La Condition De La Femme Dans La Tradition Africaine

personnages qu’elles peignent et la richesse de leurs styles (écritures) presque opposés. Pour les romancières africaines, la littérature est non seulement un acte de reconquête de la parole féminine longtemps confisquée, mais aussi une façon de contester, à des degrés divers, le pouvoir du mâle et de la société qui le consacre. Les protagonistes littéraires du féminisme africain vont alors pratiquer une mise à distance de la famille, creuset où s’élaborent l’aliénation et la domestication

de la femme. Après cela elle va écrire des romans avec comme sujet principale la femme et les condition de la féminines, son premier roman fut « Une si longue lettre ». Une si longue lettre : Ce livre a été écrit en 1979, c'est le premier roman de Mariama Bâ. Ce roman traite de la condition féminine et de la polygamie en Afrique, dans ce roman Ramatoulaye fait le point sur sa vie passée sous forme épistolaire, a l'occasion de la mort de son mari, abordant l'ambition féministe africaine naissante

malgré tout la tradition des anciens. On peut alors se demander  si l’écriture d’Ahmadou Kourouma est essentiellement une caricature du réel. L’on distingue alors difficilement le réel du fictif et partant l’imaginaire du véridictif. Tous s'accordent à désigner Les soleils des Indépendances comme un véritable roman de l'heure présente ayant pour thème non plus la lutte pour l'indépendance politique mais la critique virulente du régime politique installé dans certains pays africains depuis l'obtention

à l’aventure de Juliette «dans trois prétendants, un mari», de Guillaume Oyono Mbia (GOM), publié aux lendemains de l’indépendance. Il relate l’histoire d’une autre jeune fille dont le mariage avec un fonctionnaire imposé par ses parents était conditionné par la lourde dote que ce dernier avait versé. Alors élève de la classe de 2nd au collège Libamba dans la Sanaga Maritime , GOM l’écrivit aux lendemains du mariage traditionnel d’une de ses cousines. Une union qu’il désapprouvait, puisqu’il avait

l’articulation des sociétés africaines au système international. L’exemple des Forums sociaux mondiaux organisés en Afrique témoigne des inégalités et des déséquilibres dans les réseaux transnationaux, mais aussi de la capacité d’affirmation des militants africains. Alors que les formes de l’action collective transnationale (réseaux transnationaux, altermondialisme) sont au coeur des réflexions contemporaines sur la sociologie des mobilisations, le continent africain a longtemps été oublié des

INTRODUCTION .................................................................................................................................... 2  La société africaine ............................................................................................................................... 3  Facteurs influents sur le statut de la femme. ................................................................................... 4  Le christianisme et l’enseignement ..................................

1.1.1 Antiquité : Valentin MUDIMBE : représentant de la pensée philosophique Afro-Américaine. Pour lui, l’Afrique antique (Libye) bénéficiait d’une image positive. Cette image était véhiculée par des récits ; Homère (9ACN) : décrivait les Africains comme des gens fidèles et pieux. Diodore De Sicile (1ACN) : les Ethiopiens sont les 1ers hommes, les 1ers religieux et ils sont à la base de la civilisation égyptienne. Dans l’antiquité, le concept de race n’existe pas comme nous le connaissons

général est le conflit des générations. Voilà donc l’orage qui fait se confronter le passé, la tradition, les anciens avec l’avenir, la nouveauté, la jeunesse. Mais cet orage qui peut se faire dévastateur dans beaucoup de cultures, dont occidentale, est maîtrisé, dans le roman de Seydou Badian, par la sagesse africaine. « Sous l’orage » est un œuvre qui met l’accent sur la société traditionnel africaine, il existe beaucoup de pratique positive. Par contre cette même société regorge de coutumes qui

plus ou moins directe, et les autres continents ont été peuplés à partir de l’Afrique (Diop, 1981, 19). Les premiers hommes ont d’abord colonisé la vallée du Nil, en suivant le cours du fleuve, puis ont progressivement irradié à travers le continent africain et au-delà. - 2) Il en découle qu’il ne saurait y avoir, ni races supérieures, ni races inférieures et pas davantage de mentalité primitive ou prélogique. Il n’y a pas non plus de peuple non civilisé et/ou sans histoire. - 3) Une remise en cause

années. Cette approche a suscité des critiques négatives par les Etats-Unis et canadiens : cette approche n'est pas la seule pour expliquer les pbs sociaux. Les auteurs ignorent la complexité du dt par rapport à la réalité sociale. Dans les traditions juridiques non occidentales les besoins juridiques ne sont pas les mêmes que dans les sociétés occidentales, en outre les solutions données au problème sont un peu forcées par l’approche fonctionnelle qui recherche toujours des similitudes. Juriste