La Conscience Est Elle Le Privilège De L Homme

Nord et à Cuba, la Chine elle-même ne s’en réclamant plus… I. LE MODELE COMMUNISTE STALINIEN AU DEBUT DES ANNEES 50. A. UN REGIME TOTALITAIRE Ü La dictature se caractérise par l’absence totale de libertés quelle qu’en soit la forme (liberté de conscience, de religion, de mouvement, de presse, d’association, de manifestation etc.…), mais le régime totalitaire va au-delà encore : l’individu n’a pas d’existence propre, il n’a d’existence que par rapport à l’Etat : « Tout est dans l’Etat, rien en dehors

(difficultés financières )Il choisit le thème à la mode de D.J. ( il s’inspire de Tirso de Molina) D.J. est une pièce de combat : M. reprend ses attaques contre les faux dévots : on retrouve les thèmes de la religion , de l’hypocrisie , de l’argent , des privilèges de la naissance + le thème dominant de l’infidélité . Contexte historique : le XVII = grd siècle religieux , siècle de la rigueur , janséniste ( morale chrétienne austère ) Contexte littéraire et artistique : le XVII = le baroque (liberté d’imagination

n’étais plus le même homme. J’étais déchu et la seule chose que je pouvais encore reconnaître de mon existence passée était le fait d’être un individu de près de quarante ans. Je me trouvai laid. Une barbe d’environ un mois encombrait mes joues concaves qu’avait creusé une malnutrition très calculée. Car mon menu gastronomique ne se limitait qu’à des pâtes, le plus souvent, et à des boîtes de conserves en tous genres au bon goût de j’ai plus faim. Je dois me raser, un homme doit se raser, pensai-je

Le sujet : la conscience, l’inconscient. 1/ Distinguer : conscience spontanée ( conscience réfléchie conscience morale ( conscience psychologique conscience des choses, de soi, des autres. inconscience ( morale ou psychologique - conscience obscure) et inconscient. Définition simple : « perception (intuition) plus ou moins claire des phénomènes qui nous renseigne sur notre propre

activités de Vautrin. II. Un personnage mystérieux a. Un personnage tout en contraste b. Une identité dissimulée c. Le parti pris du narrateur : Créer une attente chez le lecteur III. Un personnage diabolique a. Le magnétisme du regard b. Un homme intelligent et brillant c. Un grand manipulateur I. Le portrait d’un « fameux gaillard » : a. Un portrait physique : Dans ce passage du Père Goriot, Balzac nous décrit Vautrin d’une manière rustique et animale, dans phrase: « Il avait les

1 : Montaigne ne se réfère pas à une personne singulièreContrairement aux récits classiques qui s’articulent autour des exploits idéalisés d’un héros exemplaire, la méthode de Montaigne n’est pas de développer les accomplissements exceptionnels d’un homme en particulier, qu’il nous donnerait comme modèle de développement personnel. Au contraire, il s’appuie sur des témoignages de personnes dont il nous tait le nom. Par exemple, dans le Chapitre 31 (« sur les cannibales ») du Livre I, qui nous parle

pierre : Pour continuer de s’appuyer sur l’exemple de la pierre Spinoza lui donne la conscience pour assurer le passage de la liberté de la pierre à la liberté humaine. La situation est la suivante : la pierre a été lancée, elle a quitté la main, elle continue d’avancer. Et ce n’est que à ce moment-là qu’elle se « réveille », qu’elle est douée de conscience. Si cette pierre est tout d’un coup douée de conscience, que peut-elle percevoir ? Elle va se rendre compte qu’elle avance (elle découvre qu’« elle

préférable de désirer le bonheur à la vérité parce que la vérité peut se révéler douloureuse. La vérité dans le sens général, la vérité du monde, celle de la condition humaine, est une vérité affreuse, dure et pénible pour l’être humain qui en prend conscience et qui s’arrête devant ce triste spectacle. On se demande alors, si toutes ses souffrances, ses inégalités et ses injustices ne sont pas propres à l’Homme; qu’elles n’évolueront jamais et resteront inchangées parce qu’elles seraient dans la nature

connaît misérable (a). Un arbre ne se connaît pas misérable (b). C'est donc être misérable que de se connaitre misérable ; mais c'est être grand que de connaître qu'on est misérable (c). Penser fait la grandeur de l'homme. Je puis concevoir un homme sans mains, pieds, tête (car ce n'est que l'expérience qui nous apprend que la tête est plus nécessaire que les pieds). Mais je ne puis concevoir l'homme sans pensée : ce serait une pierre ou une brute. (...) L'homme n'est qu'un roseau, le plus

volonté d'apprendre le latin pour approfondir le sens des mots, et d'écrire un roman qui lui vaudrait d'être salué chapeau bas, mais dont il s'épuise, sans jamais pouvoir aller au-delà, à mettre sur pied la première phrase. En même temps, c'est un homme qui a de bons sentiments et qui ne craint pas de les manifester. C'est en ce sens qu'il est exemplaire. Il le prouve bien au cours de l'épi­démie, où il est un des rares à conserver un certain équi­libre de vie : il exerce son humble métier, mais il