La Conscience Est Elle Le Privilège De L Homme

fille était épouse. Le narrateur le dépit indirectement, et parfois avec l’aide des autres personnages, comme un homme fort et beau d’une disposition modeste mais souvent avec une conscience en conflit. Souvent, il dit ce qu’il pense, trait de caractère d’un homme simple, mais un homme qui prend la défense pour les autres. Il est obéissant à ses beau-parents qui le donnent la privilège de demeurer chez eux. -Marie: Fille de Guillette, voisin de Maurice et Germain. Elle a seize ans et s’occupe des

d’abord choqué par l’impiété de son maître. Don Juan n’a ni religion, ni superstition : il ne «croit ni Ciel, ni enfer, ni loup-garou ». De ce pt de vue, D J est ce qu’on appelle au XVIIème S un libertin, câd un homme qui ne reconnaît aucune autorité étrangère et supérieure à celle de la conscience et qui revendique 1 indépendance totale vis-à-vis des pouvoirs de l’Etat, de l’Eglise et des traditions intellectuelles. Cette attitude, à une époque d’ardente renaissance du catholicisme, passait pour une provocation

-La Renaissance XVIIIe-XIXe siècle La Renaissance constitue une véritable rupture avec le Moyen Age Ce fut une véritable révolution touchant simultanément les arts, les sciences, la philosophie, l’organisation de la société, mais aussi la conscience et la responsabilité. Les idées de la Renaissance se propageront dans de nombreux pays d’Europe, surtout à partir du XVIe siècle. Corresponde à la personnalité « moderne », correspond à « l´individu classique ». Cette personnalité a connu des

son inscription, elle n’avait pas d’autre choix que d’y répondre favorablement. Au cours de cette formation intitulée « la juste distance », organisée par la direction, elle avait le sentiment que celle-ci lui était imposée. Mais, Julie aura le privilège de partager des points de vues différents avec les participants, via un atelier débat d’une durée de 10 mois. Elle y rencontrera des personnes dont les caractères et les cultures se relèveront très différents. Julie s’apercevra vite que le thème

présent dans les Fourberies de Scapin où le maître Géronte est tellement avare qu'il ne peut supporter de donner cinq cents écus pour « sauver » son fils. « N'est ce pas quatre cents écus que tu dis ? »(l.125) « Cinq cents écus ! N'a-t-il point de conscience »(l.84). Molière l'associe au comique de répétition « Que diable allait t-il faire dans cette galère ? » (l.49,65,78,94,111,129, 170) lorsque Géronte s’aperçoit qu'il devra débourser une grosse somme. Dans les quatre textes, on observe un comique

révolution. La révolution est vue d’abord par certain nobles eux-mêmes, comme la possibilité de mettre en pratique les thèories politiques liberales : mais les avancées égalitaires de 1789 (Déclaration des Droits de l’homme et du citoyen, absolution des priviléges) vont être occultées par la terreur est la guerre. Si la première moitié du XVIIIè siècle à vu naitre les Lumières, la seconde consacre leur triomphe avec la publication de l’Encyclopédie et la gloire conquise par les philosophes, figure empblématiques

Les doctrines sociales XIXème siècle. Montesquieu disait « tout homme qui a du pouvoir est porté à en abuser », c'est un peu le sentiment qui est resté dans la mémoire des gens au XIXème siècle dont les idées se tournent de plus en plus vers une démocratie. Les écrits de l'époque retranscrivent bien ce bouleversement historique. Les doctrines sociales sont l'ensemble des écrits se rapportant aux opinions des auteurs qui écrivent sur des phénomènes de société qui les affectent, qui leur tiennent

chrétien, si l'on ne travaille à se sanctifier et à corriger ses mœurs ; si l'on n'est doux, affable et débonnaire. « Que tout homme qui prononce le nom du seigneur s'éloigne des sentiers de l'iniquité. » (Epist., Il, ad Timoth., 11, 19.) « Lors donc que vous serez revenu à vous-même, disait notre Sauveur à saint Pierre, affermissez vos frères. » (Luc, XXII, 32) En effet, un homme à qui je vois négliger son propre salut, aurait bien de la peine à me persuader qu'il s'intéresse beaucoup au mien; car il

expliqué Sartre dans l’Etre et le Néant (1943), où il s’interroge sur le rôle de la relation à autrui dans la construction de l’image de soi, en prenant pour exemple celui de la honte. La prise en compte du regard d’autrui me fait donc passer de la conscience immédiate de ce que je fais à l’intériorisation du jugement porté sur moi. Huis clos, pièce philosophique – pièce à thèse –, permet donc à Sartre de donner à voir, en l’incarnant sur le théâtre, sa réflexion existentialiste sur notre relation

dynamique du récit où la délibération lyrique domine, pour enfin étudier le réquisitoire social auquel se livre Figaro.I/ Un récit dynamique. Le problème auquel est confronté Beaumarchais ici est celui de la représentation théâtrale. Il a tout à fait conscience qu’un monologue de cette longueur risque d’être incompatible avec un représentation théâtrale. 1 ) L’alternance récit- discours renforcé par la gestuelle du personnage.Tout le monologue est rythmée par un alternance entre le récit de la vie de