La Contrainte Est Elle Toujours Le Contraire De La Liberté

le gouvernement de l’Ayatollah. Désirant plus de liberté ainsi qu’un retour aux traditions face à un gouvernement trop autoritaire, le peuple iranien a dit non au régime du Shah. Cependant, ce « non » a également remis en question cette même liberté. Dans ce cas être libre est-ce dire non ? La révolution est l’expression la plus concrète d’une volonté de liberté. Ici le renversement du régime impérialiste avait pour but d’accéder à plus de libertés ainsi qu’à moins d’inégalités entre les classes

La liberté est le contraire de la licence : A prime abord, la liberté consiste à pouvoir faire ce que l’on veut quand on veut. Cependant la liberté comporte différentes nuances. De telles nuances qui pourraient nous mener à une définition opposée à celle de la liberté. En effet, la liberté est la faculté d'agir selon sa volonté en fonction des moyens dont on dispose sans être entravé par le pouvoir d'autrui. Elle est la capacité de se déterminer soi-même à des choix contingents. Le contraire

« La raison du plus fort est toujours la meilleure ». Par cette phrase, La Fontaine nous rappelle, certes ironiquement, que le plus fort est souvent celui face à qui l'on finit par céder. Pourtant, la force peut-elle réellement établir une forme de justice? La justice, en effet, suppose de réguler les rapports entre individus afin, notamment, d'éviter les conflits, d'assurer une forme de paix et d'équité, au moins à l'intérieur d'une communauté. Le force, au contraire, ne se veut pas égalitaire: elle

"L'expression perdre sa liberté a t-elle un sens?" Sujet contemporain. A été donné dans le secondaire. Commence par le problème clairement énoncé. Contradiction performative -> ce que je dis c'est le contraire de ce que j'accomplis en le disant. Contradiction logique, dans les termes même du sujet. Est-ce que l'homme peut-il perdre sa puissance de vouloir? accroche problème problématique Partir de l'opinion et des sens qu'elle peut avoir Si la liberté apparaît dans nos sociétés

Le travail est-il pour l'homme un obstacle à la liberté? Résumé: Se demander si le travail est pour l'homme un obstacle à la liberté, c'est s'interroger sur ce qui, dans le travail, pourrait être de nature à nous empêcher de nous réaliser. A priori, le travail est activité spécifiquement humaine, en ce qu'il nous détache du monde de la nécessité naturelle. Dans la mesure où il est effort de transformation de la nature (la nature extérieure et la nôtre), on pourrait donc penser que notre libération

autre pays. L'injustice est par conséquent un concept relatif. Néanmoins, la difficulté vient plutôt du fait que ce qui est légal, conforme aux lois, n'est pas toujours juste, et que ce qui est illégal n'est pas toujours injuste. Par exemple, la peine de mort dans certains états des Etats-Unis est légale et pourtant c'est aussi contraire aux Droits de l'Homme et le fait de pouvoir décider de vie ou de mort sur un individu ne paraît pas totalement juste. L'injustice est donc une notion fragile

Généralement, la liberté est le fait de pouvoir faire ce que l’on veut, sans obstacle et sans contrainte. Donc si nous devons, nous n’agissons plus comme nous le voulons, et nous avons donc la sensation de ne plus être libres. Pourtant, est-ce que liberté et obéissance s’oppose réellement ? Obéir, est-ce réellement renoncer à être libre ? Et tout d’abord, qu’est-ce qu’obéir, ou être libre ? Obéir, c’est généralement se soumettre à la volonté d’une autre personne, ou d’un groupe, d’une autorité

gagner sa liberté en se libérant de son ignorance. Finalement, être libre est-ce s'affranchir de toute autorité ou au contraire respecter ce qui fait autorité ? N'est-il pas utopique de vouloir se soustraire à toute loi sociale, morale ou naturelle ? Alors comment être libre ? Ne peut-on pas concilier la liberté et la nécessité ? Il faudra alors s'interroger sur la possibilité d'être son propre maître en exerçant son autorité sur soi-même et assumer ainsi ses responsabilités. I. La liberté comme

certain nombre de contraintes, les auteurs ont dû se battre pour faire accepter et reconnaître leurs oeuvres. En ce sens la liberté peut restreindre, voire nier, contraintes et lutte et donc causer la « mort » de cet art. C’est sur quoi nous invite à réfléchir André Gide quand il écrit en 1929 dans les Nouveaux Prétextes que « l’art naît de contrainte, vit de lutte, meurt de liberté ». Les contraintes, la lutte sont-elles inhérentes et indispensables au théâtre ou peuvent-elles au contraire être dépassées

renoncer à notre liberté individuelle ? L'homme est-il plus libre en obéissant aux lois de la cité ou de l’État qu'en obéissant à lui seul? Voilà deux questions que nous pouvons nous poser. La liberté au sens courant opposée à l’obéissance comme Rabelais le dit lui-même dans l’abbaye de Thélème où la liberté est le maître mot : « fais ce que voudras ». Chaque individu présent dans cette abbaye jouit d’une liberté sans limite et profite ainsi de la vie jusqu’à sa mort. La liberté au sens courant