La Conscience Peut Elle Etre Lucide

Camus et l’absurde Une oeuvre “ qui met en lumière les problèmes se posant de nos jours à la conscience des hommes” (Prix Nobel, 1957) Son oeuvre s’articule autour de deux pôles: - la morale de l’absurde: La vie vaut-elle la peine d’êre vécue? Celui qui prend conscience du non-sens de la vie, de son caractère machinal peut éprouver alors un sentiment d’étrangeté au monde, d’hostilité venant du monde. Il se sent tout à coup étranger au monde. Le temps qui passe, l’absence de sens et surtout

L'illusion est-elle enviable ? La conscience commune admet généralement que l'illusion n'est pas enviable. En effet, l'illusion, souvent associée à de sombres termes tel que machination ou manipulation, tromperait notre jugement, nous faisant prendre pour réel ce qui n'est que fiction, pour vérité ce qui n'est que mensonge. Par refus d'être berné, il semblerait donc sain de souhaiter l'éviter. Néanmoins, il s'avère que l'illusion soit parfois recherchée, notamment pour sa nature divertissante :

comme la haine seule peut river les êtres... L'irrationnel, la nostalgie humaine et l'absurde qui surgit de leur tête-à-tête, voilà les trois personnages du drame qui doit nécessairement finir avec toute la logique dont une existence est capable ». -QU EST-CE QUE L ABSURDE CHEZ CAMUS L’absurde est un concept central chez Camus et dans le courant existentialiste : l’Etranger (1942) et le Mythe de Sisyphe (1942) voient dans l’absurde un divorce entre l’homme et le monde, être les interrogations métaphysiques

GENERALE ET EXPRESSION Que nous nous en souvenions clairement, peu ou pas du tout, nous rêvons tous chaque nuit, au moins un quart de notre temps de sommeil. Le rêve peut donc être envisagé selon un point de vue physiologique et un point de vue psychologique. Les fonctions ou la nature du rêve peuvent, elles aussi, être envisagées selon différents points de vue. Ces différentes visions ne différent pas principalement. Elles ouvrent sur un champ de possibles et de réflexion, que est traiter

Cette question me tient particulièrement à cœur, parce que je suis une personne qui veut le plus possible profiter du moment présent. Je suis plus du genre à prendre mon temps dans ce que je fais. Cependant, dans le monde dans lequel nous vivons, on ne peut pas toujours faire cela. Parfois, je me dis que la vie est trop courte pour ne pas prendre le temps de profiter du moment présent. Selon moi, profiter du moment présent, c’est de profiter de chaque secondes que nous vivons. Pour ma part, je crois

projet( verbes au futur (pas d’indications temporelles) -Anaphore (répétition d'un terme en tête de vers qui permet d'insister sur une idée)( Un jour (v.1,2,3). -Sa libération semble immediate pourtant, le « peut etre » nuance le propos. -Une forme de courage est supposée. -La libération ne peut s’effectuer que dans la violence( l.6 Accumulation qui entraine une rupture, une destruction. -Le « Je » est acteur, le poete est a l’origine des actions violentes. -L’accumulation revele l’acharnement

projet verbes au futur (pas d’indications temporelles) -Anaphore (répétition d'un terme en tête de vers qui permet d'insister sur une idée) Un jour (v.1,2,3). -Sa libération semble immediate pourtant, le « peut etre » nuance le propos. -Une forme de courage est supposée. -La libération ne peut s’effectuer que dans la violence l.6 Accumulation qui entraine une rupture, une destruction. -Le « Je » est acteur, le poete est a l’origine des actions violentes. -L’accumulation revele l’acharnement

projet verbes au futur (pas d’indications temporelles) -Anaphore (répétition d'un terme en tête de vers qui permet d'insister sur une idée) Un jour (v.1, 2,3). -Sa libération semble immédiate pourtant, le « peut être » nuance le propos. -Une forme de courage est supposée. -La libération ne peut s’effectuer que dans la violence l.6 Accumulation qui entraine une rupture, une destruction. -Le « Je » suis acteur, le poète est à l’ origine des actions violentes. -L’accumulation révèle l’acharnement

prendra lorsqu’il sera en prison, sous la forme du refus. Exclu de la société, prisonnier attendant son procès, puis condamné attendant son exécution, il se pliera à la justice des hommes en refusant tout secours, humain ou divin. Enfin et peut-être surtout, Meursault semble étranger à lui-même. Dans la première partie du roman, il n’est pas intéressé par ce qui lui arrive (il ne participe pas). Il laisse l’initiative aux autres et se borne à un rôle d’observateur (minutieux cependant). Il se

qu'on ne s'améliore pas ? Oui mais pr réflexion, on utilise deux aspects. → Hiérarchie entre les fins (fabriquer objet pr bien monter à cheval, bien monter pr bien combattre), certaines sont des moyens pr arriver à d'autres fins. Pr Aristote on ne peut remonter ainsi à l'infini, certaines fins sont des fins en elles-mêmes, voulues pr elles-mêmes et non comme moyens. Sinon absurdité ; fin ultime qu'on veut pr elle-même = souverain bien. → Dans la conduite de la vie, connaissance souverain bien fait