La Condition Humaine Prison

Résumé de la Condition humaine Ce roman d’André Malraux (1901-1976) a été publié en extraits dans la Nouvelle Revue française et dans Marianne, et en volume chez Gallimard en 1933. Il a obtenu le Prix Goncourt. « 21 mars 1927. Minuit et demi. Tchen tenterait-il de lever la moustiquaire ? Frapperait-il au travers ? L'angoisse lui tordait l'estomac ; il connaissait sa propre fermeté, mais n'était capable en cet instant que d'y songer avec hébétude, fasciné par ce tas de mousseline blanche qui tombait

Spleen LXXXVIII (78)Analyse linéaireIntroduction : Charles BAUDELAIRE est un auteur majeur du XIXe siècle. Il se situe à la charnière du Romantisme récent et du Symbolisme naissant, mouvement dont il sera d’ailleurs l’inspirateur. Il marque la littérature du XIXe siècle par son recueil de poèmes Les Fleurs du Mal, publié en 1857. Le poème Spleen est extrait de la première section intitulée Spleen

appellera la voie sainte ; Nul impur n'y passera ; elle sera pour eux seuls ; Ceux qui la suivront, même les insensés, ne pourront s'égarer. Nous aimons dire Christ en nous l'Esperance de la gloire mais pour expérimenter la gloire de Dieu il y a des conditions à respecter ! Car les normes du Royaume de Dieu ne sont pas celles du monde ! I / 1 Jn 2 : 15-17. Ecoutons ce que nous dit à ce sujet l’apôtre Jean : N'aimez pas le monde ni rien de ce qui fait partie de ce monde. Si quelqu'un aime le monde, l'amour

Convention européenne des droits de l’homme, dispose que toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de sa correspondance. Le droit pénal incrimine toute atteinte à la vie privée et prévoit une peine d’ un an de prison et 45000 euros d’ amende. Cette protection est assurée par le code civil et la Convention européenne des droits de l’homme, qui a une valeur supérieure à la loi, elle couvre les différents aspects de la vie privée. Cependant si cette protection est

_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ 1959 Devenue magistrate, elle est affectée à la direction de l’administration pénitentiaire et œuvre à l’amélioration des conditions de vie des détenus, notamment des femmes 1974 Elle est nommée ministre de la Santé du gouvernement Chirac 1993 Edouard Balladur la nomme ministre des Affaires Sociales et de la Santé 2. La question de la légalisation de l'interruption volontaire

CAMUS (1913-1960) , La Peste (1947) PRÉSENTATION DU ROMAN La Peste représente tout d’abord la prison que constitue la condition humaine. Elle légitime le droit à l’invention et introduit le romanesque. C’est un roman qui renvoie à la connaissance ou à l’expérience de « ce qui existe réellement, c’est-à-dire du monde tel qu’il est. » L’oeuvre se situe dès la 1ère phrase dans le temps (194.), dans l’espace (Oran). Son genre est précisé : « chronique » (analyse personnelle de la société contemporaine

est amené à voler pour se nourrir entrave les codes de la société et peut être mis en prison. Quelqu’un peut être mis en prison en société parce qu’il a voulu se nourrir pour ne pas mourir montre que d’une certaine manière l’homme en société est contraint à renoncer à la liberté. Tous les individus sont constamment à une moindre faux pas de se retrouver dans une pièce, sans rien, en prison, non libre. Les humains entre eux peuvent entre eux s’inciter à se priver de liberté. En société, l’influence

protège et doit répondre à leurs inquiétudes. C’est aussi comme cela qu’elle est légitime. 1 Une Justice aveugle et sourde est une Justice qui n’a pas de sens. Elle n’est pas respectée. La Justice doit être proche des Français : car elle est humaine. Elle doit être concrète : c’est comme cela qu’elle est efficace. Votre commission l’a très bien compris. Le président Warsmann, à l’origine de la loi sur la simplification du droit, sait que la Justice doit être proche des Français. Votre rapporteur

et simple de la loi du Tallion « œil pour œil dent pour dent » C’est une peine juste car prononcée au nom du peuple. Les auteurs de crimes odieux comme le meurtre d’enfants ou de génocide peuvent –t-ils encore être considérés comme des êtres humains ? Manifestement non ! Les condamnés du procès de Nuremberg ne méritaient-ils pas de mourir ? Les droits de l’Homme ne peuvent ainsi plus être invoqués pour ces assassins. Nos députés qui considèrent la peine de mort comme efficace appuie leur

ne voit les autres personnages et les autres événements qu’à travers les yeux de Meursault (focalisation interne), certains comportements nous paraissent obscurs (M qui découpe la publicité dans le journal ; Marie qui n’écrit plus lorsque M est en prison ; le journaliste et la petite femme automatique…). M est en fait une conscience interposée entre l’auteur et le monde au travers de laquelle on perçoit les autres personnages, une espèce de vitre qui laisse tout passer sauf le sens des gestes des