La Cour Du Lion Du Jean De La Fontaine

causes, ou bien dénoncé des faits, selon eux injustes, de la société. Jean de La Fontaine en est un exemple typique avec ses Fables, dans lesquelles il se lance dans une critique sociale et universelle de l’homme à travers des animaux. « La Cour du Lion » tirée du Livre VII est un exemple spécifique du genre de la Fontaine et on retrouve d’ailleurs dans cette œuvre une critique de la cour et de Louis XIV, représenté ici par un lion. Mais, ce poète n’est pas le seul à s’être lancé dans une écriture engagée

Jean de La Fontaine (8 juillet 1621 à Château-Thierry, 13 avril 1695 à Paris) est un poète français de la période classique dont l'histoire littéraire retient essentiellement les Fables et dans une moindre mesure les contes licencieux. On lui doit cependant des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de moraliste. Proche de Nicolas Fouquet, Jean de La Fontaine reste à l'écart de la cour royale mais fréquente les salons comme celui de Madame de La

Biographie de Jean De La Fontaine Jean de La Fontaine (8 juillet 1621 à Château-Thierry, 13 avril 1695 à Paris) est un poète français de la période classique dont l'histoire littéraire retient essentiellement les Fables et dans une moindre mesure les contes licencieux. On lui doit cependant des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de moraliste. Proche de Nicolas Fouquet, Jean de La Fontaine reste à l'écart de la cour royale mais fréquente les

Jean de La Fontaine (8 juillet 1621 à Château-Thierry, 13 avril 1695 à Paris) est un poète français de la période classique dont l'histoire littéraire retient essentiellement les Fables et dans une moindre mesure les contes licencieux. On lui doit cependant des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de moraliste. Proche de Nicolas Fouquet, Jean de La Fontaine reste à l'écart de la cour royale mais fréquente les salons comme celui de Madame de La Sablière

La femme du lion mourut ; Aussitôt chacun accourut Pour s’acquitter envers le prince De certains compliments de consolation Qui sont surcroît d’affliction. Il fit avertir sa province Que les obsèques se feraient Un tel jour, en tel lieu, ses prévôts y seraient Pour régler la cérémonie, Et pour placer la compagnie. Jugez si chacun s’y trouva. Le prince aux cris s’abandonna,

Jean de la Fontaine: Les Animaux malades de la peste L’analyse littéraire C’est une fable issue du deuxième recueil du livre 7 Le titre: Le titre a la particularité de présenter une situation, au lieu de personnages. Les animaux - c’est un pluriel généralisant. Il est en contrast avec la plupart de titres des fables qui comportent les noms des animaux spécifiques. Comme dans toutes les fables, les animaux représent les gens. Malades de la peste – ça évoque la tragique et la mort parce

en effet, seules les écoles gérées par des congrégations religieuses existaient. Autre exemple : La Fontaine a commencé à écrire sous le règne de Louis XIV ; c'est par les contes, puis par les fables, qu'il a connu la gloire. Effectivement, ses fables sont plutôt philosophiques, il n'invente pas leurs sujets, il les adapte à la réalité de son époque. La fable politique Les obsèques de la lionne en témoigne. Ce récit adopte une morale macrostructurale et riche en pensées (comparaisons avec le monde

« Les Animaux malades de la peste » de Jean DE LA FONTAINE | | | |Un mal qui répand la terreur, |Ce pelé, ce galeux, d'où venoit tout leur mal. | |Mal que le Ciel en sa fureur |Sa peccadille fut jugée un cas pendable. | |Inventa pour punir les crimes de la terre, |Manger l'herbe d'autrui ! quel crime abominable ! | |La Peste

signifie « lecteur » 3. Habillé 4. Jeu qui consistait à se renvoyer la balle 5. Références à des auteurs de l’Antiquité 6. Evêque de Durham 3. ------------------------------------------------- La Fontaine, « Les obsèques de la lionne », Fables Les Obsèques de la Lionne La femme du Lion mourut : Aussitôt chacun accourut Pour s'acquitter envers le Prince De certains compliments de consolation, Qui sont surcroît d'affliction. Il fit avertir sa Province Que les obsèques se feraient

FABLES, Jean de La Fontaine LIVRE VII (1678) Avertissement Voici un second recueil de fables que je présente au public. J'ai jugé à propos de donner à la plupart de celles-ci un air et un tour un peu différent de celui que j'ai donné aux premières, tant à cause de la différence des sujets, que pour remplir de plus de variété mon ouvrage. Les traits familiers que j'ai semés avec assez d'abondance dans les deux autres Parties convenaient bien mieux aux inventions d'Ésope, qu'à ces dernières