La Coopetition

l’inverse puisqu’il s’agit de créer le besoin avec de nouvelles générations de consoles. Les fournisseurs : Pour ce qui est des fournisseurs de technologie pour les consoles de jeux ils sont peu nombreux d’où le fait de voir une coopétition dans ce secteur, leur force est donc élevée. Pour ce qui est des éditeurs de jeux vidéos de nombreux partenariats sont crées et les fabricants de consoles recherchent des contrats d’exclusivité car les jeux et les consoles sont des biens complémentaires

Son modèle repose sur la concurrence entre les entreprises ( Ok en 1985) mais aujourd’hui il existe d’autres formes formes de relations entre les E (partenariat, collaboration, cooperations) Doc 8 : Pourquoi Black Berry pactise avec ses rivaux Coopétition : cela consiste pour une entreprise à avoir avec ses concurrents des relations de coopérations. Même s’il ne faut pas oublier qu’a la base les relations restent concurrentielles, elles n’excluent pas des possibilités de coopérations pour développer

propriété intellectuelles Permet de répondre aux mieux a la demande, devenir ou respecter compétitifs et découvrir les meilleures méthodes. Identifier ses points fort et points faible. Tout cela dans le but de facilité la conduite de changement. ( coopétition = collaboration dans la compétition) Frein du benchmarking : * Soutien de la direction * Necessité d’une bonne communication Conclusion : Sources de progrès , partie intégrante de toute démarche de management par la qualité totale

un contexte concurrentiel où le risque est de plus en élevé et les ressources de plus en plus rares. Selon les auteurs, ces partenariats peuvent être distingués en fonction de leur nature (alliance stratégique entre entreprises non concurrentes, coopétition, jointventures, relation acheteur-fournisseur) ou de leurs objectifs (optimisation et économies d’échelle,  réduction  du  risque  et  de  l’incertitude,  acquisition  de  certaines  ressources  et  activités). 9. Bloc n°9 : Les structures de coûts 

mettre en évidence d’une manière dynamique les relations (alliances marchandes et non-marchandes, conflits) dans l’environnement. La représentation dynamique de ces alliances est de plus en plus nécessaire car les acteurs suivent une logique de coopétition(coopération et compétition), étant tantôt alliés tantôt concurrents ou alliées sur certains projets et concurrents sur d’autres. On a donc une démarche symétrique en termes d’utilisation de l’information visant l’action d’adaptation de l’entreprise

d’évincer l’affrontement concurrentiel entre les firmes et la coopération ne s’oppose pas à la celle de l’affrontement, mais à celle de l’action autonome. L’imbrication de la concurrence et la coopération sont concrétisées par l’émergence de la « coopétition » (Koenig, 1996, Nalebuff et Brandenburger, 1997). Le président du réseau nous confie : « Tout ce qui est de la concurrence, le souci de la concurrence existe au même titre que ça existe ailleurs mais ce n’est pas un souci,… les gens peuvent collaborer

de sécurité 53 §5. La culture NTIC au sein du cabinet 54 §6. Les nouvelles façons de travailler 55 section 2 : les nouveaux modèles d’affaires 56 §1. Le travail autonome 56 §2. L'externalisation et la sous-traitance 57 §3. La coopétition 58 §4. Partenariats et alliances 58 section 3 : rôle des instances professionnelles 60 §1. Engager et encadrer la réflexion sur la réaction de la profession au développement des technologies de l'information et de la communication 61

phénomène nous permet de mieux percevoir l’intérêt de la réflexion des managers sur la position que leur entreprise doit tenir dans le réseau de valeur. Dans ce domaine les travaux de Brandenburger et Nalebuff* qui ont travaillé sur la dynamique de coopétition*, nous permettent de comprendre que le réseau de valeur peut s’avérer être un instrument opérationnel. Cet outil distingue deux axes.  un axe horizontal, sur lequel on place tous les acteurs, avec la notion de chaine de valeur étendue, pour étudier

conditionnement * Nouveaux produits * Avantage : * Forte notoriété et image affirmée * Risque : dilution de la marque. F) La stratégie d’association de marque = Cobrading. * Alliance entre marques. * Avantages : * Coopétition * Augmenter la lisibilité * Contrer un concurrent * Réaliser des économies d’échelle * Coup médiatique * Partage des compétences. * Différenciation * Partage des risques * Désavantages : * Conjuguer les images

de droit de douane et interdiction d’immigration, capital limité au tour de table familial pour le cas des PME notamment. Absence de coalition des entreprises : Cette hypothèse n’est pas vérifiée. Il y’a même une tendance vers un modèle de coopétition qui place les coopérations au centre de son analyse. (Partenariat avec les clients et les fournisseurs, alliance avec les concurrents, management du portefeuille de relation durable ou éphémère « management de réseau »). B- NET économie et