La Conscience Peut Elle Errer

 Nous vivons à travers une continuelle projection dans nos désirs. Nous avons conscience de nos désirs, mais seulement dans le sens où nous sommes jetés à la poursuite de leur satisfaction. Nous sentons en nous cette traction du désir, cette inquiétude qu’il provoque ; nous vivons dans cette instabilité que le désir provoque, ballottés par nos désirs et c'est encore ce tiraillement du désir que nous trouvons dans l'agitation de nos pensées. Nous souffrons de nos frustrations et voudrions toujours

nombreuses langues, fut le prétexte à de nombreuses adaptations théâtrales. IV/ Etude de titre : « Paul et Virginie », titre du roman, est les noms de deux personnages principaux de l’œuvre. Mais il faut se dire, à titre de remarque, que l’auteur a peut-être choisi ces noms en referant à ceux des ses enfants. V/ Personnages (principaux) du roman : • Le narrateur. • Le vieil homme : conteur, témoin, unique survivant. • Madame de la tour : mère de Virginie. • Margueritte : Mère

L’HISTOIRE Introduction : Le terme histoire peut se comprendre de trois façons différentes: 1- l’histoire entendue comme fiction. Souvent au pluriel : « raconter des histoires » 2- comme l’ensemble du devenir passé et futur de l’humanité. On l’écrit alors souvent Histoire. 3- Comme l’étude de ce passé : la connaissance historique. Quels points communs peut-on repérer entre ces différents sens ? Seuls les deux derniers ont rapport à la vérité ; la première au contraire s’en démarque. Mais

Noël ! Et les pantins choqués enlacent leurs bras grêlesComme des orgues noirs, les poitrines à jourQue serraient autrefois les gentes damoisellesSe heurtent longuement dans un hideux amour. Hurrah ! les gais danseurs, qui n’avez plus de panse !On peut cabrioler, les tréteaux sont si longs !Hop ! qu’on ne sache plus si c’est bataille ou danse !Belzébuth enragé racle ses violons ! Ô durs talons, jamais on n’use sa sandale !Presque tous ont quitté la chemise de peau ;Le reste est peu gênant et se

un songe un repos éphémère Qu'abrégera le coq d'un clairon furieux. Car déjà demain luit aux vitres de la ferme : Debout, fermière ! et lutte ainsi jusqu'à la fin, Contre le deuil, l'absence, et la terre et la faim, Dans un combat dont nul ne peut prévoir le terme ; Lutte pour conserver les bois, les champs, les prés, Le nom et le renom de la maison ancienne Qui te prit jeune femme, un soir, et te fit sienne, T'enchaînant à jamais par des liens sacrés !... * * * Plus grande que ne

de fiction : il ne faut pas confondre l’écrivain préféré de Proust avec celui de Marcel, mais s’efforcer de reconstruire l’objet « écrivain préféré – paysage fluviatile » en intégrant à cet objet tous ses contextes. ¶2 Cette énergie d’élucidation peut cependant laisser insatisfait, si vaste est le paysage alentours, et puissante la sollicitation que le geste philologique se doit d’ignorer. La citation de Proust, en effet, et l’entité « écrivain préféré – paysage fluviatile » elle-même, enferment

au point que celle-ci va lui demander de partir. Parallèlement ses résultats à l’école sont assez médiocres et il ne se passionne pas pour elle. Il ne se prédestiné pas par conséquence à de longues études. Monsieur B se retrouve donc a 18 ans à errer dans la rue vivant de petit boulot en petit boulot dans l’électricité qu’il apprendra sur le tas. Cet épisode de sa vie va accentuer et affirmer son coté solitaire. Et c’est à cette période là qu’il va rencontrer celle qui va devenir sa femme et va

l’anthropomorphisme des singes de la planète, l’auteur fait appel à beaucoup de théories scientifiques. On baigne également dans un environnement scientifique car les principaux personnages sont des hommes de sciences. Parmi les théories utilisées, on peut citer: -la théorie de la relativité. C’est elle qui explique le voyage vers Bételgeuse avec un vaisseau qui a une vitesse supérieure à celle de la lumière. Elle explique aussi le fait que les explorateurs n’ont pas vieilli. Elle explique également

antique qui a fait de la Descente aux Enfers un topos littéraire (au même titre que l’Odyssée est un topos des nostoi), motif récurrent des mythes, des épopées ou des parcours initiatiques, commun à tous les âges, ainsi qu’à toutes les cultures. On peut, préalablement, avant de traiter celle qui nous intéresse, citer quelques autres exemples, pour montrer l’importance et les reprises fréquentes de ce thème, thème trop souvent réécrit pour être anodin et dépourvu de significations : • Le dernier

remarquons que nous arrivons à la connaissance des choses par deux voies, c’est à sa­voir, l’expérience et la déduction. De plus, l’expé­rience est souvent trompeuse ; la déduction, au con­traire, ou l’opération par laquelle on infère une chose d’une autre, peut ne pas se faire, si on ne l’aperçoit pas, mais n’est jamais mal faite, même par l’esprit le moins accoutumé à raisonner. ‘’ ‘’Ainsi, toutes les er­reurs dans lesquelles peuvent tomber, je ne dis pas les animaux, mais les hommes, viennent, non d’une