La Conscience Est Elle Solitaire

la description et la remémoration d’un bonheur passé et le bonheur de l’écriture que l’auteur ressent lorsqu’il écrit et partage des moments touchant aux joies de son existence. L’oeuvre de Rousseau, et notamment les rêveries du promeneur solitaire, est essentiellement autobiographique. Rousseau se livre à une description et une observation de lui même, transmettant alors au lecteur ses différentes perceptions et expériences personnelles, ici liées au bonheur. Il expose sa conception et écrit

humaine (de la marine à l’agriculture, de l’écriture à la vie sauvage, etc.) et s’interroge sur le sens de l’existence à travers un personnage - homme nu et dépouillé – qui va devoir se re-construire en trouvant une signification à sa nouvelle vie de solitaire. robinson après l’avoir appelée « L’île de la désolation » finit par la nommer « l’île Speranza ». Une différence notable puisque quand l’un (Sisyphe) ne fait que répéter l’absurde, l’autre (Robinson) met l’accent sur l’espoir. robinson se retrouve

p252-253 : motif de l'union avec la réciprocité des sentiments et de la nature. L'harmonie est à conquérir. Effacement progressif de la dualité des consciences individuelles, dépassement de l'habilité des sentiments. Influence de la nature va conduire ces consciences séparées à s'unir de manière entière. Plus encore, au delà de l'union de ces deux consciences, cette union gagne la nature entière. Elévation dans les airs, on a ici une représentation des 4 éléments. Le paysage n'est plus individualisé (la

amitié ne pourrait toutefois être encline à disparaître. Enfin nous évaluerons la possibilité que nous n’ayons pas forcément besoin de passer par les amis pour accéder au bonheur. En toute fin nous observerons le cas de certains êtres particuliers, solitaires par nature, donc « incapables » de véritable amitié, les mélancoliques. S’il y a bien quelque chose sur laquelle nombres de philosophes s’accordent, c’est bien que l’accès au bonheur passe par la sagesse, et donc la connaissance de

prenons conscience de l'être, mais inversement il faut déjà exister pour penser », Jankél. Tout être vivant de par son existence est amené à penser, c’est le « cogito ergo sum » de Descartes, le « j’existe parce que je pense » de Sartre, mais en renversé. « Penser, voilà le triomphe vrai de l’âme » écrivait Victor Hugo, penser, voilà le triomphe vrai de l’Homme, pourrait-on dire. Contrairement aux animaux, pour qui l’on peut douter de la faculté de penser, de mettre en œuvre leur conscience, l’homme

La conscience est-elle naturelle ou culturelle ? Intro : La conscience de l’homme passe par différents niveaux : au début, elle est passive. Ce degré est partagé par les hommes, les animaux et les végétaux, est une capacité à ressentir les sensations. Puis nous avons la conscience spontanée partager par les animaux et les hommes, c’est la connaissance immédiate du monde, du lieu, de l’espace, c’est donc une certaine forme d’intelligence. Le dernier niveau de conscience est celui de la réflexion

qu'elles [Les espèces] ont eu probablement toutes une souche commune. [...] Singes et hommes sont des rameaux différents, qui ont évolué, à partir d'un certain point, dans des directions divergentes, les premiers se haussant peu à peu jusqu'à la conscience, les autres stagnant dans leur animalité. » L'évolution artificielle des singes et la déchéance des hommes sont quant à eux révélés au chapitre huit de la troisième partie : « Il [un singe] était chez moi depuis des années et me servait fidèlement

leurs intérêts ou leurs impulsions, parce que cela donne bonne conscience et justifie leurs agissements. Nous savons tous que l’on peut commettre les crimes les plus abominables au nom d’une cause « noble et généreuse ». Il y a aussi le cas de ceux, nombreux, qui n’ont pas le courage de ne pas avoir « des idées comme tout le monde, ou des réactions communes ». Cela est d’autant plus ennuyeux que c’est, presque toujours, le solitaire qui a raison. C’est une poignée de quelques hommes, méconnus,

personnelle. Comme dans la plupart de ses œuvres, j'ai du m'attarder sur celle-ci pour en voir la réelle description. J'aime cette manière de mettre à nu cette impuissance et cette violence indécente sans aucune pudeur. En choquant il fait prendre conscience à certaines personnes qui restent enfermées dans leurs névroses des réalités de la vie et des tourments des âmes de ce monde 3 Study after Velasquez's portrait of Pope Innocent X. Velasquez – Pape innocent X (1650) «Ce pape me hante et

Pierre et Jean Lecture analytique 2 Chap.’ 5 : Scène de la plage Intro : (tjrs intro Gale ( voir lect anal’ 1) Pierre s’éloigne de la famille et va se promener en solitaire dans une petite ville balnéaire, il est toujours sous le choc de la nouvelle de l’héritage dont Jean est gratifié et tjrs ds le soupons que Marchal, le donateur est le père de son frère. Ici il s’agit d’1 passage descriptif dans lequel le narrateur omniscient va céder son pt de vue a son pers= pt de vue interne (ou focalisation