La Cour Du Lion

1991  Bernard et Bianca au pays des kangourous 1991  Aladdin 1993  Le Roi Lion 1994  Pocahontas, une légende indienne 1995  Toy Story 1996  Dingo et Max 1996  Le Bossu de Notre-Dame 1996  Hercule 1997  Mulan 1998  1001 pattes 1999  Doug, le film 1999  Tarzan 1999  Toy Story 2 2000  Fantasia 2000 2000  Les Aventures de Tigrou 2000  Dinosaure 2000  Kuzco, l'empereur mégalo 2001  La Cour de récré - Vive les vacances ! 2001  Atlantide, l'empire perdu 2001  Monstres

Lecture Analytique n°1 « Les animaux malades de la peste » Jean De La Fontaine Introduction La Fable d’ouverture du livre VII présente la figure du Lion, emblématique de la royauté, et des animaux qui parlent comme des hommes tel est le principe du régit la fable. Cependant, ce détour fictif par le monde animal vise à révéler des vérités sur le monde et la société. La fable est une satyre de l’humain quand elle représente la société animale avec sa hiérarchie et ses pouvoirs. Sa portée politique

Chrétien de Troyes, Yvain ou le Chevalier au Lion Questionnaire de lecture   1) Qui est l’auteur d’Yvain ou le Chevalier au lion ? (1 point) 2) Est-ce un auteur du Xème, XIIème ou du XIVème siècle ? (1 point) 3) Pourquoi le héros se fait-il appeler « le Chevalier au lion » ? (2 points) 4) Qui est-il ? (1 point) 5) Pour quelle raison part-il en quête de la Fontaine merveilleuse ? En quoi est-elle merveilleuse ? (3 points) 6) Qui sont Laudine et Lunete ? (2 points) 7)

principales : On retrouve le déroulement traditionnel du récit : situation initiale, péripéties, situation finale  récit efficace 1ère étape : v1 – 14 => situation initiale 2ème étape : v15 – 54 => intervention tribunal [- v15-33 : discours Lion - v 34 – 42 ; discours renard - v 43 – 49 : paroles rapportées fabuliste - v 49 – 54 : discours âne] 3ème étape : v54 – 62 => verdict 4ème étape : v63 – 64 => moralité B. La versification et les rythmes On constate un système de rimes irrégulier

| |Textes : | |A- Jean de LA FONTAINE, « La cour du roi Lion », Fables, Livre VII, 7, 1678 | |B- VOLTAIRE, Candide ou l'Optimisme, chapitre XVIII, 1759 | |C- Victor

COMMENTAIRE DE TEXTE | La cour du Lion Le Fontaine produit une image particulièrement négative du personnage «  Le Lion ». Il attribue des traits humains à l’animal, c’est la personnification. L’auteur brosse le portrait d’un individu cruel. D’une part La Fontaine fait de cette fable un récit vif et théâtral comme au vers 15 «  Quel Louvre ! » «  Un vrai charnier » dont l’antithèse

proches du roi nous permet de mieux comprendre quelle société inspire La Fontaine et à quels lecteurs il s’adresse. La Fontaine évoque l’univers de la cour du Roi à Versailles. Parmi les courtisans qui se pressent autour du Monarque règnent les rivalités de pouvoir, les ambitions et le jeu des vanités. Mais La Fontaine ne s’intéresse pas qu’à la cour, son propos prend une dimension universelle en parlant de tous les hommes. La peinture des comportements permet à La Fontaine d’exercer un

grands chefs d'oeuvre de la littérature française.Dans la plupart de ses oeuvres La Fontaine reste attaché à "sa campagne". Grâce à ses contes licencieux -qu'il renira à la fin de sa vie- et plus particulièrement à ses fables il est reconnu par la cour de son siècle ainsi que par de nombreux contemporains. Il s'affirme donc avant tout en tant que grand fabulliste, qui s'adresse à un public élargi. La fable étant considérée comme un genre mineur à son époque était traditonellement déstinée aux enfants

Yvain le chevalier au lion L'histoire commence à la cour du roi Arthur, où Calogrenant, cousin d'Yvain, raconte l'aventure qui lui est arrivée. Il raconte avoir été hébergé dans un château, puis avoir parlé avec un vilain (ici, c'est-à-dire paysan libre) hideux qui lui indiqua le chemin vers une fontaine magique qui amène la pluie lorsque l'on renverse son eau sur son perron. Calogrenant renversa alors de l'eau de la fontaine sur le perron, et Esclados le Roux, un chevalier, apparut, sortant du

représentée mais qu'elles soient en même temps le juste reflet de l'univers dans toute sa diversité? Pour y répondre, nous verrons dans un premier temps que les fables sont effectivement une comédie, une mise en scène de fiction pour plaire à la cour, mais qu'en deuxième temps, les fables sont aussi le reflet juste et véritable de la société et du monde dans sa diversité et qu'en troisième temps, les fables sont une « ample comédie » qui dépeint fidèlement la réalité à travers le prisme du poète