La Conception Du Pouvoir Sous Les Carolingiens

TD HISTOIRE DES INSTITUTIONS PUBLIQUES Sur l’origine du pouvoir : Le modèle retenu est la fusion entre tradition germanique et conception germano-chrétienne. L’exercice du pouvoir avant que soit constituée la France (avant les mérovingiens), c’est l’Empire romain. Antiquité : jusqu’au Vème siècle. Féodalité : début 476 jusqu’en 1453, chute de Constantinople, fin de l’Empire romain d’Orient. Renaissance : 1453 jusqu’à la Révolution française. Deux grands principes révolutionnaires : droits

Babylone -4s à 539 avant JC, apogée vers 2000 avant JC car des sociétés s’unissent pour établir pouvoir royal qui existe son influence en Phénicie -texte de nature juridique plus vieux que le code d’Hammourabi comme le code d’Ournama ; qui reprend décision de justice ; code de l’Iminisrar en sumérien -code d’Hammourabi émane du pouvoir royal ; origine divine, manifesté par l’image qu’il présente sous forme de prologue -droit descendance divine -les paroles sont des règles -l’ homme reçoit toujours

Auguste, premier empereur de Rome, fils adoptif de César). Octave demande au sénat d’être le « Princeps » (le premier). Il sera à la tête de l’empire. Le « Princeps » sera appelé « Imperator ». Le princeps détient l’ « Imperium » (pouvoir de commandement des armées, pouvoir de juger dans Rome) Ce terme « imperator » sera repris au cours de l’histoire par les rois germaniques puis par les descendants d’outre Rhin germanique (Lothaire). En 962 Othon premier récupère les insignes impériaux de Charlemagne

L'Etat est à la fois une collectivité, composée d'une population vivant sur un même territoire et qui est soumise à un pouvoir politique légitime et indépendant. D'un point de vue de territoire, le royaume de France naît véritablement qu'au IXe siècle. La nation: cette notion et le sentiment d'être les sujets d'un même royaume apparaît seulement au XIIIe siècle. Le pouvoir politique: reconnu légitime par les personnes qui lui sont soumises, et indépendant des autres royaumes/pays. En France

Droit: l'Europe médiévale 3 périodes: • Merovingienne • Les institutions : La période carolingienne • Les capésiens Cadre géographique : empire byzantin, le saint empire germanique, le royaume anglo-normand, Section 1 : La chute de l’empire romain d’occident : continuité et rupture. § 1: Contexte historique de la chute de l’empire romain Il eu des crises dans l’empire romain et certaine personne ont voulu tenter des reformes par les Gracques. Au court de cette

Christoph Keller, philologue allemand mieux connu sous le nom latinisé de Cellarius, reprend l'expression de « grand Âge » pour sa chronologie tripartite de l'histoire afin de marquer l'époque s'écoulant du IVe au XVe siècles[3]. Le Moyen Âge est ainsi défini par opposition à la Renaissance qui l'aurait suivi. Le terme est pris en mauvaise part et traduit le mépris affiché des savants pour une époque jugée « obscure » ou « gothique », souvent sous l'expression « Âge sombre ». Il faut attendre le XVIIIe

étrangère, population GERMANIQUE. Plan POLITIQUE : 2 dynasties royales d’origine GERMANIQUE admirent Rome. Elles essayent de maintenir la civilisation Romaine = idée de l’ETAT ROMAIN. Dynastie MEROVINGIENNE jusqu’au 8e siècle Dynastie CAROLINGIENNE. Plan JURIDIQUE : appauvrissement de l’héritage Romain. Les contemporains oublient la complexité des règles du Droit Romain. Le Moyen-âge CENTRAL : 11e siècle  13e siècle = période violente où l’ETAT ne fait plus respecter la LOI. Plan

"Pouvoirs, Église et société, France, Bourgogne, Germanie (888-XIIe siècle)", Bührer-Thierry, Deswarte - analyse de l’introduction, de la première partie et du chapitre I de la partie II Introduction (Geneviève Bührer-Thierry, Thomas Deswarte) La question porte sur l’évolution des royaumes issus de l’empire carolingien, qui disparaît à la mort de Charles le Gros en 888. L’Italie est exclue de la question. La Germanie est en expansion vers l’Est, l’empire est rétabli en 962 par Otton

médiévale (300-1450) Sous ce titre, Monsieur Joseph Canning, Professeur en Histoire à l’université de Galles (Bangor) et Directeur de British Center for Historical Research in Germany, dresse un bilan de la recherche sur les visées politiques du Moyen-Âge sous la forme d’une synthèse précise et équilibrée tout à la fois, qui puisse commodément servir d’introduction à l’étude de ce domaine. Dans un cadre chronologique souple, l’auteur présente successivement les conceptions chrétiennes du gouvernement

signifie pas fin de la culture classique, l’aristocratie qui y est attachée trouve les moyens de donner à ses enfants une éducation traditionnelle. 2. Survivance de la culture classique dans les milieux aristocratiques En Gaule les mérovingiens au pouvoir d’un pays hétérogène : Gaule du Nord « barbare » et Gaule du Sud Est qui conserve une civilisation de l’écrit et instruction latine pour se différencier des barbares. D’après Grégoire de Tours et Fortunat, les conseillers du Roi choisis pour leur