La Condition Ouvrière Au Xixè Siècle

• Bien que le corpus rassemble des fins de romans de romanciers très divers – deux naturalistes du XIXe siècle, Maupassant et Zola, et trois auteurs du XXe siècle, une sorte de romancier-poète (Giono), un homme d’action engagé (Malraux) et un philosophe (Camus), ces textes transmettent une conception de la vie assez proche, qui oscille entre pessimisme et optimisme. • Ces dernières pages de romans peignent les malheurs et ce que l’existence a de pas « si bon » (Maupassant). Ce peut être la mort d’un

de revendications : augmentation de salaire, amélioration des conditions de travail, avantages spécifiques, annulation d'une décision… Le recours à la grève, on le sait, a connu ces dernières décennies une très forte décrue. Les salariés éprouvent de plus en plus de difficulté à recourir à ce qui constitue pourtant leur mode de lutte spécifique, et cela alors que les motifs de contestation (concernant principalement leurs conditions de travail et niveaux de rémunération) ne cessent de se multiplier

choisissant ses sujets dans les classes moyennes ou populaires, et abordant des thèmes comme le travail salarié, les relations conjugales, ou les affrontements sociaux. Ce mouvement apparait dans la seconde moitié du xixe siècle pour s’opposer au romantisme, qui a dominé la première moitié du siècle et pour dénoncer et analyser les mœurs de la vie quotidienne. Il s’étendra ensuite à l’ensemble de l’Europe et à l’Amérique, où il survivra jusque dans les années 1950. Les mouvements qui dérivent du Réalisme

vie rêvée des ouvriers au XIXème siècle Année scolaire 2011-2012 Mercredi 9 Mai 2012 Sommaire I). Introduction : Page 3 II). La vie sociale des ouvriers au XIXème siècles : • 1). Effets de la révolution industrielle sur les ouvriers Page 4 La vie des ouvriers dans les usines • 2). La vie quotidienne des familles ouvrières Page 4-5 • 3). La lutte ouvrière Page 6 III). Les effets

selon les pays considérés. Les premiers espaces à s'être industrialisés sont la Grande-Bretagne et la Belgique à la fin du XVIIIe siècle puis la France au début du XIXe siècle : ce sont les pays de la première vague. L'Allemagne et les États-Unis, quant à eux, se sont industrialisés à partir du milieu du XIXe, le Japon à partir de 1868 puis la Russie à la fin du XIXe : ce sont des pays de la deuxième vague. Les transformations économiques, politiques et sociales furent telles que certains, comme

• Bien que le corpus rassemble des fins de romans de romanciers très divers – deux naturalistes du XIXe siècle, Maupassant et Zola, et trois auteurs du XXe siècle, une sorte de romancier-poète (Giono), un homme d’action engagé (Malraux) et un philosophe (Camus), ces textes transmettent une conception de la vie assez proche, qui oscille entre pessimisme et optimisme. • Ces dernières pages de romans peignent les malheurs et ce que l’exis- tence a de pas « si bon » (Maupassant). Ce peut être la mort

Introduction Dans la seconde moitié du XIXe siècle, la France connaît de nombreuses mutations. En une cinquantaine d’années, le pays s’industrialise et se modernise. Les réseaux et moyens de transport se multiplient et l’urbanisation s’étend. Toutefois le poids rural est toujours important et les classes sociales sont très encrées dans la société. Après la 1 G.M., l’expression la « Belle Epoque » apparaît désignant les 15 années précédentes, symbolisant la paix, le dynamisme éco, le rayonnement

individus de s’organiser et de choisir un corps de métier. À la fin du XVIII siècle, l’ère préindustrielle est caractérisée par une plus grande efficacité énergétique et l’apparition de la monnaie comme moyen d’échange. L’invention du moulin à vent ou à l’eau à permis d’augmenter les cadences de productions. L’apparition du salariat permet aux individus de consommer des biens et services plus diversifiés. Dès le XIXe siècle, l’ère industrielle ou moderne se caractérise par le développement de la machine

Le xixe siècle et la première moitié du xxe siècle ont vu les pays occidentaux confrontés à la misère. Cette pauvreté accompagnée d'exclusion sociale ont inspiré des politiques réformistes visant à améliorer la condition ouvrière (par exemple : instauration d'un salaire minimum, réduction du temps de travail, fordisme) ainsi et des mouvements révolutionnaires (socialisme, communisme, etc). C'est dans les années qui ont suivi la crise économique de 1973 que la notion de précarité est apparue. Parmi

REGARDS HISTORIQUES SUR LE MONDE ACTUEL THEME 2 : IDEOLOGIE ET OPINION EN EUROPE DEPUIS LA FIN DU XIXE SIECLE CHAP 1 : SOCIALISME ET MOUVEMENT OUVRIERS EN ALLEMAGNE IDEOLOGIE : ensemble d’idées partagées par un groupe et plus ou moins mises en application (c’est ce qui nous permet d’agir). OPINION : un point de vue subjectif c’est-à-dire non démontré scientifiquement (c’est ce qui est manipulable). SOCIALISME : idéologie visant à supprimer ou diminuer les inégalités issus du capitaliste