La Conscience Victor Hugo Cain

toute petite, une duègne la garde Elle tient dans sa main une rose et regarde (Hugo) b) L’Emigrant de Landor Road Le chapeau à la main il entra du pied droit Chez un tailleur très chic et fournisseur du roi (Apollinaire) c) Perette sur sa tête ayant un pot au lait Bien posé sur un coussinet Prétendait sans encombre arriver à la ville (La Fontaine) Exercice 4 Hugo raconte dans « La Conscience », la fuite de Caïn, premier meurtrier de l’humanité, qui redoute la colère de Dieu car il a tué

1857, « Abel et Caïn » : I. Race d’Abel, dors, bois et mange ; Dieu te sourit complaisamment. Race de Caïn, dans la fange Rampe et meurs misérablement. Race d’Abel, ton sacrifice Flatte le nez du Séraphin ! Race de Caïn, ton supplice Aura-t-il jamais une fin ? Race d’Abel, vois tes semailles Et ton bétail venir à bien ; Race de Caïn, tes entrailles Hurlent la faim comme un vieux chien. Race d’Abel, chauffe ton ventre A ton foyer patriarcal ; Race de Caïn, dans ton antre

général. A la question de savoir si l’être humain n’est moral que par intérêt, il est d’abord intéressant de se demande si il existe un Bien ou un Mal moral objectif. La moralité n’existe que pour les êtres libres, maîtres de leurs actions. Notre conscience morale ne peut subsister que si et seulement si l’être humain est contraint à des obligations. En d’autres termes, être libre signifie avoir des devoirs. Le paradoxe réside dans le fait même que ce qui limite notre liberté d’action est ce qui procède

La conscience de soi, de nous, des autres Vénérable Maître, vous tous mes sœurs, mes frères Lorsque avec ses enfants vêtus de peaux de bêtes, Échevelé, livide au milieu des tempêtes, Caïn se fut enfui de devant Jéhovah, Comme le soir tombait, l'homme sombre arriva Au bas d'une montagne en une grande plaine ; Sa femme fatiguée et ses fils hors d'haleine Lui dirent: «Couchons-nous sur la terre, et dormons. » Caïn, ne dormant pas, songeait au pied des monts. Ayant levé la tête, au fond

analytique de « L’Homme et la mer» de Baudelaire. Introduction - Présentation auteur : Baudelaire est un grand poète du 19 ème siècle. Il est l’auteur d’un recueil Les Fleurs du mal dans lequel il exprime tout à la fois son aspiration à l’idéal et la conscience de ne pouvoir y parvenir. - Présentation texte : L’Homme et la mer est un poème constitué de quatre quatrains d’alexandrins, que l’on peut qualifier de symboliste car il établit une équivalence symbolique entre deux réalités différentes : l’homme

plus. L'homosexualité n'est pas un délit sous le Second Empire mais son apologie choque néanmoins la morale religieuse des élites catholiques. Le 30 août, Victor Hugo écrit à Baudelaire «Vos Fleurs du mal rayonnent et éblouissent comme des étoiles», et pour le féliciter d’avoir été condamné par la justice de Napoléon III. En 1859, Victor Hugo écrira que l’ouvrage apporte «un frisson nouveau» à la littérature. Le 6 novembre, Baudelaire écrit à l’impératrice: «Je dois dire que j’ai été traité par

V …M … mes sœurs, mes frères Situé à l’orient derrière et au dessus du vénérable maître, le triangle lumineux attire forcément l’attention. L’œil qui se trouve au centre m’a fait penser instantanément au poème de Victor Hugo, Est-ce ce même œil qui poursuit Caïn jusque dans sa tombe ? Le delta lumineux n'a pas été inventé par les maçons. On le retrouve à la renaissance italienne comme symbole de Dieu le père... d'où l'utilisation dans les églises soit avec un oeil, soit avec un tétragramme

suscite la pitié du lecteur lorsqu’elle suscite un raisonnement de la part du lecteur dans les deux derniers textes. Nous pouvons inclure dans ce corpus un poème de Victor Hugo extrait du recueil «L’Année Terrible» intitulé «A qui la faute?». Cet extrait apporte un éclairage intéressant à l’ensemble du corpus puisque Victor Hugo réalise dans cet ouvrage un éloge de la littérature devant quelqu’un qui vient de brûler une bibliothèque que l’on apprend à la fin être analphabète. La question se poserait

à son paroxysme peuvent conduire au suicide. Mais le rôle joué par le regard d'autrui posé sur nous n'est pas seulement négatif, il permet aux enfants de mûrir notamment à travers le regard parental, d‘avoir confiance en eux, de développer leur conscience et une identité propre. Le regard a donc une fonction constructrice, favorisant notre développement interne puisqu'il pénètre notre âme au plus profond de nous-mêmes. 1. Le regard que les autres portent sur nous peut nous affaiblir puis nous

bienveillante sur l’Humanité », nous rappelant ainsi celui qui, dans le poème de Victor Hugo, suivait et poursuivait le meurtrier Caïn, assassin de son frère Abel, jusque dans sa tombe : « Et quand on eut sur lui fermé le souterrain, l’œil était dans la tombe et regardait Caïn » C’est grâce à l’œil que nous percevons la lumière physique, et nous nous guiderons physiquement et mentalement dans la vie, avec conscience non seulement intellectuelle mais aussi morale c-a-d notre capacité de jugement,