement. Est-ce simplement un divertissement, un spectacle esthétique et gratuit ? ou est-ce un miroir que le dramaturge tend à ses semblables pour leur dévoiler