La Conception Cartésienne

suis, j'existe »). Ce n'est qu'en 1644, dans les Principes de la philosophie, que la formule « cogito ergo sum » est publiée directement en latin par son auteur. Indépendamment des formulations, le cogito constitue un élément majeur de la pensée cartésienne. Il est une certitude à partir de laquelle Descartes va tenter de refonder toute la connaissance. Il consiste en une intuition qui ne se résume pas à une déduction logique. L'expression est pensée comme "Je suis en tant je pense" sans "donc" car

Husserl, Méditations cartésiennes : philosophie & méthode 1ère tâche : Quelle est la thèse de l’auteur ? A quelles conceptions de la philosophie s’oppose Husserl ? Il s’oppose à la philosophie littéraire, seulement privée ou scolaire — avec une méthode séparée, c'est-à-dire quand on imite un modèle extérieur ou applique des paradigmes comme des recettes. Pour philosopher faut-il nécessairement adopter une démarche radicale et tout reconstruire soi-même ? Husserl pose la nécessité de relier

subjectivité (cartésienne). Valeur de fondement de la conscience de soi. 2) La personnalité est dans l'unicité, la singularité du sujet. L'acte libre (Bergson). 3) Sujet = une multiplicité conflictuelle (Nietzche). Enjeu : valeur de l'identite du sujet. Alterité presente au coeur de l'identité. I. La connaissance de soi (connaissance de mon existence/connaissance de ma nature) : le statut de fondement du cogito A) Le doute comme expression de la radicalité du projet cartésien Le

Qui m'assure que je ne suis pas maintenant en train de rêver ce corps que je crois avoir ? Rien, puisque justement aucun indice au moment du rêve ne me révèle que je ne suis pas éveillé ! Il me faut donc douter de la réalité de mon corps.
Au doute cartésien rien ne résistera à une exception près : l'existence du doute lui-même c'est à dire à la fois l'existence de la pensée et l'existence d'un sujet qui pense (moi). Il n'y a pas de doute que je suis et que je suis ce pouvoir de douter de toute réalité

la rupture de Spinoza. Sans doute avait-il déjà à Amsterdam, du vivant de son père, suivi des cours à l’école de Van den Ende, fréquentée par beaucoup de jeunes juifs qui y apprenaient le latin, les éléments de la philosophie et de la science cartésiennes, mathématiques et physique (…). Sans doute aussi Spinoza fréquenta-t-il des chrétiens libéraux et anticléricaux, collégiants et mennonites, inspirés d’un certain panthéisme et d’un communisme pacifiste. (…) Toutefois, il semble bien que Van den

père. « Dieu est mort, nous l'avons tué » Nietzsche Nous avons tué Dieu pour devenir sujet. La question « qui suis-je » apparaît. Notre modernité s'est centrée sur le sujet. Même si on a annoncé sa mort, nous sommes toujours dans l'esprit cartésienne. → C'est Descartes qui répond à la question. Projet de Descartes recherche d'une certitude. Le 17° siècle n'est pas le siècle dont la préoccupation la plus importante est le sujet. La question la plus importante c'est le nouvel ordre du l'univers

Conception et réalisation d’une application web pour la gestion des sites touristiques nationaux : cas de la Basilique 1 INTRODUCTION Les sites touristiques sont un élément important de l'économie mondiale. Ils jouent un rôle important dans la préservation de l'histoire et de la culture, ainsi que dans la sensibilisation aux causes environnementales et sociales. Ils constituent entre autres, une interface entre un pays et l’extérieur. Cependant,

scientifique et furent les précurseurs de qui allait devenir les sciences de la nature ''. En disant cela, Jostein Gaarder établit un lien entre la philosophie et la science, qui ont d'après lui un mode de pensée proche, avec une conception rationnelle et le refus d'en rester aux conceptions mythiques, et d'explication du monde dans lequel en vie. Jostein Gaarder en établissant un lien entre philosophie et science rapproche ces deux disciplines, mais les éloignes également en les mettant en concurrence l'une

tout est déjà là.) Donc l’idée de Saint Augustin, Pascal… explique qu’il n’y a pas de donné objectale. I) L’Être du temps. 1- Le temps chez les anciens (les grecs). Le temps est représenté par une chute, une décadence, une déréliction. Conception : j’ai un énergie Mouvement Perte de d’énergie. (Entropie). Le monde va vers sa fin. Plus on va vite, moins bien s’est. (Adam et Eve n’ont pas de temps, temps statique). (ex : au Moyen Âge, on espérait la fin du monde

philosophique, la vérité est le but ultime que chaque penseur convoite. Seulement, aucun d’entre eux n’a jamais prétendu y arriver car celle-ci impose une réflexion sur tous les principes. Ces principes doivent être remis en cause, repensés, et amenés à la conception véritable, la plus juste qui soit. Descartes disait à propos de la vérité qu’elle ne se donne pas mais qu’elle s’acquiert, et qu’elle fait partie du terme générique de la connaissance. Cette définition de vérité au sens de connaissance n’est en