La Condition Postmoderne Lyotard

.................. 6 3. Polémique postmoderne .............................................................................................................. 8 4. L’art postmoderne...................................................................................................................... 11 4.1. Les esthétiques de la postmodernité ................................................................................... 11 4.2. L’architecture postmoderne ...................................

philosophe français Jean-François Lyotard qui a forgé, dans son fameux essai La condition postmoderne, une définition opposant moderne et postmoderne en utilisant le concept de «  métarécit » : «  Je définis le postmoderne comme l’incrédulité à l’égard des métarécits ». Par «  métarécit » Lyotard entend les grandes théories morales, idéologiques et artistiques auxquelles réfère la modernité. Elles sont, comme disait Marc Gontard dans Le roman français postmoderne, « des formes narrativisées de savoir

en collaboration avec Sébastien Charles, Lipovetsky revient sur son parcours intellectuel et les différentes étapes de son travail, mais il apporte aussi un élément supplémentaire à son interprétation de la « seconde révolution moderne » : le « postmoderne » a fait son temps, nous sommes passé à l'âge de « l'hypermoderne ». Gilles Lipovetsky est un docteur en philosophie et professeur au lycée G. Dumézil de Vernon. Son nom est associé à l'exploration des défis de l'individualisme contemporain

francophone Vers des paradigmes de dépassement de la crise ? . . Note introductive . . Chapitre IV : Crise du style, crise du sujet : Vers une scénographie postmoderne de la poétique de violence . . 4.1. Le récit postmoderne de violence : un dépassement du réalisme . . 4.2. La mise en scène de la violence : à l'épreuve du discontinu . . 4.3. Le récit postmoderne de violence : Une expérience réceptive radicale . . Chapitre V : La crise du corps, crise de l'être : Comment peut-on écrire après le sida ? Où l'écriture

La culture postmoderne La pensée postmoderne se situe dans la perspective de surmonter le désenchantement du monde, après la désagrégation des repères culturels ou religieux résultant de la modernité, et l'échec patent des utopies révolutionnaires qu'elle avait porté. Dans La condition postmoderne, Jean-François Lyotard s'efforce de définir la spécificité de l'esthétique et de l'heuristique des philosophies postmodernes. Ces dernières s'inscrivent dans le prolongement du structuralisme

Wilfried Lipp Du culte moderne au culte postmoderne du monument ? Aspects d’une société prônant la réparation Tiré de Wilfried Lipp / Michael Petzet (édit.): Vom modernen zum postmodernen Denkmalkultus? Denkmalpflege am Ende des 20. Jahrhunderts. (Du culte moderne au culte postmoderne du monument ? La conservation des monuments à la fin du XXe siècle). 7. Jahrestagung der Bayerischen Denkmalpflege (7e congrès annuel du service des monuments historiques de Bavière), Passau, 14-16 octobre 1993

dans son sens restreint un mouvement artistique. théorisé par la critique d'art Charles Jencks, qui engage une rupture ironique avec les conventions anhistoriques du modernisme en architecture et en urbanisme. Dans Le Langage de l'architecture postmoderne, paru à Londres en 19774, qui est le livre-manifeste de ce mouvement5, Charles Jencks incite à un retour aux compositions et aux motifs empruntés au passé, à un éclectisme s'appuyant sur un regard nouveau portant aussi bien sur la culture populaire

manifestations artistiques contemporaines seraient seulement l’expression plastique de la crise qui touche la modernité historique et artistique. Il n’y aurait d’art postmoderne qu’en un sens faible, c’est-à-dire comme simple reflet des traits dominants de la postmodernité. Dans cette perspective, la quête d’un art authentiquement postmoderne, défini par des caractéristiques propres semble vaine. Les travaux récents des historiens de l’art laissent en suspens cette question. Le plus souvent, ils se

le sublime, quelle que soit la constance des rappels de Burke, de Kant, de Hegel. Cette difficulté de la cohérence se lit dans les variations de la définition ou de l'identification des pratiques du sublime chez un même auteur. Ainsi Jean-François Lyotard[3] identifie le sublime, en termes d'histoire de l'art contemporain, tantôt au postmodernisme, tantôt au modernisme, comme il privilégie tantôt la notion de présentation de l'imprésentable, tantôt la notation de la présentation du temps sous l'aspect

Jean-François LYOTARD « le principe d’un métalangage universel est remplacé par celui de la pluralité des systèmes formels et axiomatiques capable d’argumenter les énoncés dénotatifs, ces systèmes étant décrits dans une métalangue universelle mais non consistante ». Cela dit, la complexité de la société postmoderne et celle du texte lu au sein de cette société, nie justement cette universalité propre à l’horizon d’attente du lecteur public Jaussien, pour faire place aux théories postmodernes notamment