La Conscience Morale Est Elle Innée

seul lieu/décor) * Vraisemblance, la raison * Sujets: la bible, l’antiquité, l’actualité * Thèmes: conflit honneur/passion, fatalité de la passion * But moral: élever le spectateur | | XVIIIe siècle siècle des lumières | * Naissance de l’individu recherche de sa propre réalité * Faire propres choix (crise de la conscience) * Comédies | Le jeu de l’amour et du haserd, Les fausses confidencesMarivauxBeaumarchaisLe barbier de Séville, le mariage de Figaro | À partir de 1800 Romantisme

pas « par rapport » à la loi, mais par rapport à d’autres critères, qui sont précisément les critères de ce qui est juste. 2. Loi, justice et société Selon le philosophe David Hume, la justice appartient à la « deuxième espèce » de devoirs moraux, « ceux qui ne sont soutenus par aucun instinct naturel originel et dont on s’acquitte uniquement par un sentiment d’obligation, qui apparaît lorsque nous considérons les nécessités de la société humaine et l’impossibilité qu’elle se maintienne si

être peut faire ce dont il a envie, spontanément et sans contraintes. Dans cette optique on pourrait se demander : qu’est ce qui amène l’Homme à être libre? On en vient alors à se questionner sur le fondement de cette liberté : La liberté serait-elle innée ? Ou bien faudrait-il l’atteindre au fur et à mesure d’efforts ? Y aurait-il différents degrés de liberté vers lesquels l’Homme devrait progresser ? Et enfin, on peut être amener à se demander si la liberté est une réalité accessible. Dans un premier

base de la création de notre univers, il y est pour quelque chose dans le bonheur de la vie de tout être. Cependant, contrairement à Harpmann, l’athéisme n’a pour moi aucun sens dans ce monde de plus en plus sécularisé qui entraîne un vide de la conscience. J’accorde le fait que certains s’adaptent à une religion à la carte selon leurs convenances mais ne « posséder » aucun Dieu est impensable. Au XXIème siècle, il est évident que l’homme n’est qu’un calcul scientifique tout comme son monde, l’univers

Introduction à la notion de conscience A. Les deux aspects de la conscience. 1. La conscience sur le plan psychique. C’est la perception plus ou moins claire par le sujet de ce qui se passe en lui ou en dehors de lui. Cette conscience peut être spontanée : Elle désigne alors l’impression première, éprouvée par le sujet de ses propres états psychiques. La conscience peut être réfléchie : C’est le retour volontaire du sujet sur la première impression. L’expression « conscience de soi » désigne le

ces interrogations et ces étonnements sur nos sociétés et leur fonctionnement. Ainsi voit le jour de la morale au sens large. L'étonnement est par conséquent un acte anthropologique réel qui a pour vocation une éthique de vie. 2. L' étique présente-t-elle la force ou la faiblesse d' une conception occidentale de l' homme ? Argumentez votre réponse. L' étique est une branche de la morale, nos valeurs sont le résultat de nos expériences vécues en fonction des situations, des époques et de l'

 en  vue  du  bien.     La  présence  de  la  morale  «  moyenne  »,  (ou  «  close  »  selon  Bergson)  est  tacitement   admise  par  tous.  Elle  se  manifeste  par  exemple  lorsque  survient  un  événement   choquant,    et  provoque  l’émoi,  donc  le  sursaut  d’une  conscience  morale,  qui   ordinairement  diffuse,  reprend  de  la  force

profiter de la vie en faisant des choses peu utiles à la société ou à soi-même. Travailler ne serait pas plutôt une obligation pour l’homme ? Une obligation est un acte dont je reconnais la légitimité, je considère qu’il est avantageux pour moi ou morale. En effet le travail permet de réfléchir de faire fonctionner sa raison, la raison étant la caractéristique majeure de l’homme il est dangereux de ne pas l’utiliser et de ne pas la faire fonctionner, car à terme on risquerait de revenir à l’état instinctif

chacun avait la possibilité de régler lui-même ses pensées et d’en répondre. « Penser, voilà le triomphe vrai de l’âme » écrivait Victor Hugo, cette même âme, que Platon entendait comme ce qui, en nous, s’affirme comme pouvoir de réflexion et de conscience distanciée. En ce cas, la grandeur de l’homme a-t-elle été, est-elle encore confirmée par une parfaite autonomie de la pensée ? Cependant, on pourrait se demander si la multiplicité et la ténacité des illusions, des préjugés, des « superstitions

2) Moi, être finit et imparfait, j’ai la possibilité de penser l’infini et la perfection : je ne suis pas la cause de cette idée car elle est absente de mon monde, je n’en ai pas de modèle ; seul un être infini a pu placer dans mon esprit de façon innée l’idée d’infini ou de perfection. Preuve a priori : 3) Preuve ontologique qui consiste à démontrer l’existence de Dieu par l’analyse de son concept (Descartes) : l’existence de Dieu est nécessairement contenue dans le concept d’un être parfait