La Conscience Nous Reduit Elle à Notre Propre Monde

Texte : Marx : Les manuscrits de 1844 (Introduction) Contrairement à une idée répandue et partagée par Hegel, idée qui nous expliquait que le travail est un moyen de se réaliser en tant qu'homme et de dominer la nature ainsi que notre assujettissement à notre caractère d'animal naturel ; le texte extrait des Manuscrits de 1844 de Marx nous apprend combien le travail peut être aliénant. Marx parle spécifiquement du travail ouvrier, le travail tel qu'il l'observait dans l'industrialisation des

« La résilience est difficile à définir ». Ce n’est pas un état mais un processus. La limite entre résilience et non-résilience n’est pas facile à définir. Et surtout on peut dire que « rien n’est jamais définitivement perdu et rien n’est définitivement gagné ». « La résilience c’est la capacité construite par le sujet, de faire face à un malheur en tant qu’il se situe comme auteur de son expérience. Le sujet construit un sens propre à partir de la prise de conscience qu’il fait de lui-même en face

 Nous vivons à travers une continuelle projection dans nos désirs. Nous avons conscience de nos désirs, mais seulement dans le sens où nous sommes jetés à la poursuite de leur satisfaction. Nous sentons en nous cette traction du désir, cette inquiétude qu’il provoque ; nous vivons dans cette instabilité que le désir provoque, ballottés par nos désirs et c'est encore ce tiraillement du désir que nous trouvons dans l'agitation de nos pensées. Nous souffrons de nos frustrations et voudrions toujours

est soumit au roi et à son pouvoir. « Le bateau c’est moi, si personne ne tiens la barre je dérive aux grés des vents et des courants. » Le désir : quelque chose de mimétique car je désir le désir de l’autre. Ex : Quand l’homme désir acheter une voiture il ne veut pas la voiture mais il veut l’image sociale qu’elle va lui apporter. *** La Conscience. Intro : Signification et enjeu. Expressions d’usage : -prise de conscience. * Avoir mauvaise conscience. * Etre in-conscient

Lettre à Victor BernardCommentaire :Simone Weil est une philosophe humaniste française née en 1909 et décédée en 1943. Elle entretient jusqu’en 1936 une correspondance avec le directeur des usines Rosières, Victor Bernard, dans laquelle elle livre son point de vue sur la condition ouvrière. La lettre que nous étudions est datée du 30 janvier 1936 et fait suite à un article rédigé par Simone Weil, Appel aux ouvriers de Rosière, que Victor Bernard a refusé de publier dans le journal de l’usine. Dans

L’Obéissance est-elle nécessairement contraire à la liberté ? Intro : L’obéissance est le quotidien de chaque individu sur cette Terre, appliqué généralement par quelqu’un de supérieur à soi ou par une personne plus vieille. Comment liée l’idée de liberté et la necessité d’obéir ? En quoi obéir nous ferait renoncer à notre liberté ? La liberté est une volonté d’indépendance par rapport au monde extérieur, quant à l’obéissance c’est obéir à des règles imposées. On peut donc s’interroger

grandes figures françaises évoluent dans deux directions : l'une autour de Charles Fourier cherche à prendre la vie dans toutes ses dimensions à travers une description très précise dans un espace qui s'éloigne de la ville, fermé sur lui même et capable d'organiser à petite échelle une expérience de vie totale. Celles-ci prendront vie dans les communautés du nouveau monde (Texas par ex). L'exemple de Godin à Guise est bien sûr le plus abouti et le plus élaboré : il associe aussi bien une pensée du logement

Autrui : « Autrui c’est l’autre, c'est-à-dire le moi qui n’est pas moi » Sartre. Il faut réserver ce terme aux être humains. L’autre, c’est l’être humain que je ne suis pas, et il est autrui dans la mesure où je ne suis pas lui. Par définition, autrui se distingue de moi : c’est ce que l’on appelle l’altérité→ caractère qui fait qu’il n’est pas comme moi. Lorsque l’altérité est très forte, elle peut devenir étrangeté : différence par la couleur de peau, physique, mœurs, coutûmes, langue, vêtements…

LA PHILOSOPHIE CONTEMPORAINE INTRODUCTION Nous allons aborder ici la question d'autrui telle qu'elle a été envisagée dans la philosophie française contemporaine, plus précisément chez les philosophes français qui se sont directement inspirés de la phénoménologie de Husserl1. Il n'est pas nécessaire d'entrer dans de longues explications à propos de ce nom de "phénoménologie" : Husserl lui-même lui a donné comme maxime : "Droit aux choses elles-mêmes", entendant par là que la philosophie devait avoir

"inconscientia" qui signifie de quelqu'un d'insconcient qu'il est privé de son savoir ou de sa conscience. L'inconscient peut aussi être defini comme tout ce qui n'est pas conscient, que l'homme perçoit sans le savoir. L'inconscient est la partie du psychisme latent, faite de désirs, de pulsions, de tendances, dont on ne peut disposer car elle échappe à la connaissance. L'inconscient arrive cependant à se manifester dans les "actes manqués" de la vie quotidienne comme des oublis ou des lapsus, dans