La Confusion des sentiments

lecteur qui a le sentiment que le discours de l'orateur les touches directement et va, par conséquent les faire réfléchir d'avantages sur le sujet en questions. En effet, le lecteur peut également s'identifier aux personnages principaux, ce qui le touchera et éveillera plus efficacement sa réflexion critique. Dans L'enfant de J. Vallès, le lecteur est captivé au point qu'il en oublie où il se trouve, il se plonge directement dans l'histoire, il ressent les mêmes sentiments que le personnage

robuste qui vit paisiblement dans son isolement. Il est libre et il ne connaît pas l’inégalité. Il ne connaît ni le bien ni la mal mais il est susceptible de se perfectionner. Il mène une existence stable, il n’est attaché à rien. Il connaît deux sentiments : l’amour de soi et la pitié. Des circonstances contingentes vont le faire sortir de son isolement (famines, inondations) : il y a pour lui la nécessité de se regrouper. Il se regroupe alors dans des sociétés primitives tout en conservant une certaine

de l'identité ; * Sentiment d'ennui, de vide ; * Peur d'être abandonné ; * Réactions disproportionnées au stress. * Incapacité à gérer ses émotions ou victime de ses émotions (absence de contrôle de ses émotions fortes ?) * Problèmes relationnels * Changements d’humeurs soudains, intenses rapides ou fréquents, sautes d'humeur. * Anxiété * Relations de type Amour / Haine. Pense autrui en Tout Bon / Tout Mauvais sans compromis * Sentiment d’être une " victime

deux, qu' une certaine gène s' installe entr'eux.. Philippe voit Vinca d' une autre façon, et le trouble le saisit devant la jeune fille. Le dialogue se complique et leur relation commence à en souffrir. La confusion dans laquelle ils se trouvent tous deux, les renvoie à eux-mêmes, à des sentiments plus ou moins avouables, qui, malgré leur amour profond, les obligent à une certaine réserve l' un vis-à-vis de l' autre. Et c' est ainsi que ce nouveau comportement pousse Philippe à cacher à Vinca

Texte 3 : L’INTROSPECTION Texte 1 L’incipit. Texte 2 La rencontre au bal. Texte 3 L’introspection. Texte 4 Les barricades. « Demeura seule » Intimité des sentiments. « Sitôt » immédiateté. « Qu’elle ne fut plus soutenue » elle reconnaît l’amour qu’elle lui porte. « Ce que l’on aime » généralisation caractéristique du classicisme. « Comme d’un songe » elle ne sais pas le vivre en réalité, elle l’idéalise. 4 pauses : « Regarda » elle s’analyse, elle sait prendre du recul sur elle

stratagème organisé par M. Rémy (I,4). Ce même quiproquo s’amplifie scène 3 de l’acte II -> Rémy et Marton pensent que Dorante a refusé les avances d’une riche inconnue par amour pour Marton. · provoque le rire du spectateur car amplifie la confusion et renverse le stratagème. · Les quiproquos, ressorts comiques du théâtre, amusent le spectateur qui se moque des personnages orgueilleux. Transition : Les stratagèmes sont des ressorts comiques car réjouissent le public. Mais le comique n’est pas

perceptions) ou une personne extérieur est-elle mieux placé ? En philosophie la conscience est définie comme « la connaissance que l’Homme a de ses pensées, de ses sentiments, et de ses actes. » Nous assumerons que c’est une bonne définition. De cette affirmation nous pourrons plus spécifiquement parler de la perception comme actes et/ou sentiments (dépendant des points de vue adoptés). La questions que nous posons est la suivante : dans le cas de la perception, sommes-nous bien sûre d’être la meilleure

considérée comme un moyen une idéalisation possible de la justice : un accès à la liberté I/ La justice recherchée pour elle-même a)Un sentiment de justice inné en nous Muley chez Steinbeck nous fait sentir qu'il existe une vérité de la justice mais ne la démontre pas. Les actes de justice de Tom lui viennent de façon instinctive. Pour Pascal, ce sentiment suppose la foi. Oreste le fait sur l'ordre du Dieu mais il est convaincu de la nécessité de tuer sa mère. b) mais une relativité des coutumes

la fin de la phrase qui nous confirme que cette sensation de confusion ne le quitte pas , qu’il n y a pas de fin à cela . (âme tourmentée)Dans cette phrase l’auteur a utilisé l’imparfait qui ici a une valeur d’habitude , il est en perpétuel combat avec le souvenir de son monde d’ enfance , constamment . (une action qui dure dans le temps , 2nd plan)Cette phrase est très efficace car elle comporte une proposition qui complète le sentiment final que ressens George Perec , cette proposition comporte

terre amoureux d’une étoile ») L’extrait représente la dernière scène de la pièce. Demande de pardon et de reconnaissance dans un mélange de pathétique et de tragique. Eléments de commentaire : * Tutoiement/vouvoiement => expression d’une confusion Ruy blas vouvoie la reine, la reine alterne : « Monsieur » titre de respect « Qu’avez-vous fait ! Dis-moi... » * tutoiement affectif qui exprime un