La Conscience Selon Sartre

réalité plus complexe qu’elle ne parait. Elle induit une interrogation fondamentale : sommes-nous maitres de notre volonté et de nos pensées ; jusqu’où s’étend la liberté de notre conscience ? Ces questionnements touchent d’une part à la définition de notre essence humaine, caractérisée par nos désirs et notre conscience, mais aussi à la notion de liberté individuelle et collective. Tout d’abord, quelle relation y a-t-il entre pensée et sujet ? Par ailleurs, ce sujet pensant est il isolé d’autrui 

L'inconscient c'est certains processus psychiques qui échappent à la conscience. ensuite « peut-on refuser l'idée de... » peut être réinterprété avec « quels sont les arguments nous poussant à refuser cette idée ».  Cette idée d'inconscient est en effet controversée par certains auteurs comme Alain où Sartre. La question à se poser ici est, que si on refuse l'idée d'inconscient comment sont constituées les idées étrangères à la conscience ? Dans une première partie nous allons tout d'abord nous pencher

parce que notre conscience nous informe de chacune de nos pensées, nous offrant à chaque instant une représentation de nous-mêmes. Mais la conscience fait plus que nous dire ce que nous sommes : elle nous juge, à travers ce que nous faisons et ce que nous pensons. Elle porte parfois sur nous le regard de la culpabilité, au point d’avoir honte de ce que nous sommes. Or, avec ce que nous faisons, nous pouvons déformer l’image que nous nous faisons de soi-même. Donc, la conscience peut se tromper sur

‘’Connais-toi, toi même’’ de l’Alcibiade 3 eme partie Platon résume l’idée de son maitre que tous sujets qui prennent consciences de ce qu’ils savent et de ce qu’ils ignorent sont des sujet qui se tournent vers le savoir vers la sagesse donc vers ’’le Sophos’’. D’autre part exprime l’idée que tous sujets conscients de ce qu’ils sont et de ce qu’ils ne sont pas. Ils agissent et se conduisent selon certaines valeurs morales dans l’existence. Nous pouvons ainsi ajouter que l’homme est intensivement préoccupé

Métaphysique. 10. « Le plus étonnant est qu’il y ait des hommes qui ne s’étonnent pas d’être vivant » Schopenhauer. 11. « Un philosophe c’est un homme qui ne s’habitue pas à exister » Gabriel Marcel. 12. « En arche en o logos » Prologue de l’Evangile selon saint Jean. 13. « La pensée n’apprend rien » Qu’appelle-t-on penser ?, Heidegger. 14. « À quoi sert la Lune si c’est pour s’y suicider » André Malraux. 15. « Cherche comme devant trouver et trouve comme devant chercher encore » Saint Augustin, Confessions

Filozofická fakulta Masarykovy univerzity Ústav románských jazyk a literatur Les éléments existentialistes dans les pièces de Jean-Paul Sartre Les Mouches et Huis Clos Bakalářská diplomová práce Svatava Postůvková Vedoucí práce PhDr. Petr Dytrt, Ph.D. Duben 2009 2 Prohlašuji, že jsem tuto Závěrečnou bakalářskou diplomovou práci vypracovala samostatně a použila jsem pouze uvedenou literaturu. Zároveň prohlašuji, že elektronická verze Závěrečné bakalářské práce je shodná s verzí tištěnou

DISSERTATION PHILOSOPHIE : "LA LIBERTE ECLAIREE PAR LE DETERMINISME", SARTRE La liberté représente l'état de l'être qui n'obéit qu'à sa volonté, indépendamment de toute contrainte extérieure, elle est la capacité de se déterminer soi-même à des choix contingents. Étant donné que notre conscience accompagne tous nos choix nous avons le sentiment que nos actions sont causées par notre liberté. Mais l'homme est-il vraiment libre de ses choix ? Est-il, seul, l'auteur de sa vie en tant que liberté

actions. En effet si l’on accorde de l’importance à la part d’inconscient qu’il existe en nous, alors nous pouvons imaginer que nous ne sommes pas responsables de nos actes. Cependant l’homme est d’abord considéré comme un être libre, qui se gouverne selon sa raison, en l’absence de tout déterminisme. L’inconscient est il vraiment incompatible avec la liberté ? Est qu’il contredit cette même notion ? Dans quelle mesure l’inconscient s’oppose-t-il à la liberté ? Nous sommes donc en droit de nous demander

ne pas être conscient d'une vérité que l’on connaît ? Le principe même de la conscience n’est-il pas d’être entièrement maître de ses pensées ? Mais peut-être, si l’on suppose une division de l’esprit, est-il possible qu’une partie de nous-mêmes mystifie l’autre, la persuadant d’une vérité non-conforme à la réalité ? Pour mentir, pour tromper, il faut être deux : le trompeur et le trompé. L’unité de la conscience exclurait le mensonge à soi. En effet, aucune de mes pensées ne saurait m'échapper

choix du moyen qui apparaît pour moi comme le meilleur. 2_ Le déterminisme, ou le libre-arbitre comme illusion. Définition : Doctrine selon laquelle l’homme ne possède pas le libre arbitre : il est toujours déterminé par des causes qu’il ignore, et c’est à cause de cette ignorance qu’il se croit libre de choisir. Le déterminisme prend plusieurs formes selon le type de cause que l’on considère comme le plus déterminant. Ainsi on peut distinguer : le déterminisme théologique. L’homme est un jouet