La Consolidation Budgétaire

2.6.3 La place d’Ernst & Young sur les marchés mondiaux ................................................ 16 3 LA CONSOLIDATION ET LE REPORTING ........................................................... 17 3.1 3.2 3.3 3.4 Qu’est ce que la consolidation ? .......................................................................................... 17 Processus de consolidation................................................................................................... 17 En quoi consiste

cuisinés frais en libre-service ainsi que la restauration rapide. Dès sa création, en 1926, l’entreprise a fait le choix d’une stratégie de spécialisation. En effet, elle se concentre seulement sur les solutions repas. Mais, l’entreprise vise la consolidation et le développement de ses piliers en France comme le jambon, les plats cuisinés, le surimi et la charcuterie. Dans les années 2000, elle marque son développement en vendant ses produits à l’étranger par des coentreprises, des contrats de licences

pour faire face à une éventuelle faillite de la Grèce et ce qu’elle entraînerait dans la zone euro…|Avantages de la(es) solution(s)- Nouvelle mesure prises par la B.C.E en faveur des établissements financiers.- Mise en œuvre des plans de consolidation budgétaire et assurer une croissance forte, durable et équilibrée.| ||Limites de la(es) solution(s)- Manque de l’ordre dans la zone euro- Manque de régulation chez les banques |

................ 23 II - PROCEDURES BUDGETAIRES .......................................................................................................... 36 2.1. PREPARATION DU BUDGET ............................................................................................................. 37 2.1.1. CALENDRIER D’ELABORATION BUDGETAIRE DE L’IDA................................................................ 44 2.1.2 CALENDRIER D’ELABORATION BUDGETAIRE DE LA CONTREPARTIE ..................

Cas Textilunion Noël Matry, le contrôleur de gestion de Textilunion, a demandé à Frédéric Descamps, le chef du département Budgets, de venir le voir. « Il faut bien l’admettre, dit-il, notre système de contrôle budgétaire n’a pas vraiment obtenu un succès foudroyant. Il me semble que personne, à la direction, n’utilise nos analyses mensuelles d’écarts par apport aux budgets. Cet après-midi même, M. Desgeorges, notre Président, m’a dit qu’il ne pouvait pas utiliser nos rapports pour contrôler les

récessions : la politique budgétaire. Grâce au traité de Maastricht, signé en Février 1992, les Etats membres de l’Union Européenne peuvent participer à l’Union économique et monétaire (UEM) sous certaines conditions principalement économiques. L’UEM désigne l'ensemble des politiques des États membres de l'Union européenne qui ont pour but de rapprocher leur économie. Avant que les pays n’intègrent l’UEM, lorsqu’ils mettaient en place seul une politique de relance budgétaire, ils devaient en subir

surveiller ........................................................................... 21 1- La volatilité de la croissance agricole ...................................................................... 21 2- Les risques pesant sur la position budgétaire ........................................................ 22 3- La détérioration du solde du compte courant de la balance des paiements ....... 23 4- La persistance des déficits sociaux............................................................

............................................................................................................20 PROGRAMMES HORIZONTAUX.....................................................................................................21 LIGNES BUDGETAIRES THEMATIQUES .........................................................................................21 BANQUE EUROPEENNE D’INVESTISSEMENT.................................................................................22 INFORMATIONS SUR LES PROGRAMMES

marocaine a enregistré un taux de croissance estimé à 6,5 % contre 1 % en 2000, 3,2 % en 2002, 5,5 % en 2003 et plus que 8 % en 2006. Les équilibres financiers sont progressivement restaurés. De 12% du produit intérieur brut (PIB) en 1982, le déficit budgétaire a été ramené à 2,7% en 2001 et à 3.5% en 2003. L'inflation est de 6,1% en 1995, la hausse des prix a été ramenée sous la barre des 3%. En 2000, elle a été contenue à 2,5%, à 1.4% en 2001, à 2.1% en 2002 , à 1.2 en 2003 et 1,5 en 2006. La dette

comportement différent ; c’est une croissance, non génératrice d’inflation, du fait qu’elle se base, en variation relative, sur l’accroissement des investissements publics et privés par rapport à la demande finale. Ainsi, elle se caractérise par la consolidation du PIB non agricole. Mais l'économie marocaine continue d'évoluer au gré de la conjoncture et suivant les caprices de la nature. Une conjoncture internationale défavorable particulièrement en Europe et les sécheresses successives de la dernière