La Condition Humaine Incipit Narrateur

------------------------------------------------- Problématique : Comment le narrateur fait-il entrer son héros, comment le construit-il, comment le fait-il découvrir aux lecteurs ? En quoi la présentation du héros est-elle liée à une vision de la société, à une fonction du personnage ? I. Lectures analytiques : 1. Denis DIDEROT, Jacques le Fataliste et son maître (1796), incipit jusqu’à « et vous pour ce délai. » Terres littéraires p.306 2. Guy de MAUPASSANT, Bel-Ami (1885), incipit jusqu’ à « au mauvais sujet des romans

fera lui-même partie de mon histoire. Enfin quoi qu’il en soit de la manière dont cet ouvrage peut être écrit, ce sera toujours par son objet un livre précieux pour les philosophes : c’est je le répète, une pièce de comparaison pour l’étude du cœur humain, et c’est la seule qui existe Jean Jacques Rousseau, Préambule de Neuchatel, Extrait Diderot : Jacques le fataliste Comment s'étaient-ils rencontrés ? Par hasard, comme tout le monde. Comment s'appelaient-ils ? Que vous importe ? D'où venaient-ils

Pascal-Edition Sellier. Pascal montre que le divertissement (occupation pas seulement l’amusement) empêche l’homme d’éprouver l’ennuie. Pour Pascal, l’ennuie ce n’est pas seulement la tristesse de ne rien faire c’est surtout le fait d’être confronté à la condition humaine absurde et donc de penser à sa propre mort, aux infinis qui nous entoure, à notre intelligence incapable de comprendre le monde. On peut dire que Meurso ne connait pas de divertissement, il est étranger à l’amour, à la société, à l’ambition etc

Heston, USA, 1973 Travail personnel : repérer dans les œuvres romanesques et cinématographiques les éléments communs qui conduisent à une dénonciation de nos sociétés modernes Etudes de textes : Texte 1 Première partie « Les temps nouveaux », Incipit, de l’épigraphe initiale à « (…) fut en trois secondes hors de la gare » : l’ouverture du roman ou un monde trop parfait Texte 2 Première partie « Les temps nouveaux », Chapitre 1, de « C’étaient bien là trois glorieuses journées du début de

Paris à la maison de la famille de Lanty de riches. Il est aux alentours de minuit, et le narrateur de Balzac est assis près d'une fenêtre, avec la chaleur luxuriante de la balle d'un côté, et «arbres» spectrales à l'extérieur sur l'autre. Son sentiment de «dissociation», comme si il est "entre la vie et la mort», sera précisé par «le dévoilement progressif de la situation» (CPA 7.5:92). Un invité du narrateur est frappé par l'apparence d'un vieil homme étrange, qui, à l'opposé de la partie, »évoque

prestigieux prix. Le livre s'était déjà vendu à 80 000 exemplaires avant que le verdict du Goncourt ne soit rendu.) Lecture analytique N°1: Incipit pages 11 et 12 (du début à «ma vengeance») Questions envisageables Comment ce passage installe-t-il le lecteur dans le roman?/ En quoi cet incipit nous introduit-il dans l'univers du roman? /Vous montrerez que cet incipit mêle effets de réel et registre tragique. /Quels "horizons d'attente" cette page suscite-t-elle chez le lecteur? /Comment cette page séduit-elle

quête du sens du Moyen Âge à nos jours L'eau, miroir de l'homme et du monde dans la poésie du 17ème siècle à nos jours. Problématique : Comment le thème de l'eau permet-il de créer un nouveau monde poétique ? Comment rend-il compte de la condition humaine ? ⋄ Percevoir la dimension européenne du mouvement baroque, connaître son contexte politique, religieux et culturel. ⋄ Repérer les thèmes et les procédés caractéristiques du baroque à travers la littérature et la peinture. ⋄ Découverte de

Nous allons voir quelle est la place de Derville dans ces deux extraits. Dans les deux textes, le narrateur choisit d’adopter le point de vue de Derville. C’est lui qui observe et juge la comtesse dans le texte A, comme on peut le constater avec l’emploi du gérondif : « en voyant » et le texte B est un discours prononcé par Derville lui-même. Ce texte B, étant l’excipit du roman, le narrateur laisse ici les derniers mots à Derville, qui occupe, une fois de plus, la fonction de porte-parole de

préparatoires, et notamment : – « Saint-Julien » dans La Légende dorée (vers 1250) de Jacques de Voragine (texte 2, pp. 150-151) ; – Les Mille et Une Nuits (Xe au XIIIe siècle), traduction Antoine Galland, incipit de l’« Histoire du vizir puni » (texte 3, pp. 152-153) ; – Candide (1759) de Voltaire, incipit (texte 4, p.153). FINALITÉS DE LA SÉQUENCE PROPOSÉE L’étude analytique d’Un cœur simple présente deux intérêts majeurs en classe de seconde : elle contribue d’abord à construire la définition du

DE MAUPASSANT Problématique : En quoi la présentation du personnage et du contexte social, dans cet incipit, pose-t-elle les jalons d'une intrigue réaliste ? I Questions préliminaires : 1) Où le personnage se trouve-t-il ? Relevez tous les indices qui permettent de retracer son parcours. 2) A travers les yeux de qui la scène est-elle perçue ? 3) Quelle est le point de vue du narrateur ? 4) Sur quels détails le regard de GD s'arrête-t-il ? 5) Comment les clientes sont-elles désignées ?